Prix garanti bord champ (campagne 2023-2024): Cacao 1000 Fcfa/Kg;  Café  900 Fcfa/Kg

dimanche 19 mai 2024
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Lors de sa journée d’actions sociales le mercredi 5 avril 2023 à Abidjan-Cocody. La Fondation Lonaci a offert un bâtiment de salle de classe au lycée municipal Amangou Victor de Marcory.
« La Fondation Lonaci, dans sa mission de contribuer au développement de la nation, est heureuse d’offrir un bâtiment de 4 classes équipées en table-bancs au lycée municipal de Marcory » a affirmé Aboubakary Ouattara, directeur exécutif de la Fondation Lonaci.

 

En plus du lycée municipal de Marcory, la Fondation Lonaci a offert un risographe au lycée moderne de Grand-Bassam.Tous ces dons à l’école ivoirienne visent, selon la Fondation, à accompagner l’Etat ivoirien qui « prône l’excellence et la recherche de l’excellence » Florence Lekpeli, directrice régionale de l’éducation nationale Abidjan 2, représentant la ministre Mariatou Koné, a au nom des récipiendaires, remercié la fondation Lonaci pour ses différents dons.


« Construire des salles de classes, confectionner des table-bancs, remettre du matériel didactique, c’est augmenter les capacités d’accueil de nos structures éducatives. C’est aussi réduire la densité d’élèves par classes et cela améliore réellement les conditions d’apprentissage pour des résultats scolaires de qualités » a rappelé Florence Lekpeli.

La Fondation Lonaci a également, à l’occasion de cette journée, fait des dons à d’autres domaines d’activités dont la sécurité et la santé.
AyokoMensah( Source : Sercom)

En marge du Salon internationale des technologies de la transformation. Le Conseil des ministres du Conseil international consultatif du cajou (CICC) s’est réuni le jeudi 6 avril 2023 à Abidjan-Plateau et élire la Côte d’Ivoire à la présidence du l’institution.

« La présidence du conseil des ministres sera assurée par la République de Côte d’Ivoire pour le prochain mandat », a informé le communiqué final du conseil. Kobenan Adjoumani, ministre de l’agriculture et du développement rural de Côte d’Ivoire remplacera Gabriel Mbairobé, ministre de l’agriculture et du développement rural du Cameroun.

 

Le ministre Souleymane Diarrassouba en charge du commerce et de l’industrie de Côte d’Ivoire, a au nom du ministre Kobenan Adjoumani « félicité le ministre en charge de l’agriculture du Cameroun pour le succès de son mandat, pour l’excellent travail qui a été fait durant son mandat »

Souleymane Diarrassouba s’est félicité « du choix porté sur la Côte d’Ivoire pour conduire le prochain mandat du CICC avec comme nouveau président, le ministre d’Etat en charge de l’agriculture et du développement rural, Adjoumani Kobenan que j’ai l’insigne honneur de représenter. Je voudrais vous rassurer que le gouvernement ivoirien ne ménagera aucun effort pour assurer un succès au prochain mandat »

 

Le conseil des ministres du CICC a également “adopté le plan stratégique 2023-2027 d’un coût global de 2.228.500 dollar US“ et demandé au secrétariat exécutif de l’institution de “poursuivre pour d’une part l’adhésion du Mozambique, de la Zambie, de la Gambie, de Madagascar, de la Sierra-Leone, du Kenya, du Mozambique, du Congo, du Gabon, et de la Tanzanie au CICC en qualité de membre de droit du Cambodge en qualité de membre observateur pour une durée de 2 ans“.

Le CICC est un organe consultatif dont les Etats membres sont le Bénin, le Burkina-Faso, Le Cameroun, La Côte d’Ivoire, le Ghana, la Guinée, la Guinée Bissau, le Mali, le Nigéria, le Sénégal et le Togo.
Bamba M.

En marge du Salon internationale des technologies de la transformation. Le Conseil des ministres du Conseil international consultatif du cajou (CICC) s’est réuni le jeudi 6 avril 2023 à Abidjan-Plateau et élire la Côte d’Ivoire à la présidence du l’institution.

