Prix garanti bord champ (campagne 2023-2024): Cacao 1000 Fcfa/Kg;  Café  900 Fcfa/Kg

mercredi 8 mai 2024
sys bannière
Admin

Admin

Après un temps d’arrêt consécutivement à la Covid-19, le Salon international de l’agriculture et des ressources animales d’Abidjan( Sara) , reprend sa route. Avec le lancement de la 6e édition. Qui a pour pays invité, le Royaume des Pays-Bas. C’est ce pays est classé parmi les champions agricoles mondiaux, qui a été choisi pays d’honneur pour partager avec la sous-région ses expériences agricoles et ses opportunités d’affaires.
Le Premier ministre ivoirien Patrick Achi a appelé, ce jeudi 09 février 2023, à Abidjan, à la mobilisation de tous les acteurs du monde agricole africain pour la souveraineté et la sécurité alimentaire.
Le Chef du gouvernement ivoirien profitant de l’occasion, a lancé l’appel à la mobilisation lors du lancement des travaux préparatoires de ce rendez-vous international du monde agricole et des ressources animales. Cet évènement se tiendra du vendredi 29 septembre au dimanche 8 octobre 2023, au parc des expositions d’Abidjan sur la route de l’aéroport dans la commune de Port-Bouët autour du thème :« l’Agriculture africaine face aux chocs internes et externes : quelles innovations structurelles pour améliorer les secteurs agricoles et garantir la souveraineté alimentaire ».


M. Patrick Achi a demandé à tous les acteurs du monde agricole de répondre présent avec des actions et propositions concrètes pour relever le défis de la souveraineté et sécurité alimentaire.

Il a salué la pertinence du thème qui permettra de dessiner les innovations structurelles devant permettre d’améliorer les secteurs agricoles et de garantir la souveraineté alimentaire des pays africains déplorant que près de 285 millions de personnes, soit plus de 20% souffrent quotidiennement de la faim sur le continent, selon les derniers chiffres de la Fao.

« Le moment de faire de l’Afrique un grenier alimentaire, pour elle-même d’abord, pour le monde ensuite. C’est cette ambition qui doit habiter les travaux préparatoires de la 6ème édition du Sara », a préconisé M. Achi.

Aussi a-t-il, souhaité un évènement au niveau des plus grands salons agricoles mondiaux et surtout, d’en faire une agora formidablement utile et positive pour l’agriculture ivoirienne et africaine et plus encore, pour la souveraineté alimentaire et la vie quotidienne des populations. Avant lui,

Le ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture et du Développement Rural, Kobenan Kouassi Adjoumani a invité la jeunesse à prendre une part active à cet évènement avec une journée entière dédiée à celle-ci rappelant que 2023 a été proclamée « Année de la jeunesse » par le président de la République de Cote d’Ivoire.
Plus de 320.000 visiteurs sont attendus pendant les 10 jours du Salon, 800 entreprises exposantes sur une superficie 18.000 m2, 300 rencontres B2B, 1300 rencontres d’affaires et plus de 30 pays représentés.
Les précédentes éditions ont permis de signer des accords et conventions dont les montants globaux sont passés de 38 milliards de Fcfa en 2015 à 238 milliards de francs Cfa en 2019.
La 5e édition du Sara tenue du 22 novembre au 1er Décembre 2019 avait enregistré 786 exposants, dont plus de 473 stands, près de 300.000 visiteurs, plus de 150 rencontres B2B et 950 rencontres d’affaires.

