Prix garanti bord champ (campagne 2023-2024): Cacao 1000 Fcfa/Kg;  Café  900 Fcfa/Kg

dimanche 12 mai 2024
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Un arrêté interministériel a été adopté par les Ministres en charge du commerce, de l’Industrie et de la Promotion des Pme, de l’Economie et des finances, du Budget et du portefeuille de l’Etat, le mercredi 16 novembre 2022.  Selon le document,  en question, le plafonnement  concerne  certains produits de grande consommation figurant sur la liste des produits soumis à la réglementation de la concurrence et des prix. Ce sont au total 7 produits dont le riz, l’huile de palme raffinée, le sucre, la viande de bœuf, la tomate concentrée, le lait et les pâtes alimentaires.« Les prix du riz, du sucre, de la tomate concentrée, du lait, des pâtes alimentaires, de l’huile de palme raffinée et de la viande de bœuf ne peuvent excéder, toutes taxes comprises, ceux mentionnés à l’annexe du présent arrêté interministériel », indique l’arrêté qui précise que le plafonnement des prix de ces produits s’applique tant à la production qu’à la distribution.Le présent arrêté interministériel qui abroge les dispositions antérieures contraires et qui entre en vigueur à compter de la date de sa signature souligne que le non-respect du plafonnement des prix des produits ci-dessus mentionnés est puni conformément à l’ordonnance n°2013-662 du 20 septembre 2013, sans préjudice de toutes autres sanctions prévues par la réglementation en vigueur.Soulignons que cette décision de plafonnement fait suite aux deux précédentes, dont la dernière a été clôturée au mois de septembre dernier. Elle fait également suite à la décision du Conseil des ministres, selon laquelle désormais les mesures de plafonnement peuvent être adoptées par arrêté interministériel.  Bamba M.  

    

En prélude à la tenue de la Première édition du Festival national des Jeux traditionnels, les 18 et 19 novembre au Stade Alassane Ouattara d'Adzopé, la Directrice générale des Loisirs du Ministère du Tourisme, Mme Isabelle Anoh, à animé une conférence de presse, ce lundi 14 novembre à la salle de conférences dudit Ministère à Abidjan Plateau.  Au nom du Ministre du Tourisme, Siandou Fofana, elle a annoncé, corrélativement au thème de cette grand-messe des jeux authentiques du terroir, que ce sera une opportunité de célébrer le brassage des peuples des 14 Districts et 31 Régions de la Sublime Côte d'Ivoire par des activités ludiques. Bien plus, la Directrice générale des Loisirs, soutenue en cela par ses principaux collaborateurs dont le Pr Emmanuel Gala Bi Tizie, Directeur de la valorisation, de la formation et de la promotion des Jeux traditionnels, a explicité comment par leur pérennisation en vue d'une numérisation, les jeux ancestraux peuvent constituer une niche porteuse de développement local. Sans compter qu'ils constituent un produit culturel d'appel touristique pour booster l'attractivité de la destination ivoirienne. Au menu du Festival qui accueillera plus de 300 compétiteurs autour d'une cinquantaine de jeux traditionnels identifiés parmi les quelque 200 répertoriés, l'on note un panel d'experts, des battles et des démonstrations de haut vol pour une vingtaine de trophées. Le clou du Festival étant un concert géant au Stade Alassane Ouattara de la capitale de la région de la Mé, dont une aire sera transformée en village authentique avec déclamation de contes, jeux et divertissements au clair de lune, autour d'un feu de camp.Ayoko Mensah
 

 


  

  
  

