Prix garanti bord champ (campagne 2023-2024): Cacao 1000 Fcfa/Kg;  Café  900 Fcfa/Kg

lundi 29 avril 2024
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ossey84

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Présent en Côte d’Ivoire, depuis Septembre 2017, SEM Michael Grau, Ambassadeur de la République fédérale d’Allemagne en Côte d’Ivoire, parle de coopération, d’immigration, du processus de réconciliation nationale et des prochaines élections municipales et sénatoriales en Côte d’Ivoire… Interview

Par le passé, on parlait de KfW, mais aujourd’hui c’est le sigle GIZ qui revient. Qu’est-ce qui a changé fondamentalement ?

Pas de changement notable. Ce sont deux agences pour l’implémentation de la coopération allemande avec la Côte d’Ivoire. La KfW intervient dans le financement du développement, à peu près comme la Banque africaine de développement (BAD). Elle soutient financièrement le secteur de l’énergie, le transport de l’énergie à travers la construction des lignes électriques et des projets d’énergie solaire. En un mot, La KfW est active dans le financement des infrastructures. En ce qui concerne la GIZ, elle se focalise plus sur la coopération technique. Elle travaille dans le cadre de l’encadrement des acteurs du monde rural, notamment les cacaoculteurs et ceux responsables des réserves naturelles, en matière de transfert d’expériences et de connaissances socioprofessionnelles aux acteurs du secteur.

Quel est le poids réel de la coopération allemande à ce jour en Côte d’Ivoire ?

Nous partageons les objectifs du gouvernement ivoirien en matière de développement. Nous voulons travailler avec les ivoiriens pour réduire les écarts socioéconomiques, dans l’intérêt du progrès et la stabilisation du pays. Surtout, pour donner des perspectives d’un avenir stable et prometteur à la jeunesse, pour qu’elle puisse réaliser son rêve d’une vie accomplie; et l’aider à trouver une place dans la société, à travers une formation de qualité. On veut aussi contribuer à réduire l’écart entre les pays industrialisés et les pays africains. Cela profitera aux deux partis: pour nous, la Côte d’Ivoire sera un partenaire privilégié dans le domaine de la technologique, du commercial et de la culturel ; le plus important c’est que les Ivoiriens puissent faire un meilleur usage de leurs ressources humains et naturelles, et qu’ils bénéficient largement des plus-values qui en découlent dans leur quotidien.

Par le passé, la coopération allemande était active, dans le cadre de la coopération décentralisée avec les communes rurales, en matière d’assainissement et d’adduction d’eau potable. Aujourd’hui que fait l’Allemagne avec ces communes ?

Nous avons reparti un peu le travail entre les pays membres de l’Union européenne (UE) qui ont des projets en Côte d’Ivoire. Nous ne sommes actuellement pas actifs dans le secteur de l’eau potable. Par contre, nous agissons dans le domaine du développement de l’agriculture dans les environs des parcs nationaux de Tai et de la Comoé. Ceci, dans le but d’arrêter la dégradation des forêts classées, de préserver des aires protégés et d’améliorer les conditions des agriculteurs autour de ces sites. La réhabilitation des oueds (cours d'eau temporaires) et des réserves d’eau fait partie de nos actions. Par an, la coopération bilatérale s’élève en moyenne à 20 millions d’Euros, soit 13, 1 milliards F CFA. À cette contribution, il faut ajouter notre part dans celle de l’UE. Nous sommes aussi actionnaire de la Banque africaine de développement (BAD) et de la Banque mondiale (BM). Une bonne partie des fonds multilatéraux proviennent donc de l’Allemagne. Nous contribuons également à plusieurs projets régionaux en rapport avec la migration tels que le projet d’insertion des jeunes qui retournent dans leurs pays d’origine, parce qu’ils se sont rendu compte de la futilité et des dangers de leur projet migratoire.