« La présidence du conseil des ministres sera assurée par la République de Côte d’Ivoire pour le prochain mandat », a informé le communiqué final du conseil. Kobenan Adjoumani, ministre de l’agriculture et du développement rural de Côte d’Ivoire remplacera Gabriel Mbairobé, ministre de l’agriculture et du développement rural du Cameroun.

 

Le ministre Souleymane Diarrassouba en charge du commerce et de l’industrie de Côte d’Ivoire, a au nom du ministre Kobenan Adjoumani « félicité le ministre en charge de l’agriculture du Cameroun pour le succès de son mandat, pour l’excellent travail qui a été fait durant son mandat »

Souleymane Diarrassouba s’est félicité « du choix porté sur la Côte d’Ivoire pour conduire le prochain mandat du CICC avec comme nouveau président, le ministre d’Etat en charge de l’agriculture et du développement rural, Adjoumani Kobenan que j’ai l’insigne honneur de représenter. Je voudrais vous rassurer que le gouvernement ivoirien ne ménagera aucun effort pour assurer un succès au prochain mandat »

 

Le conseil des ministres du CICC a également “adopté le plan stratégique 2023-2027 d’un coût global de 2.228.500 dollar US“ et demandé au secrétariat exécutif de l’institution de “poursuivre pour d’une part l’adhésion du Mozambique, de la Zambie, de la Gambie, de Madagascar, de la Sierra-Leone, du Kenya, du Mozambique, du Congo, du Gabon, et de la Tanzanie au CICC en qualité de membre de droit du Cambodge en qualité de membre observateur pour une durée de 2 ans“.

Le CICC est un organe consultatif dont les Etats membres sont le Bénin, le Burkina-Faso, Le Cameroun, La Côte d’Ivoire, le Ghana, la Guinée, la Guinée Bissau, le Mali, le Nigéria, le Sénégal et le Togo.
Bamba M.

L’association Afmaade organise la troisième édition du Festival international des jeunes talents du 4 au 7 Mai 2023 à Rabat, au Maroc sous le Haut Patronage de Sa Majesté Mohammed VI que Dieu l'assiste. Selon Mme Zaïneb Karroumi El Kadiri, fondatrice du festival Afrifata et présidente de l’association Afmaade, cette initiative est un incubateur social dédié au design et aux métiers de la mode pour les créateurs émergents et talentueux. Afrifata a été créé en mai 2018 à Casablanca au Maroc.

 

« Il s'agit du premier programme panafricain dédié à sa jeunesse sur les continents africain et européen. Fort de son succès à Casablanca au Maroc, nous souhaitons le mettre en place au-delà des frontières du continent africain pour créer ce pont. Notre objectif est de développer économiquement et d'apporter un soutien et encadrement aux jeunes talents émergents et petites entreprises émergentes dans les domaines, de la culture, de l'artisanat, du textile et de l'entrepreneuriat social », précise la marocaine Zaïneb Karroumi El Kadiri, Designer, femme d'affaire engagée et présidente de l’association Afmaade au Maroc.

 

Pour rappel, l'industrie créative est l'un des secteurs les plus dynamiques dans le monde. En 2012, la Cnuced estimait déjà que le marché global des biens et services exportés par ce secteur pesait environ 473 milliards de dollars. Selon le même rapport, dans ce secteur des industries créatives, il est souligné que 69% était composé de médias et du design. Mais quelle est la part de l'Afrique dans ce business et comment faire pour capter le maximum de flux ?

 

Afrifata est une réponse africaine à cette question. C’est ainsi que le Festival Afrifata et ses partenaires se mobilisent pour donner la chance aux jeunes stylistes africains qui souhaitent émerger. En participant à la transformation économique des communautés et de nos pays, il serait important de promouvoir et développer les jeunes talents, dans le domaine créatif spécialement. C’est aussi un moyen d’unir et de renforcer les liens entre nos jeunes du continent de nous connaître avec bienveillance à travers nos cultures qui se ressemble mais nous rassemblent et de développer ensemble au-delà des frontières.

 

Cette année, le festival aura ses quartiers à Rabat capitale Africaine de la culture. Afrifata Rabat est ainsi un festival célébrant la mode et qui met en avant la richesse et la diversité de la culture du continent africain. Les jeunes talents seront au centre des quatre jours de rencontre, sous la forme d'un défilé concours de tables rondes, d'un défilé diner de gala et une exposition artisanale au village de la mode africaine.