  Le Premier Ministre, Patrick Achi a, à l’occasion de la rencontre avec le secteur privé dans le cadre du séminaire gouvernemental, le 13 novembre 2022, à Yamoussoukro, présenté plusieurs avancées majeures rendues possibles grâce à la qualité de la discussion stratégique initiée entre le Gouvernement et le Secteur publique.
Selon les services de la Primature qui rapporte les échos de cette rencontre, indiquent   que le Chef du gouvernement a indiqué que la concertation État–Secteur privé a permis de diviser par 2 le délai moyen de paiement des mandats pris en charge par les comptables publics. En rendant opérationnel l’applicatif E-fournisseur qui permet aux fournisseurs de l’État de suivre leurs mandats en ligne, de l’engagement jusqu’au paiement. « C’est un gain de temps et de productivité pour les fournisseurs de l’administration publique, ainsi qu’une méthode utile pour limiter les mauvaises pratiques et promouvoir la bonne gouvernance financière », s’est félicité Patrick Achi.
S’agissant du  Programme économique pour l’innovation et la transformation des entreprises, Pepite-Côte d’Ivoire 2030 dont il a procédé au lancement le 5 octobre 2022, le Premier Ministre a révélé que le gouvernement s’est inspiré de l’expérience réussie dans plusieurs pays d’aspiration, pour mettre en place un soutien ciblé aux entreprises à fort potentiel, afin de renforcer leur productivité et leur compétitivité, et de faire d’elles un puissant levier pour l’accélération de la transformation économique de la Côte d’Ivoire. Pepite-Côte d’Ivoire 2030 est un Programme d’excellence basé sur un processus de sélection compétitif, transparent et traçable qui permettra aux meilleurs de devenir bien meilleurs et aux grands de devenir des géants.  L’objectif principal de ce programme est de renforcer les écosystèmes d’affaires de 15 pôles stratégiques, en sélectionnant des startups, des Très petites entreprises (Tpe) et des Petites et moyennes entreprises (Pme) ivoiriennes à fort potentiel, en vue de leur offrir un accompagnement technique et financier pour accélérer leur croissance.
Le dynamisme de la concertation État–Secteur privé a permis d’aboutir à l’ambitieuse réforme du Guichet Unique de Développement des Pme, le Gude, dont la phase de conceptualisation vient de s’achever. Il   sera officiellement lancé avant la fin de cette année 2022. Pour 2023, année charnière qui sera très exigeante sur le plan macroéconomique mondial, le gouvernement et le Secteur privé devront faire plus, plus fort, plus vite, pour tenir et aller encore plus loin ensemble. Et pour cela, a-t-il recommandé, il faudra poursuivre l’amélioration de l’environnement des affaires pour le rendre toujours plus attractif et fertile, de l’encadrement et de l’appui aux opérateurs privés; de la productivité et de la compétitivité des secteurs agricoles et industriels; du système financier, de la finance inclusive et des infrastructures de soutien à l’investissement privé. Bamba M. 