Bamba Mafoumgbé

Le Président de la République, Son Excellence Alassane Ouattara, a reçu en audience, jeudi 02 février 2023, le Président de la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire, M. Ahmed Cissé et son prédécesseur, M. Jean-Marie Ackah.
Lors des échanges, le Chef de l’Etat a réaffirmé à ses hôtes la place de choix que devrait occuper le Secteur privé ivoirien dans la création de richesse nationale. « Pour moi, le Secteur privé doit être le moteur de la croissance », dixit le Président de la République Alassane Ouattara. Celui-ci a insisté auprès de ses convives sur la position libérale de la Côte d’Ivoire. Cependant, il s’est dit très favorable aux politiques publiques permettant de mettre en évidence les entrepreneurs ivoiriens : « Il faut que les entrepreneurs ivoiriens aient une place de choix dans notre politique ». Puis, il a relevé à ses invités que son Gouvernement travaille à cela.
Pour le Chef de l’Etat ivoirien, cela est important, non seulement pour créer une communauté d’hommes d’affaires nationaux capables de tirer le tissu économique vers le haut mais surtout parce que, a-t-il dit, les entrepreneurs ivoiriens sont très compétents et très engagés pour les investissements, les exportations mais également dans la création d’emplois
Le Président Ouattara a expliqué au Président de la CGECI et à son prédécesseur que si la Côte d’Ivoire a des critères macroéconomiques particulièrement bons depuis quelques années, c’est en partie grâce au Secteur privé, qui paie ses impôts et qui emploie les centaines de milliers de jeunes. « Nous comptons sur notre Secteur privé pour que cela puisse continuer » a poursuivi l’Exécutif ivoirien.
Pour rappel, ces dernières années, le secteur privé a pleinement bénéficier de la sollicitude du Chef de l’Etat. Sous l’impulsion du Président de la République, le Dialogue public-privé s’est considérablement renforcé et par la participation récente, des organisations les plus représentatives du Secteur privé aux sessions 2021 et 2022 du Séminaire gouvernemental.
Cette marque d’attention vis-à-vis du Secteur Privé traduit la volonté de l’Exécutif ivoirien d’instaurer une relation forte et durable avec les Chefs d’entreprises opérant en Côte d’Ivoire.
Par ailleurs, au cours de cette première audience de l’année 2023, les hôtes du Chef de l’Etat n’ont pas manqué de lui exprimer la disponibilité du Secteur privé national à œuvrer aux côtés de l’Etat pour la réussite de la mise en œuvre du Plan National de Développement (PND) 2021-2025.
B. Mafoumgbé( Sercom)

Bolloré Transport & Logistics Côte d’Ivoire a procédé le 1er février 2022, au lancement de son programme « École du Transit », en partenariat avec le ministère de la Promotion de la Jeunesse, de l’Insertion Professionnelle et du Service Civique. A travers ce programme, l’entreprise offre de meilleures perspectives aux jeunes étudiants, en leur proposant une formation de 6 mois au sein des directions opérationnelles de l’entreprise. L’initiative a permis l’accueil au sein de la direction des solutions logistiques de Bolloré Transport & Logistics Côte d’Ivoire, de sa première promotion, composée de 30 jeunes diplômés, ayant le niveau Bac+2/3 en logistique ou en commerce international. Sélectionnés après des entretiens individuels, ces jeunes âgés de 30 ans et plus, seront formés pendant la durée du programme, à la gestion des contentieux douaniers et des régimes suspensifs, aux outils informatiques, à la facturation, et à l’anglais du transitaire... L’objectif étant de prétendre aux fonctions de passeur en douane, déclarant en douane ou encore agent transit.Les apprenants sont répartis entre les différents services de la direction des solutions logistiques, et découvrent les différentes missions qui leur seront confiées. Ces étudiants bénéficient de l’encadrement de 15 managers de l’entreprise et du soutien de 3 experts de l’Agence Emploi-jeunes. « La formation est un excellent levier pour accompagner les jeunes vers l’emploi et pour les aider à construire leur avenir. C’est pourquoi je me réjouis du démarrage effectif de notre programme « École du Transit », qui facilitera l’insertion professionnelle des jeunes diplômés. Nous sommes fiers de pouvoir agir aux côtés du gouvernement pour faire de l’année 2023, l’année de la jeunesse comme l’a souhaité le Chef de l’Etat. », a déclaré Joël HOUNSINOU, Directeur général de Bolloré Transport & Logistics Côte d’Ivoire.Après cette phase pilote, le programme sera étendu à un plus grand nombre de jeunes, grâce à un partenariat signé par Bolloré Transport & Logistics Côte d’Ivoire avec le Fonds de Développement de la Formation Professionnelle (FDFP).Premier employeur du secteur de la logistique en Côte d’Ivoire, Bolloré Transport & Logistics offre ainsi la possibilité aux jeunes ivoiriens, de bénéficier d’une expérience pratique au sein de ses ateliers et plateformes logistiques, dans l’optique de créer des vocations et d’améliorer l’employabilité.
B.M

