Prix garanti bord champ (campagne 2023-2024): Cacao 1000 Fcfa/Kg;  Café  900 Fcfa/Kg

vendredi 26 avril 2024
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ossey84

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 En Côte d’Ivoire, l’agriculture est l’une des plus diversifiées en Afrique de l’Ouest. À côté des cultures de rente traditionnelles comme le cacao, le coton et l’anacarde figure l’huile de palme qui est orientée à l’export, mais est aussi très consommée localement.
En Côte d’Ivoire, la filière palmier à huile a été l’une des plus performantes à l’export sur ces 5 dernières années. D’après le dernier rapport du Département américain de l’agriculture (Usda), les expéditions d’huile de palme brute (Crude Palm Oil-CPO) ont en effet affiché une croissance moyenne de 20 % par an, passant de seulement 163 000 tonnes en 2016 à 300 000 tonnes en 2021.  Rapporte le site agence Eco fin.
Cette progression a été soutenue d’une part grâce à l’accroissement de la production ivoirienne de CPO qui a dépassé chaque année depuis 2018 les 500 000 tonnes en moyenne et a atteint 620 000 tonnes en 2021.
Aussi, ladite source ajoute d’autre part, que la filière a profité de la demande croissante sur les marchés à l’export d’abord au niveau régional où la consommation humaine ainsi que les usages industriels de l’oléagineuse (fabrication de produits cosmétiques entre autres) sont en pleine croissance.     
La Côte d’Ivoire est ainsi le premier exportateur africain de Cpo et la locomotive du commerce de l’huile de palme au sein de la Cédéao fournissant ainsi le Mali, le Ghana, le Burkina Faso et le Niger et le Sénégal.
Plus récemment en 2021, le Cameroun s’est ajouté à la liste de ses débouchés africains en dehors du bloc économique alors qu’au niveau extra-africain les débouchés majeurs sont l’Espagne, les Pays-Bas et l’Inde.
Globalement, d’après l’Usa, les bons résultats à l’export ne doivent pas faire oublier l’importance de sa consommation domestique. En effet, près de 90 % des Ivoiriens utilisent le produit quotidiennement sous diverses formes tandis que plus de 75 % de la production est autoconsommée. Dans un tel contexte, l’organisme américain souligne qu’un renforcement des efforts afin de stabiliser les prix des noix et une maîtrise des coûts de production (notamment des engrais) au niveau des acteurs artisanaux qui comptent pour 70 % des superficies plantées restent un des points clés pour limiter la hausse des prix des produits dérivés pour les consommateurs. Pour rappel, la Côte d’Ivoire est le second producteur africain d’huile de palme derrière le Nigeria.  

B. Mafoumgbé

sercom En Côte d’Ivoire, la filière anacarde présente des opportunités d’investissement pour les acteurs du secteur privé. La demande croissante des marchés de consommation comme les Usa et l’Europe offre des perspectives intéressantes pour les entreprises actives notamment dans la transformation de la noix. Rapporte   Agence Ecofin.
En Côte d’Ivoire, l’entreprise agro-industrielle Dekel Agri-Vision prévoit de lancer une usine de transformation de noix de cajou cette année. L’annonce a été faite dans un communiqué publié le mardi 24 janvier par la compagnie britannique.Ladite unité installée sur un site basé dans le département de Tiébissou devrait démarrer avec une capacité de traitement initiale de 10 000 tonnes de noix par an. Cette démarche intervient alors que l’entreprise vient de faire passer sa participation dans le projet d’exploitation à 100 % après l’acquisition d’un intérêt bénéficiaire de 29 % auprès de Pearlside Holdings, société mère de Capro CI SA, l’entreprise qui possède l’usine pour une enveloppe de 761 000 dollars.
Aussi, ladite source ajoute que, selon les  explication de  Lincoln Moore, directeur général de l’entreprise que : « Avec les opérations de transformation de la noix de cajou à Tiebissou qui sont en train de passer à une production commerciale à grande échelle, nous pensons que c’est le bon moment pour augmenter notre participation qui, selon nous, diversifiera nos revenus », En Côte d’Ivoire, Dekel Agri-Vision opère également sur le segment de l’huile de palme via sa filiale DekelOil qui exploite une pépinière et une usine d’extraction de 60 tonnes d’oléagineux par heure.   B. M 

