Prix garanti bord champ (campagne 2023-2024): Cacao 1000 Fcfa/Kg;  Café  900 Fcfa/Kg

samedi 4 mai 2024
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« (…) Nous sommes ravis de vous recevoir dans le cadre du lancement de notre trouvaille. Un robuste chef d’œuvre doté d’un design moderne, attractif et séduisant, qui je l’espère, vous fera plaisir », a dit Sébastien Proux, Directeur général Tractafric Motors Côte d’Ivoire et Région Afrique de l’Ouest. C’était le 9 février 2023 à Abidjan (Marcory), à l’occasion du lancement de Ford Territory 2023. Poursuivant son exposé, il a ajouté que « Le tout nouveau Ford Territory 2023 », a été conçu pour s’adapter à la réalité du terrain et qu’il vient alors pour s’y imposer dans un univers où la concurrence fait rage. A sa suite, les autres intervenants, notamment le Dg de Ford Afrique nord / Subsaharienne et la Directrice commerciale, ont, tour à tour insisté sur la robustesse et l’élégance de leur produit, qui, selon eux, ne devrait avoir aucune peine à s’imposer. La Côte d’Ivoire, ont-ils expliqué, est le premier pays où, e nouveau modèle vient d’être lancé. Le produit se veut aussi économique, car au feu, le moteur se coupe automatiquement pour faire baisser la consommation.

Les potentiels clients eux, ne se sont pas faire conter. « (…) Ce fut une belle cérémonie. De toutes manières, on connait ce constructeur et chef d’œuvre venant d’elle, n’est guère surprenant. C’est le contraire qui aurait étonné », indique un invité à cette cérémonie. De l’avis d’un autre intervenant, c’est un honneur pour la Côte d’Ivoire d’être le premier en Afrique où ce modèle soit lancé. En tout cas, tous les intervenants, comme s’ils s’étaient passer les mots, ont reconnu la splendeur et le sublime caractère de la ‘’Territory 2023’’. En plus, selon eux, le fait que la Côte d’Ivoire soit le premier pays Africain ou un tel produit soit lancé, est la preuve manifeste de la solidité de son économie.
Bamba M. ( coll : K.S)
Légende photo : Une vue de la nouvelle trouvaille dans toute sa splendeur

La prochaine entrée en vigueur du permis à point en Côte d’Ivoire, continue de toujours alimenter la chronique au bord de la Lagune Ebrié. Sur la question, chacun y va de son commentaire. Si personne n’exclut sa mise en application, beaucoup par contre estiment qu’il y a lieu de revoir la date du 1er mars. Abdoulaye Sylla, président de la Fédération nationale des syndicats chauffeurs de Côte d’Ivoire (Fensci), dit ne pas être contre le permis à point. Mai… « Nous ne sommes pas contre. Bien au contraire. Vous savez, il n’y a jamais un sacrifice de trop pour sauver des vies, où pour pallier à de graves situations comme les accidents. Ces dix dernières années, quand vous regardez dans le rétroviseur, vous -vous rendez compte que ce sont des centaines de milliards qui ont été injectés dans les infrastructures routières. Alors, l’Etat ne les fait pas pour endeuiller sa population, mais plutôt pour améliorer son cadre de vie, lui offrir un mieux-être. »
Les chauffeurs sont partants pour la mesure ?
Pour M. Sylla et les membres de son syndicat, la question n’est pas à ce niveau. « De toutes les manières, tôt ou tard, on va y arriver un jour. Et tout le monde est obligé de suivre. Alors pourquoi pas maintenant, si ça peut largement contribuer à abréger les souffrances, les accidents, les dégâts sur nos routes fraichement faites. Pour nous, comme pour toutes les autres organisations professionnelles du secteur du transport terrestre d’ailleurs, le problème se trouve au niveau de la date de mise en application. On estime pour notre part que la date du 1er mars est trop tôt, pour un sujet d’une telle envergure nationale. Parce que, ce ne sont pas seulement les transporteurs, encore moins les chauffeurs qui sont frappés par la mesure »
Il préconise des communications, de sensibilisations, des ateliers et des rencontres. Sans oublier des formations qui doivent précédés sa mise en application. Aussi, il ne manque pas de faire des révélations quand il dit :
« Lors de l’atelier de l’hôtel Tiama les 9 et 10 septembre 2022, en notre qualité d’organisation professionnelle et mandatés par nos membres, nous avions proposé 30 à 40 points, car estimant qu’il fallait se donner le temps de mieux huiler la chose. Mais si ça n’a pas été le cas, on fait avec. Dans tous les cas, il nous faut changer de mentalité, de manière de faire. Il faut aller au professionnalisme vrai dans sens étymologique du terme. On ne badine pas avec la rigueur. Et puis, quand on sait que les points sont défalqués à partir de la vidéo verbalisation, on est obligé de faire beaucoup attention. Avec les forces de l’ordre, on peut discuter, où faire la ‘’petite action’’. Ce qui n’est pas possible dans le premier cas de figure. Donc tout le monde est appelé à la prudence »
Le processus étant irréversible, M. Sylla invite les acteurs à s’organiser soit même et trouve le coût des séances de rattrapage élevé. « Nous disons que le coût de rattrapage dans le centre de formation qui est de 100 000 Fcfa, est élevé. S’il faut chaque fois payer 100 000 Fcfa, ce n’est pas normal. 50 000 Fcfa, c’est au moins tenable. Il faut aussi clarifier la date d’annulation de la faute. On doit être clairement situer entre un ou deux ans. Mais nous préférons que ça soit un an », propose - t-il
Koné de Sayara