Les travaux du séminaire gouvernemental qui a ouvert ses portes le 12 Novembre 2022, a pris fin le 13 du même mois à Yamoussoukro.  Selon le communiqué final, les réalisations au titre de l’année 2022, feront l’objet d’un document bilan de l'action gouvernementale qui sera remis à Sem le Président de la République, en janvier 2023. Dans cette note finale, ayant sanctionné les travaux présidés par le Premier ministre Patrick Achi, il est rapporté que des progrès tangibles ont été réalisés dans plusieurs domaines. Un document, en cours de finalisation, fait le point détaillé des progrès enregistrés au cours de l’année 2022. Il convient, toutefois, de noter que malgré le contexte sous-régional difficile, la sécurité et les conditions requises à la conduite des activités économiques et sociales ont été garanties.Au titre des projets sociaux, des réformes profondes qui contribuent à réduire les inégalités, à prendre en charge les populations vulnérables et à améliorer les conditions de vie des ménages ont été adoptées. Ainsi, outre la revalorisation des traitements des fonctionnaires et agents de l’Etat, le gouvernement a adopté un nouveau statut de la Fonction Publique, un nouveau statut du Corps diplomatique et procédé à la réforme de l’écosystème des logements sociaux. Les réformes nécessaires pour impulser la Couverture Maladie Universelle ont été adoptées, avec des dispositions précises pour améliorer l’accès aux médicaments, au sang et aux soins. 
En outre, au titre des acquis en matière de mise en œuvre de projets d’infrastructures, on peut noter entre autres, l’électrification de 455 localités de janvier à fin octobre 2022 d’une part, et les projets d’infrastructures routières notamment les 4ème et 5ème ponts. Sans oublier l’autoroute de contournement d’Abidjan, l’Autoroute YamoussoussoukroTiebissou finalisée, l’achèvement projeté à fin décembre 2022 du boulevard Latrille, le démarrage effectif de plusieurs échangeurs à Abidjan(Akwaba, Macaci) et  l’alimentation en eau potable de 155 quartiers et sous quartiers d’Abidjan et de ses environs. Aussi, l’on note l’octroi de 165.000 branchements sociaux, soit 1.650.000 personnes impactées.   Ce n’est pas tout !  Il a été enregistré l’achèvement de 1158 latrines « écoles » (Environ 200 écoles) et la construction de 40 Unités compactes de traitement d’eau de 100 m3/j posées dans les régions du HAMBOL, GOH, GBOKLE, BELIER, SAN PEDRO, N'ZI, IFFOU, NAWA, AGNEBY-TIASSA ; Des infrastructures en voie d’achèvement Au port de San pedro, l’on note l’achèvement de la première phase du Terminal Industriel et celui de la construction du deuxième terminal à conteneurs du Port d’Abidjan d’une part, et la construction, la réhabilitation ou l’équipement des Maisons d’Arrêt et de Correction (Mac) de Bouna, Guiglo, Tabou, Séguéla, Sassandra, Sinfra et Divo.  En ce qui concerne la Can2023, il est à noter la poursuite de l’achèvement de la construction des infrastructures sportives et non sportives de la Can 2023 dans les villes d’Abidjan, de Bouaké, de Korhogo, de San-Pedro et de Yamoussoukro, ainsi que l’accélération des travaux du parc des expositions d’Abidjan.En matière de capital humain L’on note l’ouverture de l’Université de San-Pedro et la construction des infrastructures des Universités de San-Pedro (Phase 2) et de Bondoukou. Ainsi que  la construction/réhabilitation et l’équipement de 312 Etablissements Sanitaires de Premier Contact, 8 Centres Hospitaliers Régionaux (Aboisso, Adzopé, Man, SanPédro, Daloa, Yamoussoukro, Korhogo et Guiglo), 5 Hôpitaux Généraux (Danané, Méagui, Grand-Bassam, Yopougon-Attié, Adjamé), 5 services spécialisés (Abengourou, Toumodi, Bouna, Séguéla, Daoukro) ;Dans le secteur de l’éducation, sont à souligner la construction de 43 collèges et lycées, 133 salles de classe pour le préscolaire, 432 salles de classe pour le primaire, 33 points d’eau et 155 blocs-latrines. Sans oublier le démarrage des travaux de construction/réhabilitation et équipement de 9 établissements d’Enseignement Technique et de Formation Professionnelle(Dabakala, Diabo, Ebimpé, Gbéléban, Kong, Korhogo, Yamoussoukro, Yopougon) ;- le recrutement de 15 300 enseignants dont 10 282 contractuels du PSGouv 1.  La création de 210 centres d’alphabétisation   Ici, la Formation de 2 000 jeunes dans le cadre du déploiement de l’apprentissage est un fait tangible ainsi que le recrutement de 200 personnes en situation de handicap à la Fonction Publique.  Ajoutons également la mise en activité de 4139 jeunes vulnérables dans les Travaux à Haute Intensité de Main d’œuvre (Thimo). Pour ce qui concerne les priorités de l’année 2023, une feuille de route détaillée sera transmise à tous les membres du Gouvernement, par le Premier Ministre, au plus tard le 15 décembre 2022. Cette feuille de route fera l’objet d’une matrice des livrables à remettre à Sem le Président de la République en janvier 2023, en même temps que le document détaillé du bilan du Programme du Gouvernement 2022.Ce document détaillé, indique la note   prévoit des réalisations prévues en 2023 sera élaboré en tenant compte des axes prioritaires ci-après : le renforcement de la lutte contre les fragilités dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et  la poursuite et l’intensification des projets sociaux dans le cadre de la mise en œuvre du PSGouv 2, afin de donner plus d’accès à la Santé avec la Cmu, à l’électricité et à l'eau potable d’une part, et l’amélioration du dispositif statistique l’amélioration des conditions de mobilité des biens et des personnes, d’autre part.  Avec la relance et l’approfondissement de l’entretien routier et des travaux d’infrastructures routières. Dans l’administration, cap a été mis sur la   mise en œuvre d’un plan de migration vers digitalisation ainsi que le renforcement de la digitalisation des moyens de paiement, de la gestion des finances publiques et de la chaine foncière. L’instauration d’un identifiant unique pour les populations et les entreprises.  Au terme des présentations, les échanges ont permis de relever des problématiques majeures suivantes à adresser :  l’orpaillage illégal et ses conséquences au plan sécuritaire, social, environnemental et agricole ; l’amélioration de la nutrition et celle des infrastructures scolaires, le renforcement des effectifs d’enseignants dans certaines disciplines ainsi que la maîtrise des effectifs d’élèves dans les salles de classes. Sans la prise en compte des problématiques liées à la jeunesse et à la femme dans tous les projets du gouvernement ainsi que l’accélération des réflexions relatives à l’impact du numérique sur le système scolaire, l’enseignement technique et l’enseignement supérieur.  Par ailleurs, la prise en charge de l’indemnisation des populations impactées dans le cadre de la réalisation de projets d’infrastructures de développement   a été adressée.  L’encadrement du développement urbain, les conséquences de la transhumance et de la divagation des animaux et   la conservation des trésors culturels et la gestion des musées ne sera pas oubliés.  Le communiqué final indique aussi la mise en œuvre de réformes visant à disposer de villes secondaires complètes afin de créer des pôles de développement régionaux. B. Mafoumgbé Source : Extrait du communiqué final du séminaire gouvernemental   de Yamoussoukro  du 12 au 13 novembre 2022   