 En Côte d’Ivoire, la filière anacarde présente des opportunités d’investissement pour les acteurs du secteur privé. La demande croissante des marchés de consommation comme les Usa et l’Europe offre des perspectives intéressantes pour les entreprises actives notamment dans la transformation de la noix. Rapporte   Agence Ecofin.
En Côte d’Ivoire, l’entreprise agro-industrielle Dekel Agri-Vision prévoit de lancer une usine de transformation de noix de cajou cette année. L’annonce a été faite dans un communiqué publié le mardi 24 janvier par la compagnie britannique.Ladite unité installée sur un site basé dans le département de Tiébissou devrait démarrer avec une capacité de traitement initiale de 10 000 tonnes de noix par an. Cette démarche intervient alors que l’entreprise vient de faire passer sa participation dans le projet d’exploitation à 100 % après l’acquisition d’un intérêt bénéficiaire de 29 % auprès de Pearlside Holdings, société mère de Capro CI SA, l’entreprise qui possède l’usine pour une enveloppe de 761 000 dollars.
Aussi, ladite source ajoute que, selon les  explication de  Lincoln Moore, directeur général de l’entreprise que : « Avec les opérations de transformation de la noix de cajou à Tiebissou qui sont en train de passer à une production commerciale à grande échelle, nous pensons que c’est le bon moment pour augmenter notre participation qui, selon nous, diversifiera nos revenus », En Côte d’Ivoire, Dekel Agri-Vision opère également sur le segment de l’huile de palme via sa filiale DekelOil qui exploite une pépinière et une usine d’extraction de 60 tonnes d’oléagineux par heure.  

 B. M 

La mairie d’Assinie Mafia, dans une ambiance de famille et bon enfant, a procédé le samedi 21 janvier 2023 à la présentation du bilan de ses actions en présence de toutes les couches sociales de ladite localité. C’était à Abissa Lodge, un complexe hôtelier de ladite localité. Le premier magistrat, Hippolyte Ebagnitchie a expliqué qu’après une année d’installation aux niveaux administratif et logistique, cette jeune collectivité locale a eu trois années pour mener des actions dans des domaines de priorité. « Au niveau de l’éducation, nous avons créé quatre écoles maternelles, là où il y en avait qu’une seule, avec une capacité de plus de 600 places, qui permet à chaque enfant qui naît à Assinie, à l’âge de 2 ans puisse aller à l’école. Nous avons créé cinq écoles primaires, pour désengorger les écoles. Car l’éducation pour nous est une priorité. Également une bibliothèque, une salle multimédia et des cantines scolaires », a-t-il souligné. Au niveau de la santé, des actions ont également été posées. « Nous avons créé une deuxième maternité et entamé la construction d’un bateau ambulance qui sera opérationnelle au mois de mars, pour que les femmes en donnant la vie, ne perdent pas la vie. A côté de cela, nous allons construire des logements pour sages-femmes. Au niveau du sport, deux complexes sportifs ont été créés à Mafia et un autre à Assouindé et sans oublier de mentionner les travaux de reprofilage des voies, l’accès à l’électricité et de l’eau potable dans certains villages », a-t-il dressé.
En termes de perspectives en cours de réalisation, pour respecter le mot d’ordre du président de la République, l’emploi pour la jeunesse, un centre polyvalent et un stade municipal seront inaugurés dans les mois à venir. Le tourisme et des projets de pisciculture seront développés, avec la création de la Coopec pour le financement des projets des femmes. Pour finir, il a souhaité un climat de paix entre les fils et filles de la commune pour accélérer le développement de la commune.
C’était au cours de la cérémonie de présentation de vœux, au cours de laquelle, la royauté, les jeunes, les femmes, les fonctionnaires, et toutes les couches sociales de la commune lui ont souhaité des vœux de longévité de prospérité pour actionner le développement de la commune.
Ayoko Mensah (Info : Sercom)
Le Maire Hippolyte Ebagnitchie, a le soutien des couches sociales

 