AllAfrica Women Agenda et PhilJohn Academy offrent des bourses de formations sur mesures adaptées à leur niveau à des jeunes femmes d’Afrique.
60 jeunes filles issues de 18 pays africains vont bénéficier de formation dans les domaines du leadership féminin, de l’entrepreneuriat et de la technologie.
Cette initiative entre dans le cadre du programme commun PAWAS (PhilJohn - Allafrica Women Agenda Scholarship) qui vise à favoriser l’éclosion de la gente féminine en Afrique.
Cette formation a pour objectif de favoriser le leadership féminin et l’inclusion numérique de la gente féminine, mais surtout de décupler les opportunités dans la recherche d’emploi et favoriser l’entrepreneuriat féminin.
Elle va bénéficier à des jeunes femmes issues du Bénin, du Burundi, du Cameroun, du Congo, de la RDC, du Mali, du Niger, du Sénégal, du Tchad, du Togo, du Burkina Faso, du Gabon, de la Mauritanie, du Nigeria, des Comores, de la Côte d’Ivoire, du Djibouti et de la Guinée Conakry.
A travers ce partenariat, AllAfrica Women Agenda et PhilJohn Academy s’engagent à œuvrer pour une formation de qualité 100% gratuite afin de faciliter l’intégration et l’autonomisation des femmes dans des secteurs à fort potentiel. Ce qui sonne comme une réponse à la lancinante question de l’insertion professionnelle et l’emploi des jeunes en Afrique,
Les deux entités veulent ainsi permettre aux jeunes femmes africaines d’acquérir des compétences supplémentaires pour mieux évoluer vers le métier de leur rêve ou dans leur future carrière professionnelle.
« Permettre aux femmes de jouer leur rôle dans le développement socioéconomique de l’Afrique passe nécessairement par le renforcement de capacité et la mise à niveau des jeunes filles qui vont incarner le leadership féminin de demain. Il faut dès à présent les encadrer et les orienter pour les aider à mettre en forme leurs idées de projets. Ce qui peut constituer une solution face à la question de l’insertion des jeunes qui touche tous les pays africains », affirme Mme Mariama BA, Directrice Régionale Afrique francophone de AllAfrica Global Media initiatrice de AWA.
Dans cette même dynamique, affirme Mme Davida DOUMTSOP, chief Academy Officer de Philjohn Academy « La connaissance est la clé de la compétence et cela passe au préalable par une bonne formation d'où le programme PAWAS qui vient en appui à la jeune femme Africaine afin de lui transmettre les connaissances, les aptitudes nécessaires pour permettre à cette dernière d'intégrer aisément le monde de l'emploi ou celui de l'entrepreneuriat pour le développement durable de l'Afrique ».