 « C’est avec un réel plaisir que je vous retrouve ce jour, à l’occasion de ce séminaire, pour faire le bilan du plan d’action 2022 et valider nos priorités pour l’année 2023.Je voudrais me féliciter de ce rassemblement gouvernemental, des échanges fructueux qu’il va engendrer, de l’ambition et de la discipline communes qu’il porte. Et ce, conformément à la volonté du Président de la République, Sem Alassane Ouattara qui, vous le savez, accorde une importance capitale à la planification rigoureuse, au suivi pointilleux et à l’évaluation exigeante de l’action publique.Le Chef de l’État nous demande en effet de mettre au cœur de notre mission, le principe républicain de redevabilité. Ce principe clé impose en effet au pouvoir exécutif d'expliquer ses décisions et de rendre compte régulièrement de son action devant la nation. C’est avec une telle exigence de bonne gouvernance, alliée au sens du leadership du Président de la République et à la mobilisation de l’ensemble des Ivoiriens, que notre pays a pu enregistrer des performances économiques et sociales aussi puissantes et durables, saluées par tous depuis 2011.
Et c’est parce que nous avons atteint ces résultats, c’est parce que nous avons bâti de telles fondations, que notre nation a su traverser les crises mondiales récentes, de la Covid aux conséquences de la guerre en Ukraine, avec résilience.Sans cette gouvernance, sans ces performances, nous n’aurions pas été en mesure de préserver de la même façon la cohésion de la société, de protéger la dynamique de croissance indispensable à la réalisation d’une Côte d’Ivoire toujours plus solidaire. A nous donc de saisir ensemble l’importance cruciale de ce moment de travail gouvernemental, pour nous permettre de continuer à réaliser la vision 2030 du Chef de l’État et de répondre positivement aux attentes immenses de nos populations.Je ne saurais terminer cette introduction sans faire une adresse particulière au secteur privé, qui a accepté, comme l’année dernière, de participer à ce séminaire lors de notre seconde journée, pour aborder les grands sujets d’intérêt commun qu’il nous faut accélérer demain. En acceptant de sacrifier un week-end de repos pour être avec le Gouvernement, nos partenaires du monde de l’entreprise font la preuve de leur engagement pour le développement de ce pays qu’ils chérissent tant, comme nous tous.Mesdames et Messieurs, Conformément aux instructions du Président de la République pour accélérer la mise en œuvre des projets et réformes, chaque membre du gouvernement sera appelé au cours du séminaire, à présenter de façon synthétique d’une part le bilan 2022 de ses activités, d’autre part ses priorités d’action pour l’année 2023. 
Ce bilan et ces perspectives feront ensuite l’objet d’un débat dans un climat de collégialité, d’ouverture et de recherche d’excellence.L’objectif visé est de disposer, dès décembre, d’un programme d’activités structuré et cohérent, qui permette d’optimiser l’exécution des projets durant l’année et de se concentrer sur la dizaine de priorités de notre action gouvernementale : 1. Les projets sociaux, avec notamment le PSGOUV2, qu’il nous faut accélérer en matière d’accès à la santé, à l’électricité, à l’eau potable pour toujours réaffirmer la solidarité de la Nation vis-à-vis des populations fragiles en particulier dans le cadre de la lutte contre le terrorisme dans les zones frontalières ;2. La poursuite et l’accélération des grands chantiers d’infrastructures en cours, qui doivent une fois achevés être des véritables « boosters » de notre croissance économique ;3. L’amélioration de notre productivité, en particulier dans le secteur agricole, pour assurer notre souveraineté alimentaire et faire de notre pays le grenier de la sous-région ; 4. La transformation locale de nos matières premières, pour plus de création d’emplois et de valeur ajoutée sur l’ensemble des chaines de valeurs ;5. L’amélioration du capital humain, avec notamment le renforcement de la complémentarité entre l’enseignement général, l’enseignement technique et la formation professionnelle et l’enseignement supérieur, l’accélération de la généralisation de la CMU ;6. L’accélération du développement du secteur privé pour une économie plus compétitive et inclusive, à travers l’opérationnalisation effective du nouvel écosystème mis en place, afin de générer toujours plus d’emplois pour insérer durablement notre jeunesse ; 7. L’impulsion donnée à la production de logements sociaux ;8. L’accélération du processus de digitalisation de l’économie et de modernisation de l’administration publique ;9. L’identification des populations et des entreprises, avec l’attribution d’un numéro d’identifiant unique à chacun ;10. La lutte contre la corruption, le renforcement de la gouvernance et la promotion de la culture du résultat.Au terme de nos travaux, les priorités seront traduites par Ministère en feuille de routes, afin de disposer d’une matrice des livrables, qui servira de base à l’élaboration du catalogue des réalisations en fin d’année 2022.L’année 2023 constitue une année charnière, vous le savez, qui doit nous amener à achever des projets stratégiques pour accueillir des grands évènements internationaux, comme la Foire commerciale Intra-Africaine et la CAN 2023 en janvier 2024.Mesdames et Messieurs les membres du Gouvernement, Ce séminaire doit, en complément de ces axes stratégiques d’action, nous permettre d’aborder avec franchise des enjeux de progrès. Je veux ici insister sur trois d’entre eux.  