 

Rabat-Salé et les alentours, est une des plus grandes Zones de production artisanale marocaine. Le programme « Rabat, Capitale Africaine de la Culture 2022 », organisé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu l'assiste.

Ce sera en partenariat avec l'Organisation Cités et Gouvernements Locaux Unis d'Afrique, le Ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication et le Conseil municipal de la ville de Rabat qui verra l'organisation de 100 événements culturels et artistiques dans la capitale entre juin 2022 et mai 2023.

 

Zaineb Karroumi El Kadiri indique qu’une industrie est indispensable au développement durable et la croissance du continent. A son avis, cette industrie a le potentiel de contribuer à des millions d'emplois sur le long terme dans le continent africain dont 60% de la tranche de moins de 25 ans.

 

Notre vision est de donner à cette jeune génération qui est l’avenir de notre continent, les outils, les ressources et les relations qui pourront leur permettre en retour de s'épanouir et de créer des entreprises et des marques durables. « Afrifata existe pour avoir un impact social et économique sur les jeunes talents dans I ‘industrie créative », explique-t-elle. Avant d’ajouter : « Nous sommes ouverts au développement des partenariats avec des organisations et entreprises qui partagent notre vision et sont engagées à contribuer non seulement à l'industrie des métiers créatifs mais aussi au développement des jeunes à travers des projets éducatifs. Faire de nos jeunes des acteurs économique d'aujourd'hui du continent Africain et dans le monde ».

 

L'édition 2023 sera rythmée de discussions avec des experts du monde du textile et des métiers de la mode venant des quatre coins du monde. Ce qui est une excellente opportunité pour les jeunes de présenter leurs produits dans l’exposition à la découverte culturelle africaine pendant la semaine du festival et aussi dans le stand éphémère d'AFRlFATASTORE prévu par la suite à l’international.

 

Afrifata 2023 est une opportunité pour les jeunes de profiter de multiples formations et la possibilité aussi d'avoir accès à un réseau d’orientation international privilégié de connaissances dans le milieu du design de la mode, et production sur sélection, participation au concours des jeunes talents avec remise de prix pour le gagnant un voyage Fashion dans une Fashion week internationale et un suivi entrepreneurial....

 

Placé sous le Haut patronage de Sa Majesté, le Roi le Roi Mohammed VI, que Dieu l'assiste, Afrifata 2023 est organisé en partenariat avec RABAT CAPITALE AFRICAINE DE LA CULTURE, Ministère de la culture de la jeunesse et de la communication, la wilaya, la commune de rabat et Cglua. Plusieurs stylistes venus entre autres du Maroc le Congo Brazzaville, le Sénégal, la Mauritanie, la Côte d’Ivoire et Emirates Arabe unies seront à l’affiche.

Ainsi, le jeudi 05 Mai, il est prévu une conférence de presse à Rabat, afin de permettre aux festivités de bénéficier d’une visibilité nationale et internationale.

 