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Contacts presse :
Bacary DABO (Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.)
Davida DOUMTSOP (Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.)
A propos de
AllAfrica Women Agenda (AWA) est une initiative d’AllAfrica Global Media, le plus grand diffuseur d’actualités et d’informations électroniques sur l’Afrique. Il ouvre son réseau à plus de 150 médias africains et quelques 200 autres sources dans le monde, ainsi que des archives contenant plus de six millions (6 000 000) de documents, pour promouvoir le leadership des femmes en sociétés.
Lancés en mars 2015, AWA réaffirme la vision d’AllAfrica à plaider pour l’intégration d’une approche de parité hommes-femmes dans les stratégies de développement.
AWA est l’occasion de faire le point sur la condition des femmes en Afrique et de réfléchir à un plan d’action pour accélérer les activités y afférentes et créer une feuille de route qui donnera une impulsion concrète et opérationnelle à l’économie du continent en ajoutant les femmes comme égales acteurs économiques.
AWA est dédié aux femmes africaines qui se sont distinguées dans leur domaine d’activité. Ce programme se positionne également comme une opportunité d’offrir aux femmes leaders des modèles pour les filles dans le cadre d’une rencontre d’échange que AllAfrica Women’s Agenda organise chaque année dans une capitale africaine.

PHILJOHN ACADEMY est la toute première entité spécialisée dans les formations data au Cameroun, avec pour cible principale les jeunes africains et Camerounais en particulier. Ils auront accès à ces formations à coût très réduit afin de lutter contre les inégalités sociales et ouvrir les formations spécialisantes aux couches vulnérables.
POWER ACADEMY c'est aussi son volet insertion qui a pour but d’assurer la transition des apprenants vers un emploi décent. Le centre intègre également une unité de recherche et de développement qui sera axée sur l'apport des solutions innovantes.
Elle a pour vocation, de former plus de 5000 apprenants chaque année sur les métiers de la DATA et du web3. Elle offre une formation professionnalisante de qualité grâce à +30 chercheurs Data scientist, BI qui assurent la transition vers le monde professionnel. Des partenariats avec les écoles & universités tels que L’INSTITUT UNIVERSITAIRE DE LA COTE (I.U.C) et l'UNIVERSITÉ DE DOUALA (FGI) sont noués afin de créer et solidifier les parcours DATA MANAGEMENT pour +10 000 étudiants.

Après un temps d’arrêt consécutivement à la Covid-19, le Salon international de l’agriculture et des ressources animales d’Abidjan( Sara) , reprend sa route. Avec le lancement de la 6e édition. Qui a pour pays invité, le Royaume des Pays-Bas. C’est ce pays est classé parmi les champions agricoles mondiaux, qui a été choisi pays d’honneur pour partager avec la sous-région ses expériences agricoles et ses opportunités d’affaires.
Le Premier ministre ivoirien Patrick Achi a appelé, ce jeudi 09 février 2023, à Abidjan, à la mobilisation de tous les acteurs du monde agricole africain pour la souveraineté et la sécurité alimentaire.
Le Chef du gouvernement ivoirien profitant de l’occasion, a lancé l’appel à la mobilisation lors du lancement des travaux préparatoires de ce rendez-vous international du monde agricole et des ressources animales. Cet évènement se tiendra du vendredi 29 septembre au dimanche 8 octobre 2023, au parc des expositions d’Abidjan sur la route de l’aéroport dans la commune de Port-Bouët autour du thème :« l’Agriculture africaine face aux chocs internes et externes : quelles innovations structurelles pour améliorer les secteurs agricoles et garantir la souveraineté alimentaire ».


M. Patrick Achi a demandé à tous les acteurs du monde agricole de répondre présent avec des actions et propositions concrètes pour relever le défis de la souveraineté et sécurité alimentaire.

Il a salué la pertinence du thème qui permettra de dessiner les innovations structurelles devant permettre d’améliorer les secteurs agricoles et de garantir la souveraineté alimentaire des pays africains déplorant que près de 285 millions de personnes, soit plus de 20% souffrent quotidiennement de la faim sur le continent, selon les derniers chiffres de la Fao.