La Dgi a recouvré sur l’exercice budgétaire 2022, plus de 3.205,7 Milliards soit 356,3 milliards de plus qu'en 2021. L’information nous a été donnée ce jour 06 Février 2023, par une source officielle très crédible de cette régie financière. Un bon score qui illustre bien que la Dgi sous la houlette du Dg Ouattara Abou Sie est au travail. Rappelons que lors d’un séminaire bilan ténu le 27 Janvier 2022 à Abidjan, Il est ressorti que la Dgi avait mobilisé 2819,8 milliards Fcfa au titre de l’année 2021, pour un objectif de 2701,1 milliards Fcfa. Il en découlait un écart positif de 118,7 milliards Fcfa par rapport aux prévisions, soit un taux de réalisation de 104 ,4%.
Ces réalisations étaient également en hausse de 461,1 milliards Fcfa comparées aux recettes enregistrées en 2020. Ces chiffres ont été livrés ce jour-là, par le Directeur général des Impôts, Abou Sié Ouattara, qui a également révélé les objectifs provisoires de recettes attendus de la Dgi au titre de l’année 2022 estimés à 3107 milliards Fcfa. Des objectifs donc en hausse de 287,4 milliards Fcfa par rapport aux réalisations de l’année 2021, soit une hausse de +10,2%.
Se félicitant des bons résultats obtenus en 2021, le directeur général M. Abou Sié Ouattara avait encouragé ses collaborateurs à persévérer dans l’effort et à se mettre en ordre de bataille pour relever le challenge. Il avait rassuré que l’administration fiscale ne ratera pas cette occasion d’aller au-delà de la barre symbolique de 3000 milliards Fcfa. « Nous sommes capables de relever ce défi », a lancé le Directeur général des impôts qui compte sur l’engagement de tous pour relever le défi. Un engagement pris devant le représentant du ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, Adama Sall, par ailleurs, Directeur de Cabinet du ministre Sanogo Moussa. Voilà qui a été fait. L'objectif assigné  pour l'exercice  2023   à  la Dgi   est  de 3697,3 milliards de FCfa 
Bamba Mafoumgbé

 

Il a désormais tous les quitus du Conseil d’administration du Haut Conseil. Il, c’est Coulibaly Brahima, président du transport du minerais de Korhogo. En effet, ce qui se murmurait dans les coulisses, où dans les gares routières, devient désormais une réalité. En effet, réunit le 28 janvier à son siège de Treichville, le conseil d’administration du Haut Conseil du patronat des entreprises de transport routier de Côte d’Ivoire, tout simplement appelé ‘’Haut Conseil ‘’, dans le milieu, a pris une importante décision : celle de donner les pleins pouvoirs décisionnels à Coulibaly Brahima, fils de feu Kassoum Coulibaly dans la gestion des affaires de la structure. Ce qui, du coup amenuise les pouvoirs de la Direction générale de cette faitière des transporteurs. Mais sur cette prise de décision du conseil d’administration, les avis divergent. En effet, si certains voient en cela une récompense des efforts de feu Kassoum Coulibaly, père géniteur de Brahima, pour d’autres par contre, il s’agit plutôt d’une manière de remettre en selle un conseil d’administration. Considéré comme l’instance suprême de toute organisation, le conseil du Haut Conseil, ne bénéficiait pas de ces privilèges, estiment une troisième catégorie de personnes. Dans tous les cas de figure, le feu couve. Et les jours prochains nous en diront davantage. Mais pour l’heure, tout le conseil d’administration a donné toute la latitude décisionnelle à Coulibaly Brahima que rien ne plus jamais se faire sans son accord.
Légende : Coulibaly Brahima ( en blanc) président du transport de minerais de Korhogo a été doté de pleins pouvoirs par le Conseil d’Administration du Haut Conseil.