Tout d’abord le taux d’exécution de nos projets. Celui-ci n’est pas encore à la hauteur de notre ambition et de celle du Président de la République. Et vous le savez, s’il est fondamental de savoir mobiliser des ressources, il est tout aussi fondamental pour la performance de notre croissance et la crédibilité de notre pays de réussir à exécuter majoritairement les projets dans les délais prévus. Pour nous permettre aussi de mobiliser encore plus de ressources à l’avenir. Il nous faut donc progresser, gagner en exigence sur le suivi de nos projets stratégiques. Ce sera en 2023 un des éléments clés du suivi et de l’évaluation des ministères, pour lequel nous ferons désormais un point d’information lors de chaque Conseil de Gouvernement, pour identifier et lever immédiatement les blocages éventuels.La Couverture Maladie Universelle devra faire l’objet de la plus grande attention en 2023, afin de permettre à ce puissant outil de solidarité, de permettre à tous de se soigner à moindre coût. Le 2ème point de progrès est situé en amont des projets. Nous devons en effet avoir bien plus recours aux fonds d’études, qui ne sont pas assez sollicités alors que concrètement disponibles. Bien utilisés, ils nous permettront de mobiliser avec plus d’efficacité et de volume les ressources de nos partenaires financiers, pour agir pour le quotidien de nos populations.3ème et dernier axe de progrès, il s’agit d’un axe aval qui concerne notre communication. Elle doit être plus massive sur nos réalisations, qui ne sont pas assez vues, pas assez connues. Elle doit être plus systématiquement médiatique, sur les chaînes de télévision, de radio, sur les réseaux. Elle doit être plus proactive et interactive, ne pas craindre le débat, l’interpellation, consubstantiels de la démocratie. Ces trois axes sont pour nous des leviers d’accélération et d’amplification de notre action et de nos résultats. La Côte d’Ivoire a accompli une décennie extraordinaire sous le leadership du Chef de l’État, en doublant son PIB par habitant et en réduisant sa pauvreté de plus de 16 points. Face aux objectifs de progrès portés par la vision 2030, il nous avancer à marche soutenue. Pour doubler à nouveau le PIB par habitant, ramener la pauvreté en-deçà de 20%, porter l’espérance de vie à 67 ans, nous devons encore accélérer, dans un contexte planétaire contraint et volatile,à un moment où le changement climatique, loin d’être un concept lointain, frappe à notre porte avec force. C’est pourquoi, aussi, nous devons de plus en plus intégrer demain les concepts de « finance verte » et développer une expertise nationale dans ce domaine pour lever les financements nécessaires et tenir face au défi climatique. Des financements que nous avons déjà initiés avec l’Initiative d’Abidjan prise lors de la COP15 et qu’il nous revient désormais de rendre opérationnels. Mesdames et Messieurs,Ce séminaire nous permettra de décliner les projets et réformes retenus en une matrice d’actions par District Autonome, afin de permettre aux Ministres-Gouverneurs, de mieux jouer leur rôle desuivi des projets gouvernementaux dans leurs zones respectives. Pour la bonne tenue de ce séminaire, un travail entre les membres de mon Cabinet et les services de chacun des Ministères a permis en amont de réaliser la synthèse du bilan, la formulation des actions, la hiérarchisation des priorités et leurs coûts, en lien avec les ressources budgétaires disponibles pour 2023, sur la base d’un canevas de présentation qui permettra à chaque membre du gouvernement de disposer de 10 minutes de présentation. J’invite ainsi chaque Ministre à optimiser le temps imparti, pour nous permettre de couvrir ensemble la totalité des sujets fixés. 
Au cours de nos travaux, il nous reviendra de nous assurer de la cohérence d’ensemble de ces actions pré-identifiées, avec pour objectif, (i) le maintien de notre dynamique puissante de croissance économique, (ii) l’offre d’infrastructures et de services sociaux en réponse aux attentes populations et (iii) lerespect de nos engagements tant internes qu’extérieurs.La validation de ces actions permettra au gouvernement de disposer d’un tableau de bord pour conduire l’action gouvernementale, conformément aux orientations stratégiques dule Président de la République. La recherche d’efficacité et de résultats reste le leitmotiv de l’action gouvernementale.A cet effet, suite au séminaire, un travail d’approfondissement sera fait pour aboutir à une feuille de route que j’adresserai à chaque Ministre indiquant les réformes et activités prioritaires pour 2023, les livrables attendus et le cadre de suivi-évaluation tout au long de l’année.Mesdames et Messieurs,Dans ce temps des tempêtes qui touche notre planète et impacte l’Afrique de façon soudaine et probablement durable, la tâche du Gouvernement en 2023, qui débute avec ce séminaire,ne sera ni simple, ni douce, ni légère. Elle sera faite d’exigencesà assumer, d’obstacles à lever et d’engagements à honorer.Nous n’aurons, pour notre action, qu’un seul crédo : « Rigueur -Efficacité - Visibilité ». Avec pour obsession permanente la production de résultats concrets, d’actes qui impactent le quotidien des populations, qui apportent des solutions tangibles, innovantes 
et rapides à leurs préoccupations comme à leurs espoirs.Je sais que c’est là l’état d’esprit qui anime chacune et chacun d’entre vous, conscients de l’immense honneur de votre mission et de la confiance attentive accordée par le Président de la République, SEM. Alassane Ouattara. Je sais que ce sera là, la clé de notre réussite collective !Au Travail donc ! Et très bon séminaire à nous toutes et tous » Y amoussoukro Novembre 2022 