Qu’avez-vous concrètement à dire aux jeunes ivoiriens qui seraient tentés par l’immigration clandestine. L’avenir, c’est en Europe ou en Afrique ?

Il y a des chances en Europe pour les personnes qualifiées. En Europe, le marché du travail est très compétitif. Il y a des règles strictes en matière d’immigration qu’il faut respecter. Les entreprises européennes sont prêtes à recruter du personnel de diverses origines. Avec notre « carte bleue », il existe un moyen légal pour cela. Mais, ce qu’on cherche en Allemagne, c’est du personnel qualifié pour les besoins une l’industrie de pointe. Malheureusement, pour la plupart des migrants qui n’ont pas eu accès à une bonne formation, les perspectives ne sont pas non plus bonnes. Chez nous, il n’existe pratiquement pas de secteur informel. Là où il en existe, il constitue normalement un délit, et ceux qui s’y adonnent s’exposent à une poursuite judiciaire. On considère cela comme une concurrence déloyale aux entreprises formelles. Si ici on parle de 90% de secteur informel, en Allemagne on appelle cela l’économie noire, de l’ombre, clandestine. Il n’y a pas de voie légale pour ouvrir sa petite boutique au coin de la rue sans respecter toutes les normes fiscales, sanitaires, d’ordre publique et de zonage. Il faut du savoir et du capital d’investissement pour faire cela. Vendre des repas préparés au bord de la rue est interdit. Il n’y a pas de perspectives pour les jeunes qui n’ont que ça à offrir. Par contre, nous travaillons, entre autres, avec l’Office international de la migration (OIM) pour la réinsertion des jeunes qui retournent chez eux. En ce qui concerne la Côte d’Ivoire, nous contribuons, en collaboration avec l’OIM, au retour des jeunes ivoiriens pour leur donner non seulement des perspectives, mais aussi les aider à trouver une place ici, les orienter vers des structures d’accueil. Spécifiquement, nous sommes partie prenante dans l’opération de rapatriement des jeunes ivoiriens bloqués en Lybie avec les ressources du Fond fiduciaire de La Valette de l’Union Européenne.

Selon vous, pourquoi c’est aujourd’hui que les grandes puissances, notamment occidentales, parlent beaucoup de l’immigration clandestine ? N’ont-elles pas vu les choses venir ?

Les approches sont très différentes si vous comparez l’Europe avec les EEUU( Etats unis d’Amerique) ou avec l’Australie. Nous avons, en Europe, la particularité d’être proche des zones d’instabilité telles que le Proche-Orient avec des guerres et des conflits qui génèrent des refugiés. De l’autre côté, les Africains, ce sont nos voisins qui d’ailleurs comprennent la différence entre les économies africaines traditionnelles et celle des pays développées. Ils sont ouverts à la vie et à la civilisation européenne, ce qui est positif, mais ce qui occasionne parfois des fausses idées. Nous, par contre, on voudrait traiter les Africains comme de vrais voisins, ce qui constitue des défis en ce qui concerne le management de la migration.

Excellence, quel commentaire faites-vous sur l’environnement des affaires et le processus de réconciliation en Côte d’Ivoire ?

L’Allemagne coopère avec votre pays, dans le cadre du compact des G20, afin d’attirer et de mobiliser les investissements privés en Afrique. L’implantation de grands groupes allemands, comme dernièrement la BASF, prouve que notre partenariat est sur la bonne voie. Je suis en Côte d’Ivoire depuis bientôt cinq mois et cela fait trois grandes entreprises allemandes qui se sont implantés ici. Vous demandez comment on trouve le système judiciaire. Nos hommes d’affaires ont eu une attitude très diplomatique et ont travaillé avec des clients assez sérieux pour éviter des litiges. Je ne connais pas, actuellement, des litiges qui touchent nos entreprises. Mais, je vous donne la raison, un système judiciaire fiable est une composante nécessaire pour un bon climat d’investissement.