Ayoko Mensah

Abidjan ; capitale économique ivoirienne abrite depuis ce 06 Avril, la quatrième édition du Salon international des équipements et des technologies de transformation de l’anacarde (Sietta) sous le thème « Contribution de l’industrie du cajou à la résilience des économies africaines face aux défis économiques mondiaux ».
Un salon spécialisé dans les équipements et technologies permettant de répondre au défi la transformation. De premier producteur mondial de noix de cajou brute, la Côte d’Ivoire est devenue ces dernières années, le troisième producteur d’amande de cajou, même si les volumes sont très loin de ceux du Vietnam et de l’Inde. Pour 2023, elle ambitionne de transformer 300 000 tonnes de noix de cajou brute. Il faut maintenir le cap voire faire plus. D’où tout le sens de la 4ème édition du Salon internationale des équipements et des technologies de transformation de l'anacarde. C’était en présence Kobenan Kouassi Adjoumani, ministre de l'agriculture et du développement rural, qui représentait le Premier ministre Patrick Achi. Sans oublier plusieurs ministres africains de l’Agriculture et du Commerce des pays membres du Conseil interministériel du cajou conduits par M. Gabriel Mbairobé, ministre camerounais de l'agriculture et du développement rural, président en exercice du Cic.
« L'organisation du Sietta a pour objectif de contribuer à l'accroissement du taux de transformations dans les pays producteurs d'anacarde en créant des conditions d'accessibilités des investisseurs nationaux et internationaux aux équipements et aux technologies de la transformation », a indiqué Dr. Adama Coulibaly, Directeur général du Conseil du coton et de l'anacarde, par ailleurs commissaire général du Sietta. Il n’a pas manqué de saluer la présence massive des producteurs, des transformateurs et des équipementiers qui ont effectué le déplacement.
Le Ministre d’Etat Kobenan Kouassi Adjoumani, abondant dans le même sens, a salué le travail abattu par le Conseil du coton et de l’anacarde. La Côte-d’Ivoire, premier producteur mondial d'anacarde ne transforme de 22% de sa production. « En transformant notre anacarde sur place, nous favorisons une agro-industrie nationale et continentale. Cela va garantir une plus juste rémunération aux producteurs et à l'ensemble des acteurs », a affirmé le ministre Kobenan Adjoumani. Avant d’ajouter que si l’on s’attache à l’anacarde, on peut constater que l'Afrique de l'Ouest concentre 45% de la production mondiale de noix de cajou, dont la moitié est produite en Côte d’Ivoire. En Inde, au Vietnam et au Cambodge, qui représentent eux aussi 45% de la production agricole mondiale de cajou, nous faisons le constat que 90% de cette production est transformée localement.
« Ce que fait l’Asie du Sud-Est aujourd’hui c’est ce qu’il nous appartient désormais de faire. Transformons nos richesses naturelles africaines ici en Afrique, ici en Côte d’Ivoire et exportons des produits finis, tout en veillant sur leur commercialisation. En transformant notre anacarde sur place, nous favorisons l’émergence d’une agro-industrie nationale et continentale. Cela se traduit par un accroissement de la valeur ajoutée des filières agricoles. Cela garantit une plus juste rémunération aux producteurs et à l’ensemble des acteurs de la chaine de valeur. C’est un enjeu absolument majeur …», a ajouté le ministre d’Etat Kobenan Kouassi Adjoumani.
Rappelons que lors de la première édition du Sietta en 2014, la Côte d’Ivoire n’était qu’à 6% de taux de transformation de sa production de 560.000 tonnes de noix de cajou brutes. En 2022, le pays a atteint près de 22% de taux de transformation, pour une production de noix brutes qui a franchi le million de tonnes. Ce qui fait un peu plus de 224 000 tonnes de noix brutes de cajou transformées, près de 8 fois plus en volume qu’en 2014, générant plus de 15 000 emplois directs dont 70% sont occupés par des femmes. Avec cette performance, la Côte d'Ivoire s'est hissée au troisième rang mondial des pays transformateurs et fournisseurs d'amandes de cajou, après le Vietnam et l'Inde. Le secteur de l'anacarde réalise un chiffre d'affaires de plus de 600 milliards Fcfa par an. La filière génère un revenu annuel de plus de 300 milliards Fcfa.
Bamba Mafoumgbé

Le Président de la République, Alassane Ouattara, a félicité le Premier Ministre Patrick Achi et l'ensemble de la délégation ivoirienne pour la qualité de leur participation au BOAO Forum pour l'Asie en Chine. Et également pour le programme conclu avec le Fonds monétaire international (Fmi) portant sur un appui de 3,6 milliards de dollars, soit un plus de 2 000 milliards de Fcfa. Rapporte le Cicg.

L’information a été rapportée par le porte-parole du gouvernement, Amadou Coulibaly, par ailleurs ministre de la Communication et de l’Economie numérique, au terme du Conseil des ministres, le mercredi 05 avril 2023 à Abidjan-Plateau.

En ce qui concerne la participation du Premier Ministre au BOAO Forum pour l'Asie, le Président de la République a exprimé ses vifs remerciements au Président Xi Jinping et au gouvernement chinois pour l'honneur qui a été fait à la Côte d'Ivoire et a salué l'excellence des relations de coopération qui unissent nos deux pays.