 


Après avoir uni leurs forces le 3 décembre 2022 dans le cadre d’un partenariat de développement du transport inter-Etat, l’Antenne de l’union nationale des transporteurs routiers et chargeurs de Guinée en Côte d’Ivoire (l’Auntrg-CI), présidée par Diallo Mamadou dit ‘’Petel’’ et Rehoboth, dont Kabi Jonas en est le Directeur général, envisagent passer aux actions concrètes. C’est dans cette optique que le Dg de Rehoboth, structure spécialisée dans le transport de marchandises et personnes, l’achat de produits agricoles et légumes, a annoncé, le 2 février 2023, à son siège à Treichville, le lancement des activités des deux organisations professionnelles. « (…) Un peu plus de deux mois après la signature de partenariat entre nos deux structures, l’heure est maintenant à la faisabilité des choses. Nous devons matérialiser cette convention dans les faits. Nous ne sommes plus au stade des discours, mais celui de de la pratique. Tout est fin prêt. C’est pourquoi, dans les tous prochains jours, nous procèderons au lancement officiel de nos activités. On a amorcé l’étape des derniers réglages, qui prendra fin le plus vite possible », a-t-il d’emblée signifié. Se conformant au vieil adage qui dit souvent qu’il n’y a jamais une seconde chance pour mieux faire, Kabi Jonas, a donné l’assurance de la présence de plusieurs départements ministériels et autres structures. Au nombre de ceux-ci : le ministère d’Etat, ministère des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine et de la Diaspora. Le ministère des Transports (la tutelle), la Représentation permanente de la Cédéao en Côte d’Ivoire, le Secrétariat général du Fleuve Mano, la Coordination nationale des gares routières de Côte d’Ivoire, le Haut Conseil, la filière bétail -viande, le Conseil malien des chargeurs, celui du Burkina – Faso etc. Bref, selon, lui, l’évènement se voudra grand à la hauteur des challenges et les défis. Qui sont entre autres, le développement du transport entre les deux pays et par ricochet une vraie symbiose entre eux. « (…) Entre notre pays et les pays limitrophes, il y a la théorie de la loi ombilicale. Les économies sont entremêlées et nous devons nous unir pour une bonne exploitation structurelle au bénéfice de tous », a conclu Jonas Kabi.
Koné S.
Légende : Ici la cérémonie d’échange de paraphées entre les deux responsables dans le cadre du partenariat.

Premier pays producteur mondial de noix de cajou avec 1 024 000 tonnes en 2022, la Côte d’Ivoire ambitionne de s’inscrire parmi les pays de référence en matière de qualité. Dans cette perspective, le Conseil du coton et de l’anacarde en collaboration avec la plateforme qualité a organisé du 1 au 3 février 2023, une mission de sensibilisation des acteurs de la filière Anacarde sur l’amélioration et la préservation de la qualité des noix brutes de cajou.

 

L’objectif global de la mission de terrain est d'informer et de sensibiliser les acteurs professionnels de la filière Anacarde sur l’amélioration et la préservation de la qualité des Nbc, notamment sur les avantages liés à une production de noix brute de cajou propre, bien séchée et triée, mais surtout sur les conséquences de l’utilisation des produits chimiques dans les plantations d’anacarde sur les noix brutes de cajou.
Pour cette campagne 2023, les consignes clés véhiculé lors de la mission sont les suivants : non utilisation des produits chimiques ; séchage, tri et stockage des noix de cajou, respect du prix bord Champ plancher fixé à 315 FCFA pour la campagne 2023, lutte contre la fuite des produits et respect des dispositions de la commercialisation.