« Le moment de faire de l’Afrique un grenier alimentaire, pour elle-même d’abord, pour le monde ensuite. C’est cette ambition qui doit habiter les travaux préparatoires de la 6ème édition du Sara », a préconisé M. Achi.

Aussi a-t-il, souhaité un évènement au niveau des plus grands salons agricoles mondiaux et surtout, d’en faire une agora formidablement utile et positive pour l’agriculture ivoirienne et africaine et plus encore, pour la souveraineté alimentaire et la vie quotidienne des populations. Avant lui,

Le ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture et du Développement Rural, Kobenan Kouassi Adjoumani a invité la jeunesse à prendre une part active à cet évènement avec une journée entière dédiée à celle-ci rappelant que 2023 a été proclamée « Année de la jeunesse » par le président de la République de Cote d’Ivoire.
Plus de 320.000 visiteurs sont attendus pendant les 10 jours du Salon, 800 entreprises exposantes sur une superficie 18.000 m2, 300 rencontres B2B, 1300 rencontres d’affaires et plus de 30 pays représentés.
Les précédentes éditions ont permis de signer des accords et conventions dont les montants globaux sont passés de 38 milliards de Fcfa en 2015 à 238 milliards de francs Cfa en 2019.
La 5e édition du Sara tenue du 22 novembre au 1er Décembre 2019 avait enregistré 786 exposants, dont plus de 473 stands, près de 300.000 visiteurs, plus de 150 rencontres B2B et 950 rencontres d’affaires.

Bamba Mafoumgbé

Le Président de la République, Son Excellence Alassane Ouattara, a reçu en audience, jeudi 02 février 2023, le Président de la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire, M. Ahmed Cissé et son prédécesseur, M. Jean-Marie Ackah.
Lors des échanges, le Chef de l’Etat a réaffirmé à ses hôtes la place de choix que devrait occuper le Secteur privé ivoirien dans la création de richesse nationale. « Pour moi, le Secteur privé doit être le moteur de la croissance », dixit le Président de la République Alassane Ouattara. Celui-ci a insisté auprès de ses convives sur la position libérale de la Côte d’Ivoire. Cependant, il s’est dit très favorable aux politiques publiques permettant de mettre en évidence les entrepreneurs ivoiriens : « Il faut que les entrepreneurs ivoiriens aient une place de choix dans notre politique ». Puis, il a relevé à ses invités que son Gouvernement travaille à cela.
Pour le Chef de l’Etat ivoirien, cela est important, non seulement pour créer une communauté d’hommes d’affaires nationaux capables de tirer le tissu économique vers le haut mais surtout parce que, a-t-il dit, les entrepreneurs ivoiriens sont très compétents et très engagés pour les investissements, les exportations mais également dans la création d’emplois
Le Président Ouattara a expliqué au Président de la CGECI et à son prédécesseur que si la Côte d’Ivoire a des critères macroéconomiques particulièrement bons depuis quelques années, c’est en partie grâce au Secteur privé, qui paie ses impôts et qui emploie les centaines de milliers de jeunes. « Nous comptons sur notre Secteur privé pour que cela puisse continuer » a poursuivi l’Exécutif ivoirien.
Pour rappel, ces dernières années, le secteur privé a pleinement bénéficier de la sollicitude du Chef de l’Etat. Sous l’impulsion du Président de la République, le Dialogue public-privé s’est considérablement renforcé et par la participation récente, des organisations les plus représentatives du Secteur privé aux sessions 2021 et 2022 du Séminaire gouvernemental.
Cette marque d’attention vis-à-vis du Secteur Privé traduit la volonté de l’Exécutif ivoirien d’instaurer une relation forte et durable avec les Chefs d’entreprises opérant en Côte d’Ivoire.
Par ailleurs, au cours de cette première audience de l’année 2023, les hôtes du Chef de l’Etat n’ont pas manqué de lui exprimer la disponibilité du Secteur privé national à œuvrer aux côtés de l’Etat pour la réussite de la mise en œuvre du Plan National de Développement (PND) 2021-2025.
B. Mafoumgbé( Sercom)