Le Premier ministre ivoirien, Patrick Achi a procédé à l’ouverture d’un séminaire gouvernemental ce samedi 12 novembre 2022 à Yamoussoukro.  Selon   abidjan.net, ce  séminaire dont l’objectif est de jeter un regard rétrospectif d’abord sur le bilan du programme du gouvernement 2022 et d’envisager des perspectives pour 2023 a été l’occasion pour le Premier ministre a indiqué que conformément aux instructions du Président de la République, Alassane Ouattara pour accélérer la mise en œuvre des projets et réformes, chaque membre du gouvernement sera appelé au cours du séminaire, à présenter de façon synthétique d’une part le bilan 2022 de ses activités, d’autre part ses priorités d’action pour l’année 2023. »
Ce bilan et ces perspectives feront ensuite l’objet d’un débat dans un climat de collégialité, d’ouverture et de recherche d’excellence.  Selon ladite source, le  chef  du gouvernement ivoirien a dit que   « l’objectif visé est de disposer, dès décembre, d’un programme d’activités structuré et cohérent, qui permette d’optimiser l’exécution des projets durant l’année et de se concentrer sur la dizaine de priorités de notre action gouvernementale » Il s'agit notamment des projets sociaux, avec notamment le Psgouv2, qu’il faut accélérer en matière d’accès à la santé, à l’électricité, à l’eau potable; de la poursuite et l’accélération des grands chantiers d’infrastructures en cours; de l'amélioration de notre productivité, en particulier dans le secteur agricole; de la transformation locale de nos matières premières; de l’amélioration du capital humain; de l’accélération du développement du secteur privé pour une économie plus compétitive et inclusive; de l’impulsion donnée à la production de logements sociaux ; de l’accélération du processus de digitalisation de l’économie et de modernisation de l’administration publique ; de l’identification des populations et des entreprises, avec l’attribution d’un numéro d’identifiant unique à chacun et enfin de la lutte contre la corruption, le renforcement de la gouvernance et la promotion de la culture du résultat.Aussi, Patrick Achi   a indiqué   qu’au terme de nos travaux, les priorités seront traduites par Ministère en feuille de routes, afin de disposer d’une matrice des livrables, qui servira de base à l’élaboration du catalogue des réalisations en fin d’année 2022. À en croire Patrick Achi, l’année 2023 constitue une année charnière, qui doit amener son gouvernement à achever des projets stratégiques pour accueillir des grands évènements internationaux, comme la Foire commerciale Intra-Africaine et la CAN 2023 en janvier 2024. Ainsi donc, ce séminaire doit, en complément de ces axes stratégiques d’action, permettre au gouvernement ivoirien d’aborder avec franchise des enjeux de progrès.
Selon M. Achi, pour doubler à nouveau le PIB par habitant, ramener la pauvreté en-deçà de 20%, porter l’espérance de vie à 67 ans, ''nous devons encore accélérer, dans un contexte planétaire contraint et volatile, à un moment où le changement climatique, loin d’être un concept lointain, frappe à notre porte avec force.'', insiste-t-il.


