Prix garanti bord champ (campagne 2023-2024): Cacao 1000 Fcfa/Kg;  Café  900 Fcfa/Kg

vendredi 19 avril 2024
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Finances Publiques
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Ce matin-là, une fine pluie tombe sur Abidjan. Les rues comme d'ordinaire sont embouteillées, les principaux carrefours obstrués. La capitale ivoirienne connait son train-train habituel. Cependant, dans les ministères, les choses sont moins ordinaires. En effet, depuis plus d’une semaine le pays est sans gouvernement. La nomination d'un nouveau Premier Ministre après la fin du mandat de Patrick Achi se faisait attendre depuis plusieurs jours et les supputations, comme dans ce genre de situation étaient au centre des conversations.

L’après-primature
A la Primature ce 16 octobre 2023, on est quasi convaincu de la reconduction de Patrick Achi. Technocrate à la valeur reconnue, le Premier Ministre sortant apparaissait comme un homme de base du dispositif d'Alassane Ouattara et étaient particulièrement apprécié des chancelleries étrangères ainsi que des partenaires internationaux du pays.

Une reconduction de Patrick Achi était donc l'hypothèse la plus plausible. Et pourtant dans un coup de théâtre dont il a seul le secret depuis son accession à la présidence Ivoirienne, Alassane Ouattara décide de nommer Robert Beugré Mambé Premier Ministre. Bien connu de la scène politique ivoirienne, le Gouverneur du District autonome d'Abidjan n'a cependant jamais figuré dans la short-list des probables locataires de la Primature.
A la cérémonie d’ouverture de la Can 2023 dans ce magnifique édifice qui porte son nom, Alassane Ouattara en plus d’instruire le protocole à mettre Patrick Achi dans la loge officielle et en premier plan juste à côté de Beugre Mambé, il en profitera pour dire merci à Patrick Achi pour ses efforts dans l’accomplissement de cette mission
C'était donc la stupeur dans les bureaux de la Primature ainsi que dans plusieurs administrations. Rapidement les analystes essaient de comprendre les raisons de cette décision surprenante. Alassane Ouattara quant à lui valide dans les heures qui suivent le nouveau gouvernement qui se met dès le lendemain au travail.
Ouattara n'oublie pas Achi
Les jours qui ont suivi cette décision du chef de l'Etat, nombreux étaient ceux qui évoquaient les retards dans les travaux de la Can 2023 pour justifier cette décision. Il est vrai qu'après le fiasco du stade Alassane Ouattara d'Ebimpe il était acquis que des têtes allaient tomber mais celle de Patrick Achi, apprécié d'Alassane Ouattara semblait bien protégée.

En effet, l'ancien Premier Ministre jouit d'un profond respect de la part du président ivoirien. Pour preuve, Alassane Ouattara ne manque aucune occasion de rendre hommage à celui qui a été Secrétaire général du gouvernement. Déjà, lors du premier conseil des ministres du gouvernement Mambé.
Puis, lors de son discours à la nation du 31 octobre 2023, Alassane Ouattara n’oubliera pas d’exprimer une fois de plus sa gratitude à Patrick Achi. Le discours ne fera pas mention de l’ex- Secrétaire Général, Aboudrahamane Cissé qui s’était envolé pour Londres au soir de sa démission quelques jours plus tôt.
Alassane Ouattara, on le sait, est très reconnaissant et attaché à ses vieux amis, mais en faire cas dans ses discours, est un fait peu courant. Et pourtant un autre hommage à Patrick Achi ne s’est pas fait attendre. A la cérémonie d’ouverture de la Can 2023 dans ce magnifique édifice qui porte son nom, Alassane Ouattara en plus d’instruire le protocole à mettre Patrick Achi dans la loge officielle et en premier plan juste à côté de Beugre Mambé, il en profitera pour dire merci à Patrick Achi pour ses efforts dans l’accomplissement de cette mission.

Admis à Havard mais pas tellement loin d’Abidjan et de Alassane Ouattara.
En février 2024, Achi fait son entrée à l'université Harvard en tant qu'enseignant-chercheur privé, au sein du Centre de développement international (CID). Ceux qui se réjouissent de le voir loin de la sphère politique nationale et son mentor ont fait un mauvais calcul.
Plus que jamais proche du couple présidentiel, Patrick Achi et Florence, son épouse, ne manquent pas d’occasion pour montrer aux ivoiriens qu’ils sont plus que jamais très proches Alassane Ouattara. Pour les observateurs avertis de la scène politique, Patrick Achi serait le plan B pour la présidentielle de 2025 en cas de désistement du Président de la République. La situation du président du Conseil régional de La Mé reste donc un
mandat d'Alassane Ouattara.
In: www. linfodrome.com , par  Jean  Kelly Kouassi

Face à la nouvelle réglementation de l’Union européene (Ue) sur la déforestation, le directeur général du Conseil hévéa-palmier à huile, Edmond Coulibaly, a présenté jeudi 29 février lors d’un panel organisé à la 60e édition du Salon international de l’agriculture de Paris (SIA 2024), des solutions sur la durabilité de ces filières en Côte d’Ivoire. Rapporte l’envoyée spéciale de l’Aip.