Pour ce qui est du programme conclu avec le FMI, le Chef de l'État s'est félicité de ce que le FMI ait donné une suite favorable à la demande de financement de ce programme que notre pays lui avait adressé. Il a fait remarquer qu'un tel niveau de financement qui correspond à 400% de la quote-part de la Côte d’Ivoire, traduit la confiance du FMI en notre pays.

Tout en félicitant le Premier Ministre et son gouvernement pour l'atteinte de telles performances, Alassane Ouattara les a exhortés à poursuivre les efforts afin de renforcer le crédit que notre gouvernance inspire tant à l'ensemble des bailleurs de fonds qu'à la population ivoirienne.

Il a, par ailleurs, invité le gouvernement à davantage de rigueur et au strict respect des règles de bonne gouvernance.

Le Président Alassane Ouattara a salué l'ensemble de la population ivoirienne pour sa résilience qui lui a permis de supporter les effets des deux chocs majeurs que le monde a connus ces dernières années, notamment la crise de la Covid-19 et la guerre russo-ukrainienne.

La Conférence annuelle 2023 du Forum de Boao pour l’Asie s’est tenue du 28 au 31 mars 2023, à Boao, ville de la province chinoise de Hainan, sur le thème « Un monde incertain : solidarité et coopération pour le développement face aux défis ».

Ayoko Mensah

 

La Côte d’Ivoire et la République populaire de Chine fêtent cette année les 40 ans de leur coopération. Les deux pays ont traduit la solidité et réaffirmé le renforcement de cette coopération lors de la Conférence annuelle 2023 du Forum de Boao pour l’Asie, tenue du 28 au 31 mars 2023, à Boao, ville de la province chinoise de Hainan.

En marge du Forum de Boao pour l’Asie (FBA), le Premier Ministre ivoirien, Patrick Achi, qui y représentait le Président de la République Alassane Ouattara, a été reçu en audience par son homologue chinois, Li Qiang, avec qui il a parlé de la coopération entre la Côte d’Ivoire et la République populaire de Chine qui s’est accrue dans divers domaines, durant cette période. Rapporte le Cicg.

Selon le Premier ministre, les relations sino-ivoiriennes sont au beau fixe. Ensemble, les deux Premiers Ministres ont parcouru et fait le point d’un certain nombre de projets qui ont été réalisés, ainsi que ceux qui sont en cours de réalisation pour voir leur état d’avancement. Pour rappel, la Chine, le géant d’Asie, est devenu l’un des partenaires principaux de la Côte d’Ivoire, est notamment présent dans les domaines des infrastructures et de l’énergie.

Le Chef du gouvernement a dit toute sa satisfaction devant cette collaboration qui devra privilégier l’investissement privé productif et la création de valeurs ajoutées nouvelles. Tout en permettant l’accès des pays africains comme la Côte d’Ivoire à des conditions plus souples de financement, en adéquation avec leurs besoins en infrastructures économiques et sociales, notamment, dans l’éducation, la santé, l’énergie, les routes, les réseaux qui sont en effet de plus en plus majeurs et stratégiques.

La mise en œuvre de la Vision 2030 du Président de la République et du Plan national de Développement (PND 2021 - 2025) a également été au cœur de cet échange. Notamment, les différents projets majeurs à mettre en œuvre dans les meilleurs délais, surtout les projets concernant les jeunes.

L’année 2023 ayant été décrétée Année de la jeunesse par le Président Alassane Ouattara. Les échanges ont été fructueux avec le Premier Ministre chinois qui a donné des instructions aux institutions de financement en faveur des discussions qu’il aura avec celles-ci dans les tout prochains jours, sur les modalités pratiques de mise en œuvre des décisions.

Par ailleurs, Patrick Achi a rappelé les progrès réalisés par la Côte d’Ivoire, sous le leadership du Président Alassane Ouattara, permettant ainsi au pays de faire partie des économies les plus performantes au monde, avec une croissance moyenne de 7% de 2012 à 2022. Toute chose qui a permis de réduire la pauvreté de plus de 15 points. Le Premier Ministre est revenu sur l’ambition du Président de la République incarnée dans la vision 2030, qui prévoit un doublement du PIB en 10 ans, la réduction de moitié du taux de pauvreté et une augmentation de dix ans de l’espérance de vie en dix ans.