Que pensez-vous de la réconciliation nationale?

J’essaie de comprendre le sujet, d’abord par intérêt personnel, et par la sympathie que je porte à mes nouveaux amis ivoiriens. Je parle avec nombre d’interlocuteurs. J’ai eu des témoignages bien variés. Certains disent que c’est réglé, d’autres disent que ce n’est pas encore réglé. Lors des messages de fin d’année, il y a eu des mots importants du côté du gouvernement et des confessions religieuses. Je croix qu’il est indispensable de réussir cette réconciliation aux yeux du peuple. C’est avant tout un sujet interne de la Côte d’Ivoire. Et, je crois, dans l’intérêt de mes nouveaux amis ivoiriens, pour préserver la paix et pour maximiser les bénéfices de notre coopération en matière de développement, il faut impérativement réussir cette réconciliation.

Bientôt il y aura des élections municipales et sénatoriales. Qu’attendez-vous de la Côte d’Ivoire?

Il y a eu une réforme constitutionnelle, nous sommes en démocratie, il faut régulièrement des élections pour que les gens croient au système politique de leur pays. En ce qui concerne la Cei, il y a un jugement de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples. Donc je pense que la balle est dans le camp ivoirien. Je partage le point de vue du Gouvernement selon lequel un pays a besoin de structures stables, comme d’ailleurs aussi notre coopération, en matière de développement ainsi que de l’économie, en a besoin pour être efficace. C’est donc important d’aller au renforcement des institutions d’un pays, c’est la raison pour laquelle les élections sont un élément fondamental. Pour que les résultats des élections puissent contribuer à légitimer les institutions et à pacifier le pays, il faut veiller à leur crédibilité et leur transparence. Et nous, en tant que partenaire de la Côte d’Ivoire, supportons tout effort à cette fin.

Bamba Mafoumgbé, Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Le président du Conseil d’Administration du Conseil du Coton et de l’Anacarde, Bamba Madou a procédé ce jeudi 15 février 2018, à Abidjan, à l’ouverture officielle de la campagne 2018 de commercialisation de la noix de cajou. Après avoir rappelé les prix rendus publics la veille par le Gouvernement à savoir prix bord champ de 500F Ccfa/Kg de noix de cajou bien séchées, triées, exemptes de matières étrangères, prix magasin intérieur de 525F Cfa/Kg et prix magasin portuaire de 584F Cfa/Kg, le président du Conseil Coton-Anacarde a affirmé que les indicateurs permettent d’espérer une bonne campagne 2018 de commercialisation de noix de cajou. En effet, a-t-il expliqué, les facteurs climatiques sont favorables ainsi que les prix de la noix de cajou connaissent une tendance haussière au niveau international. Bamba Mamadou s’est voulu catégorique. ‘’Le prix bord champ est un prix plancher minimum en dessous-duquel aucune transaction commerciale n’est autorisée. Le non- respect de ce prix plancher ainsi que les dispositions pratiques de commercialisation expose tout contrevenant à des sanctions pouvant aller au retrait de son agrément’’, a-t-il mis en garde. Le Directeur général du Conseil Coton-Anacarde, le Dr Adama Coulibaly a indiqué que les prévisions de production pour 2018 s’élèvent à 750.000 tonnes. « Une capacité largement à la portée de la Côte d’Ivoire » a-t-il insisté. Pour que cela soit effectif, des mesures rigoureuses seront prises pour empêcher la fuite des produits vers les pays frontaliers, s’est engagé le Dr Adama Coulibaly. « Nous allons prendre des mesures fortes sur les frontières. Nous allons indiquer de façon claire la direction des camions » a prévenu le Directeur général du Conseil Coton-Anacarde. Le Dr Adama Coulibaly a rappelé l’importance qu’accorde le gouvernement à la transformation locale. D’où la décision de réserver 15% de la production 2018 aux transformateurs locaux. Il a, à cet effet, annoncé la tenue de la 3ème édition du Salon International des Equipements et Technologies de Transformation de l’Anacarde (Sietta) du 8 au 10 novembre 2018. Sur le bilan de la campagne 2017 de commercialisation de la noix de Cajou, le Dr Adama Coulibaly a informé que sur une prévision de 715.000 tonnes, la production s’est élevée à un peu plus de 711.000 tonnes. Ce qui a permis l’irrigation de 509 milliards de Fcfa dans le milieu rural. Le Dg du Conseil Coton-Anacarde reste convaincu que la production 2017 a été au-delà des 711.000 tonnes, vu que 1305 camions qui ont chargé n’ont pu décharger et n’ont pu être tracés.