« La forêt est un atout pour nous. Sans forêt, il y aura plus de pluviométrie et il n’aura plus de récolte », a fait remarquer Edmond Coulibaly, qui préconise une rémunération supplémentaire en contrepartie des actions menées afin d’encourager tous les efforts déployés par ces acteurs.

« Il nous faut mener le combat pour qu’il y ait une prime en bonne et due forme pour l’effort déployé par toutes ces entreprises en Côte d’Ivoire », a-t-il soutenu, à l’occasion d’un panel organisé par le groupe agroalimentaire SIFCA sur « Les enjeux de la traçabilité dans les filières huile de palme et caoutchouc naturel en Côte d’Ivoire, face aux nouvelles exigences de l’UE sur la déforestation (EUDR) ».

« Le problème du planteur, c’est de mieux vendre sa production, si vous lui imposez une contrainte supplémentaire et qu’en contrepartie, il est bien réénuméré, il n’y a pas de raison qu’il ne se mette pas à la tâche », a estimé le Dg du Conseil hévéa-palmier à huile.

Organisé à la Salle 121 CFDE Espace 2000 pavillon 1 du Parc des expositions de la porte de Versailles (Paris), dans le cadre de la journée ivoirienne au SIA 2024, ce panel a permis aux acteurs des deux filières de se pencher sur la question de la règlementation de l’Ue visant à interdire l’importation des produits agricoles ayant contribué à la déforestation.

Pour le ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture, du Développement rural et des Productions vivrières, Kobenan Kouassi Adjoumani, la Côte d’Ivoire n’a pas attendu la réglementation de l’UE pour mettre en place une politique sur la traçabilité et la lutte contre la déforestation.

En effet, dès le début la campagne 2023, le Conseil hévéa-palmier à huile a procédé à la mise en place d’actions et de mesures visant la traçabilité des deux filières. L’objectif est de permettre l’identification des acteurs de la commercialisation et maitriser le circuit de commercialisation des produits ainsi que la traçabilité des actions menées par les acheteurs agréés.

Pour rappel, le Parlement Européen et les Etats membres de l’Ue ont trouvé un accord pour interdire l’importation de plusieurs produits comme le cacao, le café ou le soja, lorsqu’ils contribuent à la déforestation. L’huile de palme et le caoutchouc sont également concernés par cette mesure.
Ayoko Mensah

La Direction générale de CI-Energies a offert des vivres et des non vivres, d’un coût total de 14 millions Fcfa aux populations de Soubré impactées par la construction du barrage hydroélectrique de Gribo-Popoli. L’Information est du correspondant local de l’ Aip.
La cérémonie de remise officielle des dons a eu lieu vendredi 1er mars 2024 dans la cour de la préfecture de Soubré en présence du directeur général de CI-Energies, Noumory Sidibé et du préfet de région Kouamé Bi Kalou Clément.
Selon cette source, les dons sont composés de 600 sacs de 25 kilos de riz, 120 cartons de lait en poudre, 90 cartons d’huile et de 50 sacs de sucre de 25 kilos, ces dons sont offerts, selon Noumory Sidibé, aux populations des 15 localités impactées par la construction du barrage hydroélectrique de Gribo-Popoli en vue de les soutenir en cette période de carême chrétien et le ramadan avenir.
« Conformément à notre philosophie d’entreprise éco-citoyenne et solidaire, et surtout, en ces heures de carême chrétien et en pensant au ramadan qui débute bientôt, je ne pouvais pas venir vous voir les mains vides», a-t-il indiqué, soulignant que la mise en eau du barrage de Gribo-Popoli est un projet mené certes par CI-Energies et ses partenaires, mais il s’agit d’un projet d’ensemble dans lequel les autorités locales et les populations ont ont joué un rôle important.
« Nous avons débuté ce projet ensemble, il nous appartient de l’achever en beauté ensemble, pour que dans quelques mois, notre barrage soit fonctionnel pour le bien de notre pays et de votre région», a-t-il affirmé.
Le préfet de région, Kouamé Bi Kalou Clément, a salué la direction de CI-Energies pour ce don en faveur des populations impactées par la construction du barrage hydroélectrique de Gribo-Popoli.
« En le faisant, vous faites preuves d’humanisme et de solidarité, en répondant aux aspirations des populations riveraines et des communautés locales. Nous ne pouvons que vous remercier», a-t-il laissé entendre en guise de remerciements au donateur .
B.M