La mairie d’Assinie Mafia, dans une ambiance de famille et bon enfant, a procédé le samedi 21 janvier 2023 à la présentation du bilan de ses actions en présence de toutes les couches sociales de ladite localité. C’était à Abissa Lodge, un complexe hôtelier de ladite localité. Le premier magistrat, Hippolyte Ebagnitchie a expliqué qu’après une année d’installation aux niveaux administratif et logistique, cette jeune collectivité locale a eu trois années pour mener des actions dans des domaines de priorité. « Au niveau de l’éducation, nous avons créé quatre écoles maternelles, là où il y en avait qu’une seule, avec une capacité de plus de 600 places, qui permet à chaque enfant qui naît à Assinie, à l’âge de 2 ans puisse aller à l’école. Nous avons créé cinq écoles primaires, pour désengorger les écoles. Car l’éducation pour nous est une priorité. Également une bibliothèque, une salle multimédia et des cantines scolaires », a-t-il souligné. Au niveau de la santé, des actions ont également été posées. « Nous avons créé une deuxième maternité et entamé la construction d’un bateau ambulance qui sera opérationnelle au mois de mars, pour que les femmes en donnant la vie, ne perdent pas la vie. A côté de cela, nous allons construire des logements pour sages-femmes. Au niveau du sport, deux complexes sportifs ont été créés à Mafia et un autre à Assouindé et sans oublier de mentionner les travaux de reprofilage des voies, l’accès à l’électricité et de l’eau potable dans certains villages », a-t-il dressé.
En termes de perspectives en cours de réalisation, pour respecter le mot d’ordre du président de la République, l’emploi pour la jeunesse, un centre polyvalent et un stade municipal seront inaugurés dans les mois à venir. Le tourisme et des projets de pisciculture seront développés, avec la création de la Coopec pour le financement des projets des femmes. Pour finir, il a souhaité un climat de paix entre les fils et filles de la commune pour accélérer le développement de la commune.
C’était au cours de la cérémonie de présentation de vœux, au cours de laquelle, la royauté, les jeunes, les femmes, les fonctionnaires, et toutes les couches sociales de la commune lui ont souhaité des vœux de longévité de prospérité pour actionner le développement de la commune.
Ayoko Mensah (Info : Sercom)
Le Maire Hippolyte Ebagnitchie, a le soutien des couches sociales 

 

 « Le silence va induire l'opinion en erreur. Il s'agit d'un vote donc les électeurs ne peuvent être maintenus dans le doute » Réaction d’un groupe   de cadres  de  Rhdp de la Marahoué qui  a  décidé de ne pas  laisser les  électeurs et potentiels  électeurs  aux  prochaines élections  municipales et  régionale dans  l’erreur et le  doute.  Face aux   flonflons et sorties de route du Sénateur Allomo Paulin, il ne faut pas entretenir le flou.       

Allomo Paulin, été non pas élus par les populations de la Marahoué, mais nommé par décret de Sem Alassane Ouattara. C’est ça qui est la vérité… !   Et voilà qui lui donne de la force et des ailes de penser   qu’il est faiseur de roi dans une région où Allomo Paulin ne peut gagner une élection.  Allomo Paulin ? Son électorat c’est dans les colonnes des journaux et sur les réseaux sociaux.     Comme à son habitude, à la veille des jouxtes électorales, il parle et parle pour dire quoi ?  Il   s’est inscrit dans une campagne   d’opposition des  cadres du Rhdp qui connaissent bien la discipline du parti.    « Le mot d’ordre actuel dans la Marahoué est de t’approcher, de tirer le maximum d’argent de toi, pour ensuite aller voter ZZ. Celui qui peut battre aujourd’hui ZZ s’appelle Zoro Epiphane à qui personne ne peut reprocher son militantisme au niveau du Rdr et du Rhdp par rapport à toi. Tu ne peux dire à Bouaflé que le Président te préfère par rapport à Zoro. », dit-il dans une lettre ouverte qui a été   reprise par   des journaux de la place. Que ce soit Zoro Epiphane ou Adama Koné ; ils sont  des    collaborateurs du Président Ouattara. Il leur fait confiance. Son choix doit primer. 