Charles Kader

En parallèle du congrès des énergies renouvelables “Photovoltaica” à Marrakech, Voltalia (Euronext Paris, ISIN code: FR0011995588) (www.Voltalia.com) annonce avoir obtenu des autorisations pour deux projets de centrales hydroélectriques de 9,8 Mw et 7,2 Mw au Maroc. Délivrées par le Ministère de l’Energie, les autorisations concernent deux projets de centrales hydroélectriques de 9,8 MW et 7,2 MW situées dans la région du Moyen Atlas. Elles font suite à l’avis technique positif rendu par l’Office National de l’Electricité et de l’Eau potable pour le raccordement des centrales au réseau national. Les Agences des Bassins Hydrauliques concernées ont également rendu un avis favorable du fait de la qualité des projets présentés par Voltalia. L’électricité produite par les centrales sera vendue dans le cadre de contrats de gré-à-gré de long-terme en cours de négociation avec des clients privés. “Ces autorisations couronnent le travail de fond réalisé depuis 3 ans par notre équipe marocaine” déclare Sébastien Clerc, Directeur Général de Voltalia. “Elles confirment la capacité de Voltalia à se positionner comme un partenaire de premier choix pour assurer l’approvisionnement en électricité de ses clients à un prix compétitif” ajoute Yoni Ammar, Directeur Général de Voltalia Maroc.

Charles Kader

 

La Salle de conférence du siège de l’Autorité de Régulation des Télécommunications/Tic de Côte d’Ivoire (Artci) a abrité le mardi 13 février 2018, la première réunion 2018 du Cadre permanent d’Echanges entre l’Artci et les Associations et Fédérations de consommateurs. En présence des représentants des consommateurs, le Directeur général de l’Artci, Bilé Diéméléou Amon Gabriel, après avoir formé ses vœux pour la nouvelle année, a rappelé le sens de la réunion du Cpe. « La réunion de la Cpe, faut-il le rappeler, est un moment très attendu de l’ensemble de ses membres en ce qu’il donne à tous, l’opportunité non seulement de réfléchir sur le thème principal et les sous-thèmes qui seront abordés pendant l’année, mais aussi, de voir ensemble, les avancées du secteur et ses implications pour les consommateurs » , a expliqué le Directeur général de l’Artci Bilé Diéméléou qui a salué le choix du thème « Rendre les marchés numériques plus équitables » pour cette première réunion du Cpe. Ce thème est d’actualité pour la Côte d’Ivoire, a affirmé le Dg de l’Artci. Car il épouse la vision des autorités, en l’occurrence le Ministère de la Communication et de l’Economie Numérique qui considère le numérique comme un instrument incontournable de création de valeur et de ce fait une opportunité pour la Côte d’Ivoire. Réaffirmant la volonté de l’Artci d’être un acteur clé de l’essor de cette économie numérique qui se construit progressivement et sûrement en Côte d’Ivoire, Bilé Diéméléou a présenté les activités qui seront réalisées dans le cadre du Cpe2018. Il s’agit notamment de la Journée nationale des consommateurs à l’occasion de laquelle des conférences et ateliers de formation seront organisés – une caravane de sensibilisation à l’intérieur du pays via la clinique des Tic – les sessions de formation etc. Le Cadre Permanent d’Echanges est la plateforme d’échanges, de concertation et de dialogue institutionnel créée entre l’Autorité de Régulation des Télécommunications de Côte d’Ivoire (Artci) et les associations des consommateurs. Il s’agit pour l’Artci, d’être à l’écoute permanente des consommateurs, de connaître leurs difficultés pour mieux les adresser. Le Cpe a pour missions d’être le relai entre l’Artci et les consommateurs – Contribuer aux efforts de formation et d’information des consommateurs de façon générale et à une collaboration technique entre ses membres de façon spécifique – Travailler sur la formation et l’information de ses membres – Faire circuler l’information entre ses membres et leurs bases respectives – Dynamiser les échanges et créer une solidarité entre ses membres.