Le Premier ministre a également soutenu que ce séminaire permettra de décliner les projets et réformes retenus en une matrice d’actions par District Autonome, afin de permettre aux Ministres-Gouverneurs, de mieux jouer leur rôle de suivi des projets gouvernementaux dans leurs zones respectives.


Pour la bonne tenue de ce séminaire, un travail entre les membres du Cabinet du Premier ministre et les services de chacun des Ministères a permis en amont de réaliser la synthèse du bilan, la formulation des actions, la hiérarchisation des priorités et leurs coûts, en lien avec les ressources budgétaires disponibles pour 2023, sur la base d’un canevas de présentation qui permettra à chaque membre du gouvernement de disposer de 10 minutes de présentation. B.M 

Bolloré Transport & Logistics Côte d’Ivoire a procédé, le 11 novembre 2022, à Abidjan, à la remise de médailles d’honneur du travail, à 338 collaborateurs, en présence du ministre de l’emploi et de la protection sociale, de la Direction générale, des partenaires de l’entreprise, ainsi que des membres des familles des récipiendaires.
Ils sont au total 338 médaillés, répartis dans 4 grandes catégories dont : 12 médaillés « Grand Or », 25 médaillés « Or », 174 médaillés « Vermeil » et 127 médaillés dans la catégorie « Argent ». Ces médailles viennent récompenser les femmes et les hommes de l’entreprise qui totalisent au moins 15 ans d’ancienneté et qui se sont, au fil des années, démarqués par la qualité de leur travail, leur fidélité, et leur loyauté au service de leur employeur.
Au travers de ces distinctions, Bolloré Transport & Logistics Côte d’Ivoire renouvelle également sa reconnaissance envers ces travailleurs dont le dévouement contribue significativement à l’amélioration continue de ses performances et à ses bons résultats.
« C’est une grande fierté pour nous de distinguer nos collaborateurs qui consacrent leur énergie au développement de notre entreprise et de ses activités. Ils sont notre principale force et les artisans de nos succès, c’est donc à juste titre que nous célébrons leur contribution inestimable. », a déclaré Joël HOUNSINOU, Directeur général de Bolloré Transport & Logistics Côte d’Ivoire.
Bolloré Transport & Logistics Côte d’Ivoire est un employeur engagé auprès de ses collaborateurs et soucieux de leur bien-être. L’entreprise contribue ainsi au développement de leurs compétences notamment via le Centre de Formation Portuaire Panafricain (Cfpp) de Bolloré Transport & Logistics et met en place un accompagnement tout au long de leur parcours professionnel pour les faire évoluer en interne.
Au nom du gouvernement ivoirien, Adama Camara, Ministre de l’emploi et de la protection sociale a dit toute la reconnaissance du gouvernement à ce groupe citoyen. « Je voudrais débuter mes propos en adressant à chacun de vous mes salutations les plus chaleureuses et mes remerciements pour le temps que vous avez pris pour nous accompagner dans le cadre de cette cérémonie de décoration de 338 travailleurs de Bolloré Transport et Logistique Côte d’Ivoire »
Aussi, il n’a pas manqué d’ajouter : « Il n’y a rien de plus honorable que de louer la qualité et le mérite de toutes celles et de tous ceux qui, durant toute leur vie, n’ont ménagé ni leur temps ni leur courage, encore moins leur peine pour contribuer à l’essor du tissu économique de notre pays. »
Ayoko Mensah

 

Le Premier Ministre ivoirien, Patrick Achi, et les membres du gouvernement seront les 12 et 13 novembre 2022 à Yamoussoukro, à l’occasion d’un séminaire gouvernemental. C’est l’information que nous venons d’apprendre en cette fin de soirée du 10 Novembre 2022, de sources officielles et proche de la Primature ivoirienne.
Selon cette source, « il s’agira pour le chef du gouvernement et son équipe de jeter un regard rétrospectif d’abord sur le bilan du programme du gouvernement 2022 et d’envisager des perspectives pour 2023 »

Ce séminaire gouvernemental, sera l’occasion de faire mention des réalisations majeures au cours de l’année 2022, notamment le deuxième Programme Social du Gouvernement (PSGouv 2), qui vise l’amélioration du cadre et des conditions de vie des populations. Le conclave permettra également d’exposer les difficultés et contraintes de mise en œuvre des feuilles de route. Les conclusions du séminaire serviront de base à l’élaboration de recommandations à transmettre à chaque Ministre au titre de l’année 2023.
Ce séminaire définira les axes stratégiques d’actions des différents départements ministériels pour la période 2021-2023, sur la base du Programme « Une Côte d’Ivoire solidaire » du Président Alassane Ouattara et du Plan national de développement (Pnd 2021-2025). A cet égard, une matrice d’actions sera élaborée, qui devra comprendre les projets et investissements, avec identification des livrables ainsi que les réformes à mettre en œuvre en 2023.
Bamba M.

 