 

L’étape de Boundiali et d’Odienné
A la veille de chaque rencontre des opérateurs de la filière anacarde dans les villes sillonnées, le conseil du coton et de l’anacarde a organisé un atelier de lancement des activités des comités de veille. L’objectif principal de ces travaux est de faire le bilan du fonctionnement du comité de veille de chaque localité visitée.
Au cours des séances de sensibilisation dans les localités Boundiali et d’Odienné dans la partie nord du pays, les professionnels de la filière ont été instruits sur l’amélioration et la préservation de la qualité des noix brutes de cajou.

 

Dans son intervention, Dr Mariam Ouattara, représentant le Directeur Général du Conseil du coton et de l’anacarde, Dr Adama Coulibaly a invité tous les acteurs (producteurs, acheteurs, pisteurs etc…) à s’approprier tous les messages vulgarisés « pour que nous puissions gagner le pari de la qualité ».
Pour la lutte contre la fuite des produits vers les pays voisins, les préfets des différentes localités président cette rencontre d’échanges ont pour leurs parts mis en garde l’ensemble des acteurs quant au respect scrupuleux des consignes données par l’institution de régulation gage d’une qualité origine Côte d’Ivoire.
Au nombre des spécialistes qui ont animé les échanges, l’expert Soro Klotioloman, coordonnateur coton et anacarde à l’Agence nationale d’appui au développement rural (Anader), a recommandé de laisser tomber naturellement les pommes arrivées à leur maturité. Une fois à terre, les ramasser les 2 jours qui suivent et détacher chaque noix avec une ficelle. Ensuite, bien sécher les noix sur une claie pendant 2 ou 3 jours par temps de grand soleil. Après séchage, les laisser refroidir 2 heures au moins. Puis trier les noix avant de les mettre dans des sacs en jute distribués par le Conseil du coton et de l’anacarde. Enfin, stocker les sacs d’anacarde dans un endroit aéré.
Cette tournée de sensibilisation dans les 12 délégations (Bondoukou, Bouna, Bouaké, Katiola, Boundiali, Odienné, Yamoussoukro, Zuénoula, Korhogo, Ferké, Séguela et Mankono) régionales du conseil du coton et de l’anacarde a réuni les producteurs, pisteurs, les acheteurs et les membres des comités de veille.

CT
Envoyé spécial ( Ivoirinter24.net)

Le samedi 04 février 2023, aux environs de 16 heures, une alerte parvenue à nos services faisait état de l’effondrement partiel d’un ouvrage, à Cocody Angré, 9ème tranche. Il s’agit d’un immeuble du type R+4, constitué en deux blocs reliés par une cage d’escalier.

 

Les équipes du ministère de la Construction, du Logement et de l’Urbanisme (MCLU), à travers la Plateforme Collaborative de Contrôle des Constructions (PCCC), et celles des services de Protection Civile, étaient sur le site dès la survenue de l’accident. Et, jusqu’à cette heure, aucune victime n’est à déplorer.

 

Selon les premières investigations, ce chantier était à l’arrêt depuis le 03 août 2022, sur injonction des services du MCLU, pour défaut de Permis de Construire et en raison des doutes sur la stabilité de l’ouvrage.

 

Le MCLU tient à rappeler que jusqu’à ce jour, grâce aux mesures drastiques mises en œuvre par l’ensemble de ses services, le dernier effondrement enregistré par notre pays date du lundi 07 mars 2022.