Les deux pays entendent poursuivre leur coopération sur des projets tels que le Port sec de Ferkessédougou, le projet de modernisation et d’extension du Port autonome de San Pedro ou encore le projet de mise en place d’une douane intelligente.

Présenté comme le pendant asiatique du Forum économique de Davos, le FBA a réuni cette année environ 2 000 participants venus de plus de 50 pays. Ayant pour objectifs, entre autres, de promouvoir et de renforcer les échanges économiques, l’interaction et la coopération au sein de la région, ainsi qu’entre la région et d’autres parties du monde, il s’est déroulé autour du thème « Un monde incertain : solidarité et coopération pour le développement face aux défis ».
Bamba Mafoumgbé

« Je suis particulièrement reconnaissant pour ce jour qui n'est pas seulement la célébration de mon anniversaire mais aussi le début d'une nouvelle aube dans ma carrière professionnelle ainsi que dans ma vie. Le 3 avril 2023 marque en effet le début officiel de mes fonctions de Coordonnateur du Programme Abidjan Legacy et de Conseiller au Cabinet du Premier Ministre de Côte d'Ivoire », propos de Abou Bamba, le coordonnateur du Programme Abidjan Legacy. C’était lors de sa prise officielle de fonction à Abidjan.

Quoi de plus normal pour ce brillant cadre africain et fonctionnaire international. « Après une carrière de près de 30 ans en tant que fonctionnaire international dans le domaine du développement durable en Afrique, il est temps maintenant de servir mon pays et son peuple à travers la mise en œuvre du programme Abidjan Legacy, un puissant accélérateur de développement durable et de transformations agricoles de 2,7 milliards de dollars en Côte d'Ivoire. », dit-il. Tout en remerciant Dieu. « Un grand merci à vous tous, famille, amis et collègues et je compte sur votre soutien habituel pour cette nouvelle aventure qui va transformer la trajectoire de développement de notre pays », ajoute M. Bamba.
« Je saisis l'occasion de remercier Dieu avant tout et d'exprimer ma profonde gratitude au Président Alassane Ouattara pour la confiance qu'il m'a accordée tant pour l'organisation de la COP15 de l'@UNCCD que pour la conception du Programme Abidjan Legacy. Mes remerciements vont également à S.E. le Vice-Président, Tiémoko M. Koné ainsi que le Premier Ministre S.E.Achi Patrick pour leur soutien tant dans la préparation, l'organisation et la mise en œuvre du Programme..mais surtout pour l’immense opportunité offerte pour servir mon pays qui m’a tout donné.

Version anglaise : I am grateful for this day which is not only the celebration of my birthday, but it’s also the beginning of a new dawn in my professional career and my life.

April third 2023 marks the official start of my jobs as Coordinator of the Abidjan Legacy Program and Advisor to the Prime Minister of Côte d’Ivoire.

After almost 3 decades as an international civil servant in the field of sustainable development in Africa, it’s time now to serve my country and its people through the implementation of the Abidjan Legacy Program, a 2.7 billion USD powerful accelerator of sustainable development and agri
https://www.instagram.com/p/Cqljc9ZO9db/?igshid=MDJmNzVkMjY=

 

 



Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Légende photo : Abou Bamba le Coordonnateur du Programme Abidjan Legacy reçu par le Président de la République Alassane Ouattara


Dressant le diagnostic du secteur de l’électricité en Côte d’Ivoire, en janvier 2023, le ministre des Mines, du Pétrole et de l’Energie, Sangafowa Coulibaly a regretté que ce secteur est resté financièrement déséquilibré. Et ce, depuis de nombreuses années. En Côte d’Ivoire, a-t-il indiqué, « la vérité des chiffres est que les produits des ventes d’énergie sont structurellement inférieurs à leur coût de production ».

Le ministre Sangafowa Coulibaly a fait remarquer qu’une partie significative de la production ivoirienne est basée sur l’utilisation de produits pétroliers. D’où une augmentation évidente du coût de production avec la crise énergétique mondiale due à la guerre russo-ukrainienne.