Charles Kader

L‘équipe complète du gouvernement équatoguinéen complètement dévoilé. Du mercredi 07 février au 09 février 2018, les décrets présidentiels nommant les personnalités de l‘équipe gouvernementale se sont succédés L‘équipe gouvernementale comprend en tout 87 membres : un premier ministre, 3 vice-premier ministres, 25 ministres 10 vice-ministres, 18 vice ministres, 10 ministres délégues et 30 secrétaires d‘État.  Ce gouvernement compte plusieurs sortants. Agapito Mba Mokuy ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale depuis 2012 quitte le gouvernement. Miguel Engonga Obiang Eyang, le Ministre des Finances et du Budget également sort également du gouvernement. Víctor Grange Meile et Pedro Ondo Nguema quittent respectivement, les portefeuilles des travaux publics et de l’agriculture, de l’élevage et de l’alimentation. Estanislao Don Malavo aussi quitte son poste de ministre de la Pêche et des Ressourses en eau qu’il occupait depuis juin 2016. Même sort pour Cándido Nsue Okomo beau-frère du président de la république ministre de la Jeunesse et des Sports. Fausto Abeso Fuma, le ministre de l’aviation civile, un autre membre de la famille présidentielle laisse aussi son poste.

 Mais qui sont  les  entrants et les indéboulonnables

Simeón Oyono Esono Angue, l’ambassadeur de la République de Guinée équatoriale, accrédité en éthiopie devient le ministre des affaires étrangères et de la Coopération internationale. Lucas Abaga Nchama l’ancien gouverneur de la Banque des états de l’Afrique centrale (Beac) aussi fait son entrée dans le gouvernement comme ministre des finances, de l‘économie et de la planification.  Quant à Alejandro Evuna Owono Asangono le Ministre d‘État de la présidence de la République chargé des Missions est probablement le plus proche collaborateur du président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo. Il est au gouvernement sans discontinuer depuis une quinzaine d’années. Même réalité pour Clemente Engonga Nguema Onguene qui a plus de 10 ans comme Ministre de l’intérieur chargé du secteur politique, et des corporations locales.  Par ailleurs, ce  gouvernement poursuivra sa politique de diversification basée sur le plan stratégique “Horizon 2020”. Ce plan qui vise une diversification économique capable d’assurer une croissance durable à long terme. Lors de la prestation de serment, des nouveaux membres du gouvernement, Teodoro Obiang Nguema a martelé que le nouveau gouvernement doit travailler pour améliorer l’image politique du pays afin de favoriser les bonnes relations avec les autres Etats. Développer l‘économie et lutter contre la corruption et la délinquance entre autres… le pays a connu une croissance ces dernières années. Malgré cela, la pauvreté reste rampante, les conditions sanitaires sont médiocres et les inégalités importantes. Le chômage est aussi élevé, touchant 9,1% de la population active. La nouvelle équipe est attendue pour s’attaquer aux obstacles qui freinent la croissance et qui découragent le dynamisme des jeunes équatoguinéens.

 Bamba Mafoumgbé, Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

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