 

Ainsi donc, tout en poursuivant ses missions de contrôle des constructions en milieu urbain, à travers la PCCC, le ministre de la Construction, du Logement et de l’Urbanisme invite encore une fois les maîtres d’ouvrage à se conformer aux prescriptions du code la construction, qui impose entre autres, l’obtention préalable d’un Permis de Construire, le recours obligatoire à un architecte et le recours à des professionnels du cadre bâti pour toutes les étapes de la construction.

 communiqué

Selon les chiffres officiels de la Direction de la communication du Ministère des Transports, « 7680 automobilistes sensibilisés, 1678 autres verbalisés, 106 véhicules mis en fourrière lors des opérations de la deuxième journée de la semaine de la sécurité routière. Ces chiffres sont le résultat du déploiement par le gouvernement sur le territoire national d’un effectif de 5877 agents issus des forces de police et la gendarmerie nationale » De l’avis de M. Etienne Kouakou, le coordinateur de la sécurité routière pour le compte du ministère des transports, le maillage du territoire national se poursuit.  Pour lui, les actions de la semaine de la sécurité routière sont portées notamment sur la sensibilisation mais aussi et surtout la répression. Et ce, dans le but d’améliorer le comportement des usagers sur les routes.
M. Kouakou n'a pas manqué de pointer du doigt la récurrence de certaines infractions. Il s’agit principalement des défauts de visite technique, de plaque d’immatriculation, d’assurance et le non-port du casque de protection par les conducteurs d’engins à 02 et 03 roues ainsi que l’usage du téléphone au volant ou au guidon et enfin le non-respect du code de la route.
Pour terminer, il a fait savoir que cette nouvelle semaine sera marquée par une plus grande présence du dispositif sur le réseau routier notamment l’autoroute du nord. 

Ayoko Mensah 

L’agence Millennium Challenge Corporation (Mcc) du gouvernement américain et le gouvernement de la Côte d'Ivoire, par l'intermédiaire du Ministère des Finances et de l'Économie, ont procédé à la signature le jeudi 19 janvier 2023 d'un accord de subvention d'une valeur de 750 000 dollars américains soit 454 millions Francs Cfa pour développer un programme régional important sur cinq ans qui ferait de la Côte d'Ivoire un leader du marché régional de l'électricité en Afrique de l'Ouest. L'accord de subvention pour le financement du développement du programme a été signé par M. Adama Coulibaly, Ministre des Finances et de l'Economie de la Côte d'Ivoire, et M. Cameron Alford, vice-président des opérations de la Mcc.
 
« La réduction de la pauvreté énergétique au sein de l'Afrique de l'Ouest passe par le renforcement du commerce de l'électricité », a déclaré M. Alford tout en ajoutant que " le renforcement du secteur de l'énergie en Côte d'Ivoire permettra au secteur à la fois de répondre à la demande nationale et d'exporter au niveau régional. Nous sommes impatients de continuer à travailler avec nos partenaires ivoiriens pour développer un programme qui profite à toute la région. » Ledit programme renforcerait l'intégration du marché entre la Côte d'Ivoire et l'Afrique de l'Ouest en créant de nouveaux outils financiers qui facilitent l'achat, la vente et le mouvement transparents de l'électricité à travers le réseau ouest-africain, la Côte d'Ivoire étant un exportateur majeur d'électricité. L'accès accru à une électricité stable dans toute la région favorisera la croissance économique en Afrique de l'Ouest.  
Le nouvel accord fournit le financement nécessaire au gouvernement de la Côte d'Ivoire et à la MCC pour développer la conception du programme. L'éventuel programme soutiendrait également plusieurs activités visant à garantir des opérations et des services durables sur le plan environnemental et socialement inclusifs.


La Millennium Challenge Corporation (MCC) est une agence du gouvernement américain qui s'efforce de réduire la pauvreté dans le monde par la croissance économique. Créée en 2004, la Mcc accorde des subventions et une assistance limitée dans le temps à des pays qui répondent à des normes rigoureuses évaluées par des tiers en matière de bonne gouvernance, de lutte contre la corruption et de respect des droits démocratiques. Bamba M.
 
  

sys bannière