En Côte d’Ivoire, malgré la situation, les tarifs de vente de l’électricité sont demeurés inchangés, selon M. Coulibaly. Cette stabilité actuelle des prix sur le terrain s’explique par l’intervention de l’Etat qui subventionne le prix de vente de l’électricité. Pendant combien de temps l’Etat continuera-t-il de tenir ? Est-ce que la tarification du kilowattheure (Kwh) va subir une légère hausse ? Surtout quand on sait qu’un pays comme le Sénégal a réduit depuis le 1er janvier 2023 la subvention en faveur des consommations dépassant 150 kilowattheures. « La subvention de l’État continue d’être effective pour toutes les tranches de consommation de la Société nationale d’électricité du Sénégal (Senelec). Seulement, pour la rendre pérenne et efficiente, elle a été réajustée pour mieux refléter la volonté sociale et solidaire du président de la République », avait tempéré le directeur de la Senelec, Pape Mademba Biteye rapporte Jeune Afrique.

En Tunisie, toujours selon cette publication, la ministre en charge de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie avait annoncé, le 7 février 2023, qu’une hausse des tarifs de l’électricité était programmée pour 2023. Il faut noter que selon la publication panafricaine que d’autres pays devraient suivre, citant la Côte d’Ivoire, le Congo Brazzaville, l’Afrique du Sud.

Apparemment l’ajustement de la tarification de l’électricité en Côte d’Ivoire semble inévitable. « Il est à présent manifeste que la crise énergétique mondiale s’inscrit dans la durée. Ses implications sont très clairement structurelles et nous devons en tirer les conséquences de façon responsable, au risque de compromettre la viabilité économique de la filière énergétique globale de notre pays », avait annoncé en janvier 2023, le ministre des Mines, du Pétrole et de l’Energie, Sangafowa Coulibaly.

(Source : Fratmat.infoPar Salif D. Cheickna)

« MAÎTRISE DES PROCÉDURES DES RÉGIMES DOUANIERS ET DE LA VALEUR EN DOUANE DANS LE CIRCUIT DU COMMERCE INTERNATIONAL »
C’est le thème du deuxième séminaire de formation que l’Office ivoirien des chargeurs ( Oic), organise à Ivotel Plateau, le 05 et 06 Avril 2023 08H à 14H. Ce après le franc succès des précédentes sessions. Selon les initiateurs, plusieurs opérateurs abandonnent leurs marchandises au port à cause des coûts de dédouanement dont ils n'ont souvent aucune maîtrise. Les plus chanceux les vendent à vil prix et arrivent à faire face aux frais d'importation. D'où tout l'intérêt de la maîtrise des régimes et procédures douaniers pour permettre aux opérateurs du commerce international de rentabiliser leurs activités durablement. Il faut donc les aider à surmonter cet obstacle. A travers une maitrise des procédures en la matière.
Comment faire connaître les régimes et procédures douaniers aux chargeurs de sorte à leur faire éviter les nombreuses amendes douanières qui amenuisent le résultat de leurs activités. l'issue de ce séminaire, les auditeurs devront être capables de connaître les différents régimes douaniers, maîtriser les règles d'évaluation en douane et les recours en cas de contestation de la valeur en douane. Mais aussi et surtout comprendre le mécanisme de fonctionnement du SYDAM et du GUCE sans oublier le mécanisme pour éviter les amendes douaniers , la maîtriser les procédures douanières et la connaissance des circuits de dédouanement des marchandises.
A noter que les personnes ciblées pour ce séminaire de formation sont entre autres : les chefs d'entreprise, Cadres d'entreprises, Importateurs, Exportateurs, Transitaires, Commissionnaire de transport, Responsable logistique, toute personne intéressée par les activités d'importation et d'exportation. Le formateur qui n’est plus à présenter n’est autre Dr MALAN Paul, Formateur à la Douane, Expert Consultant en Commerce International
DATES: 05 et 06 Avril 2023

HORAIRES: 08H à 14H

LIEU: Ivotel Plateau
Pour les conditions de participation, voir pub. Le Coût de la formation est de 236 000 F Ttc . Ce tarif couvre la formation (cours et documentation), les pauses cafés et déjeuners. Des supports de formation, des kits pédagogiques et un Certificat seront remis à chaque participant.
Bamba M.
Nb : Contacts: 07 08 49 00 63 / 01 01 50 61 81

 

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