Le Secrétariat Exécutif de la Commission Nationale des Frontières de Côte d'Ivoire (Cnfci) a organisé l'atelier National de validation du document de Politique nationale de gestion intégrée des Frontières de la Côte d'Ivoire et de son plan d'actions budgétisé, ce mercredi 09 novembre 2022, dans la ville historique de Grand-Bassam. L'atelier va donc se tenir sur deux journées durant du 09 au 10 novembre 2022.
Le processus d'élaboration de la Politique nationale de Gestion Intégrée constitue une dimension importante des politiques et des stratégies de développement du gouvernement. C'est pourquoi, ladite politique a été envisagée, dans son élaboration, sur la base d'une approche participative qui intègre, au plan régional, les orientations de la Cédéao et de l'Uémoa et celles de l'Union africaine (Ua) au niveau continental, définies dans la Stratégie de l'Union africaine pour une meilleure gouvernance intégrée des frontières, l'agenda 2023 et le plan et des Règlements sanitaires internationaux 2005 entre autres.
Djakaridja Konaté Secrétaire Général du Cnfci, par ailleurs Préfet hors-grade prenant la parole a exprimé ses sentiments de reconnaissance à l'ensemble des experts pour leur disponibilité et leur participation qualitative à ce projet de portée majeure.
« Pour moi cette activité a trois significations particulières. En premier lieu cela marque la fin d'un long processus participatif et inclusif, qui a vu éclore la participation de tous en toute harmonie.  D'où je salue l'ensemble de tous les experts qui y ont contribués. Deuxièmement, cela traduit une volonté collective de la grande famille des acteurs communs qui œuvrent à trouver des solutions pour l'élaboration de cette politique frontalière. Et troisièmement, c'est avant tout la manifestation et l'expression d'une conscience patriotique pour l'engagement que chaque acteur a bien voulu consentir pour l'accomplissement de cette mission de haute importance » a-t-il signifié.
Daouda Ouattara, Préfet Hors-grade représentant du Premier ministre Patrick Achi , tout d'abord au nom du Premier Ministre a félicité et encouragé tous les experts pour le travail de qualité réalisé par ceux-ci en ces termes, «  Au nom de Sem Patrick Achi, président de la commission nationale des frontières de la Côte d'Ivoire, je voudrais dire à tous que le gouvernement ivoirien est très reconnaissant pour ces différents appuis et vous réaffirmer son engagement à œuvrer à raffermir davantage les liens qui nous unissent. », a-t-il indiqué .
Poursuivant son propos, il a confié la volonté du gouvernement ivoirien de savoir et pouvoir compter sur cette belle dynamique qu'il entretient avec cette équipe d'experts pour la prochaine phase de mise en œuvre de la Politique nationale de gestion Intégrée des frontières de la Côte d'Ivoire. Bien après il a déclaré ouvert l'atelier de validation au nom du chef du gouvernement ivoirien.
L'ensemble des travaux de cet atelier a fait l'objet de consolidation par les consultants internationaux. Le projet 2.0 de la politique nationale et son plan d'actions a été élaboré suite à cet atelier avec l'appui des consultants. Et cela toujours dans une approche inclusive et transversale, ce projet devra être présenté aux principaux acteurs de gestion des frontières avant sa soumission aux instances nationales pour son adoption.
Pour l'organisation dudit programme, la Cnfci est en partenariat avec plusieurs structures non gouvernementales que sont notamment, le Programme des Nations Unies pour le Développement (Pnud) , International Center for Migration Policy Développement (Icmpd) et la Coopération Allemagne à travers la Giz /Pfua .A cet effet plusieurs personnalités parmi lesquels l'on compte les participations du préfet et du maire de Grand-Bassam, le représentant de l'Ambassade de la Suisse et de   l'ambassadeur de l'Allemagne. Aussi l'on enregistre une Présentation Introductive du processus du Programme national de gestion intégrée des frontières et des résultats exécutés   avec brio par le Dr Edmond Souké.  Ayoko Mensah 

Dans le cadre du suivi du pacte économique passé avec l’industrie du cacao par l’Initiative Cacao Côte d’Ivoire – Ghana, le Conseil du Café-Cacao avec le soutien du COCOBOD, a initié des discussions, le lundi 31 octobre et le jeudi 03 novembre 2022 respectivement avec le chocolatier Mondelez et les exportateurs Cargill, Olam, Ecom Trading, Cemoi, Touton, Barry Callebaut, ETG et Sucden.  Indique un projet de communiqué de presse en date du mardi 8 novembre 2022 et signé à Abidjan,  dont nous avons eu copie.  Aussi, ledit document précise :   « Au cours de ces discussions, Le Conseil du Café-Cacao a tenu à exprimer sa vive préoccupation sur les réticences de l’industrie du cacao à respecter ses engagements librement exprimés à payer le Différentiel de revenu Décent (Drd).En effet depuis le lancement du Drd en 2019, et malgré le soutien public affiché par l’industrie du cacao, ce mécanisme de prix n'a pas encore permis de réaliser pleinement l'ambition de garantir une hausse soutenue des prix bord-champ du cacao en Côte d’Ivoire et au Ghana ». Malheureusement, poursuit le projet de communiqué, « Le constat est que les niveaux de différentiel d’origine proposés par le négoce et l’industrie a varié entre -150 et -250 Livres Sterling la tonne, érodant largement les 400 dollars par tonne du Drd. Ceci a pour conséquence immédiate l'altération des effets bénéfiques au profit des producteurs. »Face au refus de l’industrie de respecter ses engagements, le Conseil du Café-Cacao et le COCOBOD ont décidé dans un premier temps d’exprimer leur mécontentement et d’envoyer un message clair par leur absence à Bruxelles, indiquant ainsi que les deux pays ne compromettront pas les moyens de subsistance de leurs producteurs.Aussi, rapporte la source, « Le Conseil du Café-Cacao et le COCOBOD invitent-ils l’industrie du cacao et du chocolat, responsable de cette regrettable situation, à prendre les dispositions pour la reprise effective des achats conformément aux engagements pris. Passé la date du 20 novembre 2022, Le Conseil du Café-Cacao et le COCOBOD feront des recommandations à leurs gouvernements respectifs pour prendre des mesures allant jusqu’à la suspension de tous les programmes de durabilité et à l’interdiction d’accès aux plantations pour effectuer des prévisions des récoltes. »  Car, termine la note,  « le partenariat que nous devons forger ensemble est celui du respect mutuel de nos engagements pour assurer la durabilité de la filière et sortir de la pauvreté les millions de petits producteurs de nos pays » 

Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

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