Bolloré Transport & Logistics Côte d’Ivoire a procédé le 1er février 2022, au lancement de son programme « École du Transit », en partenariat avec le ministère de la Promotion de la Jeunesse, de l’Insertion Professionnelle et du Service Civique. A travers ce programme, l’entreprise offre de meilleures perspectives aux jeunes étudiants, en leur proposant une formation de 6 mois au sein des directions opérationnelles de l’entreprise. L’initiative a permis l’accueil au sein de la direction des solutions logistiques de Bolloré Transport & Logistics Côte d’Ivoire, de sa première promotion, composée de 30 jeunes diplômés, ayant le niveau Bac+2/3 en logistique ou en commerce international. Sélectionnés après des entretiens individuels, ces jeunes âgés de 30 ans et plus, seront formés pendant la durée du programme, à la gestion des contentieux douaniers et des régimes suspensifs, aux outils informatiques, à la facturation, et à l’anglais du transitaire... L’objectif étant de prétendre aux fonctions de passeur en douane, déclarant en douane ou encore agent transit.Les apprenants sont répartis entre les différents services de la direction des solutions logistiques, et découvrent les différentes missions qui leur seront confiées. Ces étudiants bénéficient de l’encadrement de 15 managers de l’entreprise et du soutien de 3 experts de l’Agence Emploi-jeunes. « La formation est un excellent levier pour accompagner les jeunes vers l’emploi et pour les aider à construire leur avenir. C’est pourquoi je me réjouis du démarrage effectif de notre programme « École du Transit », qui facilitera l’insertion professionnelle des jeunes diplômés. Nous sommes fiers de pouvoir agir aux côtés du gouvernement pour faire de l’année 2023, l’année de la jeunesse comme l’a souhaité le Chef de l’Etat. », a déclaré Joël HOUNSINOU, Directeur général de Bolloré Transport & Logistics Côte d’Ivoire.Après cette phase pilote, le programme sera étendu à un plus grand nombre de jeunes, grâce à un partenariat signé par Bolloré Transport & Logistics Côte d’Ivoire avec le Fonds de Développement de la Formation Professionnelle (FDFP).Premier employeur du secteur de la logistique en Côte d’Ivoire, Bolloré Transport & Logistics offre ainsi la possibilité aux jeunes ivoiriens, de bénéficier d’une expérience pratique au sein de ses ateliers et plateformes logistiques, dans l’optique de créer des vocations et d’améliorer l’employabilité.
B.M

La Dgi a recouvré sur l’exercice budgétaire 2022, plus de 3.205,7 Milliards soit 356,3 milliards de plus qu'en 2021. L’information nous a été donnée ce jour 06 Février 2023, par une source officielle très crédible de cette régie financière. Un bon score qui illustre bien que la Dgi sous la houlette du Dg Ouattara Abou Sie est au travail. Rappelons que lors d’un séminaire bilan ténu le 27 Janvier 2022 à Abidjan, Il est ressorti que la Dgi avait mobilisé 2819,8 milliards Fcfa au titre de l’année 2021, pour un objectif de 2701,1 milliards Fcfa. Il en découlait un écart positif de 118,7 milliards Fcfa par rapport aux prévisions, soit un taux de réalisation de 104 ,4%.
Ces réalisations étaient également en hausse de 461,1 milliards Fcfa comparées aux recettes enregistrées en 2020. Ces chiffres ont été livrés ce jour-là, par le Directeur général des Impôts, Abou Sié Ouattara, qui a également révélé les objectifs provisoires de recettes attendus de la Dgi au titre de l’année 2022 estimés à 3107 milliards Fcfa. Des objectifs donc en hausse de 287,4 milliards Fcfa par rapport aux réalisations de l’année 2021, soit une hausse de +10,2%.
Se félicitant des bons résultats obtenus en 2021, le directeur général M. Abou Sié Ouattara avait encouragé ses collaborateurs à persévérer dans l’effort et à se mettre en ordre de bataille pour relever le challenge. Il avait rassuré que l’administration fiscale ne ratera pas cette occasion d’aller au-delà de la barre symbolique de 3000 milliards Fcfa. « Nous sommes capables de relever ce défi », a lancé le Directeur général des impôts qui compte sur l’engagement de tous pour relever le défi. Un engagement pris devant le représentant du ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, Adama Sall, par ailleurs, Directeur de Cabinet du ministre Sanogo Moussa. Voilà qui a été fait. L'objectif assigné  pour l'exercice  2023   à  la Dgi   est  de 3697,3 milliards de FCfa 
Bamba Mafoumgbé