 

Les régionales tout comme les municipales sont   des élections de développement. Il faut dans l’union et la discipline arc-en- ciel, tout mettre en œuvre, pourque le Rhdp rafle la mise dans la Marahoué. Cette région   a besoin de cadres et fils valeureux voire des plus petits qui savent s’effacer aux profits des plus jeunes.   Votre jeune frère Adama Koné, homme de devoir, de mission et   fidèle parmi les fidèles du Chef de l’Etat ; sait bien le faire. Il a montré l’exemple ailleurs, dans le département d’Odienné, dans le cadre d’un mandat de  député, il a passé la main.  Le moment viendra où Adama Champion va parler à ses frères et sœurs de la Marahoué qui le connaissent et qu’il connait bien.  Pas maintenant !   Concentrons sur l’essentiel ; gagner la Régionale et les municipales dans la Marahoué. Les élections sont prévues pour fin 2023. Dans tous les cas, perdre à une élection doit être une option à ne pas écarter. Donc, il n’y a pas lieu de paniquer

 Un groupe de cadres Rhdp de la Marahoué

La Côte d’Ivoire participera, du 25 au 27 janvier 2023, à Dakar, au Sommet 2 Nourrir l’Afrique (https://www.afdb.org/fr/sommet-dakar-2-nourrir-lafrique-souverainete-alimentaire-et-resilience). Elle sera représentée par le vice-président Tiémoko Meylet Koné. Selon la Banque africaine de développement (Bad), ce   sommet réunira pendant trois jours, des chefs d’Etats et de gouvernement, des financiers et des entrepreneurs et offrira à travers un forum, l’opportunité d’explorer les possibilités d'investissement dans les secteurs de l'agriculture et de l'agroalimentaire.     Le gouvernement ivoirien y sera avec des priorités affichées   dans le secteur agricole sont d’assurer. Citons en premier, la   productivité et développement durable de la production agrosylvopastorale et halieutique.  Grâce à une fourniture efficace d’intrants agricoles modernes, de services de conseil en vulgarisation, de systèmes de production rentables, à l’appui à la Recherche développement (R&d) et à la fixation d’objectifs nationaux clairs.Deuxièmement, amélioration de la valeur ajoutée et de la performance des marchés : accroître la capacité de valeur ajoutée et créer un accès aux marchés par la promotion des exportations agricoles ivoiriennes sur les marchés régionaux et internationaux.
 Troisièmement, gérer durablement des ressources environnementales et résilience climatique : renforcement des institutions juridiques et gouvernementales pour protéger l’environnement, déploiement de technologies adaptées au climat pour accroître la résilience notamment chez les petits producteurs, développement durable des ressources aquatiques à faibles émissions de carbone et restauration de la biodiversité florale et faunique.Quatrièmement, améliorer   les conditions de vie des acteurs, et promotion du secteur agro-sylvo-pastoral et halieutique. Ce à travers un programme de suivi et de gestion de la sécurité alimentaire d’une part, et l’accès des ménages ruraux à la nourriture, protection sociale des populations les plus vulnérables d’autre part.  Sans oublier renforcement des infrastructures socioéconomiques dans les zones rurales.
A ces priorités, il convient d’ajouter   l’expansion de l’accès au financement et des canaux d’investissements privés : mise en place d’une meilleure gouvernance des investissements du secteur public, financement innovant pour un meilleur accès au financement pour les parties prenantes ; création d’un environnement propice à l’afflux d’investissements du secteur privé.
Dans le cadre de la Facilité africaine de production alimentaire d’urgence, la Côte d’Ivoire a bénéficié du Programme de production alimentaire d’urgence. Le financement du Programme a été approuvé le 15 juillet 2022, pour un montant de 151,184 millions d’euros. Il se décline en trois composantes : Améliorer l’accès aux semences certifiées et l’appui conseil ; améliorer l’accès aux engrais aux exploitants agricoles, et Renforcer la gouvernance et la mise en œuvre des politiques publiques dans le secteur agricole.  