 

Il a désormais tous les quitus du Conseil d’administration du Haut Conseil. Il, c’est Coulibaly Brahima, président du transport du minerais de Korhogo. En effet, ce qui se murmurait dans les coulisses, où dans les gares routières, devient désormais une réalité. En effet, réunit le 28 janvier à son siège de Treichville, le conseil d’administration du Haut Conseil du patronat des entreprises de transport routier de Côte d’Ivoire, tout simplement appelé ‘’Haut Conseil ‘’, dans le milieu, a pris une importante décision : celle de donner les pleins pouvoirs décisionnels à Coulibaly Brahima, fils de feu Kassoum Coulibaly dans la gestion des affaires de la structure. Ce qui, du coup amenuise les pouvoirs de la Direction générale de cette faitière des transporteurs. Mais sur cette prise de décision du conseil d’administration, les avis divergent. En effet, si certains voient en cela une récompense des efforts de feu Kassoum Coulibaly, père géniteur de Brahima, pour d’autres par contre, il s’agit plutôt d’une manière de remettre en selle un conseil d’administration. Considéré comme l’instance suprême de toute organisation, le conseil du Haut Conseil, ne bénéficiait pas de ces privilèges, estiment une troisième catégorie de personnes. Dans tous les cas de figure, le feu couve. Et les jours prochains nous en diront davantage. Mais pour l’heure, tout le conseil d’administration a donné toute la latitude décisionnelle à Coulibaly Brahima que rien ne plus jamais se faire sans son accord.
Légende : Coulibaly Brahima ( en blanc) président du transport de minerais de Korhogo a été doté de pleins pouvoirs par le Conseil d’Administration du Haut Conseil.

 


Après avoir uni leurs forces le 3 décembre 2022 dans le cadre d’un partenariat de développement du transport inter-Etat, l’Antenne de l’union nationale des transporteurs routiers et chargeurs de Guinée en Côte d’Ivoire (l’Auntrg-CI), présidée par Diallo Mamadou dit ‘’Petel’’ et Rehoboth, dont Kabi Jonas en est le Directeur général, envisagent passer aux actions concrètes. C’est dans cette optique que le Dg de Rehoboth, structure spécialisée dans le transport de marchandises et personnes, l’achat de produits agricoles et légumes, a annoncé, le 2 février 2023, à son siège à Treichville, le lancement des activités des deux organisations professionnelles. « (…) Un peu plus de deux mois après la signature de partenariat entre nos deux structures, l’heure est maintenant à la faisabilité des choses. Nous devons matérialiser cette convention dans les faits. Nous ne sommes plus au stade des discours, mais celui de de la pratique. Tout est fin prêt. C’est pourquoi, dans les tous prochains jours, nous procèderons au lancement officiel de nos activités. On a amorcé l’étape des derniers réglages, qui prendra fin le plus vite possible », a-t-il d’emblée signifié. Se conformant au vieil adage qui dit souvent qu’il n’y a jamais une seconde chance pour mieux faire, Kabi Jonas, a donné l’assurance de la présence de plusieurs départements ministériels et autres structures. Au nombre de ceux-ci : le ministère d’Etat, ministère des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine et de la Diaspora. Le ministère des Transports (la tutelle), la Représentation permanente de la Cédéao en Côte d’Ivoire, le Secrétariat général du Fleuve Mano, la Coordination nationale des gares routières de Côte d’Ivoire, le Haut Conseil, la filière bétail -viande, le Conseil malien des chargeurs, celui du Burkina – Faso etc. Bref, selon, lui, l’évènement se voudra grand à la hauteur des challenges et les défis. Qui sont entre autres, le développement du transport entre les deux pays et par ricochet une vraie symbiose entre eux. « (…) Entre notre pays et les pays limitrophes, il y a la théorie de la loi ombilicale. Les économies sont entremêlées et nous devons nous unir pour une bonne exploitation structurelle au bénéfice de tous », a conclu Jonas Kabi.
Koné S.
Légende : Ici la cérémonie d’échange de paraphées entre les deux responsables dans le cadre du partenariat.

Premier pays producteur mondial de noix de cajou avec 1 024 000 tonnes en 2022, la Côte d’Ivoire ambitionne de s’inscrire parmi les pays de référence en matière de qualité. Dans cette perspective, le Conseil du coton et de l’anacarde en collaboration avec la plateforme qualité a organisé du 1 au 3 février 2023, une mission de sensibilisation des acteurs de la filière Anacarde sur l’amélioration et la préservation de la qualité des noix brutes de cajou.

 

L’objectif global de la mission de terrain est d'informer et de sensibiliser les acteurs professionnels de la filière Anacarde sur l’amélioration et la préservation de la qualité des Nbc, notamment sur les avantages liés à une production de noix brute de cajou propre, bien séchée et triée, mais surtout sur les conséquences de l’utilisation des produits chimiques dans les plantations d’anacarde sur les noix brutes de cajou.
Pour cette campagne 2023, les consignes clés véhiculé lors de la mission sont les suivants : non utilisation des produits chimiques ; séchage, tri et stockage des noix de cajou, respect du prix bord Champ plancher fixé à 315 FCFA pour la campagne 2023, lutte contre la fuite des produits et respect des dispositions de la commercialisation.

 

L’étape de Boundiali et d’Odienné
A la veille de chaque rencontre des opérateurs de la filière anacarde dans les villes sillonnées, le conseil du coton et de l’anacarde a organisé un atelier de lancement des activités des comités de veille. L’objectif principal de ces travaux est de faire le bilan du fonctionnement du comité de veille de chaque localité visitée.
Au cours des séances de sensibilisation dans les localités Boundiali et d’Odienné dans la partie nord du pays, les professionnels de la filière ont été instruits sur l’amélioration et la préservation de la qualité des noix brutes de cajou.

 

Dans son intervention, Dr Mariam Ouattara, représentant le Directeur Général du Conseil du coton et de l’anacarde, Dr Adama Coulibaly a invité tous les acteurs (producteurs, acheteurs, pisteurs etc…) à s’approprier tous les messages vulgarisés « pour que nous puissions gagner le pari de la qualité ».
Pour la lutte contre la fuite des produits vers les pays voisins, les préfets des différentes localités président cette rencontre d’échanges ont pour leurs parts mis en garde l’ensemble des acteurs quant au respect scrupuleux des consignes données par l’institution de régulation gage d’une qualité origine Côte d’Ivoire.
Au nombre des spécialistes qui ont animé les échanges, l’expert Soro Klotioloman, coordonnateur coton et anacarde à l’Agence nationale d’appui au développement rural (Anader), a recommandé de laisser tomber naturellement les pommes arrivées à leur maturité. Une fois à terre, les ramasser les 2 jours qui suivent et détacher chaque noix avec une ficelle. Ensuite, bien sécher les noix sur une claie pendant 2 ou 3 jours par temps de grand soleil. Après séchage, les laisser refroidir 2 heures au moins. Puis trier les noix avant de les mettre dans des sacs en jute distribués par le Conseil du coton et de l’anacarde. Enfin, stocker les sacs d’anacarde dans un endroit aéré.
Cette tournée de sensibilisation dans les 12 délégations (Bondoukou, Bouna, Bouaké, Katiola, Boundiali, Odienné, Yamoussoukro, Zuénoula, Korhogo, Ferké, Séguela et Mankono) régionales du conseil du coton et de l’anacarde a réuni les producteurs, pisteurs, les acheteurs et les membres des comités de veille.

CT
Envoyé spécial ( Ivoirinter24.net)

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