Bamba Mafoumgbé 

Les animateurs politiques du Rassemblement des houphouetistes pour la démocratie et la Paix (Rhdp) de Treichville, ont été outillés, le vendredi 20 janvier 2023 au cours d’un atelier de formation politique, à mieux appréhender et maitriser les fondamentaux de leur parti.  
 Une initiative du secrétaire départemental et son bureau qui a mobilisé 150 animateurs politiques Rhdp de la cité n’zassa (délégués de zone, secrétaire de section, UE-Rhdp, UF-Rhdp, UJ-Rhdp…). Ils   ont bénéficié à la salle de mariage de la mairie de Treichville, de cet atelier avec différents thèmes. Dont « La philosophie politique du Rhdp », « Le Rhdp : statut et règlement intérieur » et « Le code de conduite du militant Rhdp ». 
 Pour  le secrétaire départemental du Rhdp Treichville, Docteur Sidiki Cissé et son bureau, cet important moment de renforcement de capacités, était  placé sous le parrainage du ministre François Albert Amichia, maire de la commune de Treichville, sous le co-parrainage de l’honorable Amy Toungara, députée de la circonscription de Treichville, et sous la présidence du Secrétaire national, chargé de la formation et de l’Institut politique du Rhdp, le  professeur Justin Koffi a été selon le secrétaire départemental du Rhdp, « une formation pratique ». 
Même s’il reconnait que cela a été fait à travers un panel, avec des panelistes chevronnés. Citons Brou Yapo, Prof David Soro et  Mme Kié Bi  qui ont été  envoyés par le secrétaire national chargé de la formation et de l’Institut politique du Rhdp. « Ces panelistes qui à travers le thème que nous avons proposé, ont expliqué aux militants les points qui revenaient souvent dans nos discussions », a tenu à préciser Docteur Sidiki Cissé. 
Pour lui, ces   experts  ont touché plusieurs thématiques dont la question de la discipline du parti. « Chacun ayant son interprétation de la discipline du parti. Il a fallu que les panelistes dissèquent cette question afin de permettre à tous d’avoir une idée de la discipline du parti telle que conçue par le parti. Ils ont reçu des explications claires sur les tenants et aboutissants de la discipline d’un militant. », s’est-il réjoui, affirmant également que les 150 animateurs politiques iront percuter le message entendu aux militants de leurs différentes zones, sections et structures. Il n’a pas oublié de mentionner la question de la vie du parti, le bien-fondé des cotisations du parti. « Les militants savent désormais que la vie et le fonctionnement de leur parti dépendent d’eux. Ici à Treichville, c’est l’entente. Nous devons nous inspirer des actions et des idéaux de paix du Président de la République, Sem Alassane Ouattara », a relevé le secrétaire départemental Rhdp Treichville, le Dr Cissé Sidiki.  Qui n’a pas manqué de rappeler : « La conquête du pouvoir d’Etat qui est la priorité de tout Parti politique, passe nécessairement par des militantes et militants instruits, formés et disciplinés. Il est indéniable que pour prétendre gagner toutes les élections dans notre pays, il faut impérativement connaître nos droits et devoirs en tant que militant. C’est la raison pour laquelle, le Secrétariat Départemental du Rhdp Treichville a initié cet atelier de renforcement des capacités des animateurs politiques du Rhdp en vue de répondre à l’impératif de restructuration de notre Parti et préparer les futures échéances électorales. » (  voir discours en encadré)     A son tour,  le Professeur David Soro, membre du secrétariat national de l’Institut politique et paneliste a indiqué que l’initiative du Secrétariat départemental de Treichville doit faire un cas d’école dans les autres secrétariats départementaux. « C’est un début et ce genre de formation va se poursuivre dans les différents secrétariats départementaux pour bien former nos militants, l’ancrage idéologique du Rhdp et surtout à bien connaitre les textes qui le régissent ».Le Pr Brou Yapo s’est également félicité de la tenue de cet atelier de formation qui selon lui « est d’une grande valeur ». Parce que pour lui « il a permis aux militants de connaitre la philosophie du parti, les statuts et règlement intérieur du parti et une ouverture a été faite sur le code de conduite du militant. A ce niveau nous avons insisté sur la discipline du parti. Discipline qui est indispensable à la vie et à la victoire du parti aux différentes élections municipales, régionales et présidentielles », a-t-il indiqué. Ayoko Mensah

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