Le Directeur général de CI-Energies, Noumory Sidibé a procédé samedi 02 Mars 2024 à la mise en eau du barrage hydroélectrique de Gribo-Popoli en présence du préfet de région, Kouamé Bi Kalou Clément. Rapporte le correspondant local de l’Aip.
Selon M. Noumory Sidibé, cette opération marque la fin des gros œuvres de la construction du barrage car elle permet non seulement aux équipes de vérifier la qualité des travaux réalisés, mais d’apprécier également l’espace que l’eau va finalement occuper pour constituer le réservoir du barrage.« C’est une étape cruciale. Elle consiste à remplir d’eau pour la première fois le réservoir du lac, afin de permettre dans quelques mois le fonctionnement de l’usine de production d’électricité », a -t- il expliqué, rappelant que le projet du barrage hydroélectrique de Gribo-Popoli s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du plan de développement énergétique de la Côte d’Ivoire axé sur les énergies renouvelables.
Selon la source, Cette opération a consisté à la fermeture des vannes du canal d’évacuation préalablement construit afin de constituer un vaste réservoir d’eau dont le passage dans les turbines installées au niveau de la prise d’eau et permettra de produire de l’électricité. Alimenté par un bassin versant de 62 749 km2 pour une capacité de 82 millions de m3, le barrage de Gribo-Popoli dispose d’une puissance installée de 112,9 MW et pourra produire plus de 535 GWh d’électricité.
Afin d’évacuer efficacement l’électricité produite, un poste transformateur de 24 MVA a été construit à cet effet. Le barrage de Gribo-Popoli va permettre d’alimenter de milliers de familles et d’alimenter des Etats voisins, laquelle alimentation permettra de renforcer le rôle de la Côte d’Ivoire économique sur le marché sous-régional de l’électricité.
Bamba M.

Les spots radio de la campagne Disons NON ! sensibiliseront les communautés rurales et urbaines du Sénégal aux dangers des fausses offres d'emploi couramment utilisées pour la traite des êtres humains. Les spots radio seront diffusés en wolof dans quatre régions clés du Sénégal : Dakar, Saint-Louis, Mbour et Thiès, ce qui pourrait permettre de toucher plus de 5 millions de personnes.

QNET, une entreprise de vente directe axée sur le style de vie et le bien-être, a lancé une campagne publicitaire à l'échelle nationale au Sénégal dans le cadre de la campagne Disons NON! Afin d'informer les communautés rurales et urbaines sur les dangers des fausses offres d'emploi souvent utilisées pour la traite des êtres humains.
Cette campagne radio s'appuie sur les succès remportés au Burkina Faso, au Sénégal et au Nigeria. Elle sera diffusée en wolof dans quatre régions clés - Dakar, Saint-Louis, Mbour et Thiès - et touchera potentiellement plus de 5 millions de personnes.
Selon l'Organisation internationale pour les migrations (Oim), la traite des êtres humains est à la fois un acte criminel et une grave violation des droits de l'homme, qui touche des personnes de tous les sexes et de tous les âges dans le monde entier.1 Les statistiques indiquent que plus de 20,9 millions de personnes subissent actuellement les affres de la traite des êtres humains dans le monde.2 En outre, l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC), dans son rapport de 2008 sur les outils de sensibilisation, souligne qu'il est impératif de sensibiliser le public à la traite des êtres humains par le biais de campagnes d'information tout en utilisant des supports linguistiques appropriés pour diffuser le message de manière efficace.
Biram Fall, directeur général régional de QNET pour l'Afrique subsaharienne, indique que le spot radio constitue un moyen fiable de diffuser le message et de localiser la campagne "Disons NON! "Le déploiement stratégique de publicités radiophoniques amplifie la portée de la campagne de sensibilisation « Disons NON! à l'ensemble de la population. Notre mission est de donner aux communautés les connaissances et la sensibilisation nécessaires pour résister à l'attrait des trafiquants. La polyvalence de la radio permettra de franchir les barrières culturelles et linguistiques, servira de canal vital dans notre lutte contre la traite des êtres humains, donnera aux gens les moyens de reconnaître et de rejeter les offres d'emploi trompeuses, et réduira la vulnérabilité à la traite ».

Dès le lancement de la campagne "Disons NON! en novembre 2023, cette entreprise a efficacement sensibilisé à la traite des êtres humains en lançant un site web dédié, en plaçant des panneaux d'affichage dans des endroits stratégiques des trois pays, en distribuant plus de trois mille brochures humoristiques et en diffusant des annonces radiophoniques à travers le Nigeria. En outre, QNET a continuellement engagé les institutions et les organisations gouvernementales à créer des partenariats avec les parties prenantes pour la campagne "Disons NON! et favoriser les collaborations intersectorielles afin d'améliorer l'impact et la portée de la campagne.

En collaboration avec le CNLTP, le gouvernement sénégalais a entrepris plusieurs initiatives de sensibilisation à la traite des êtres humains par le biais de la télévision, de la radio et de l'internet dans sept langues différentes. L’entreprise vise à contribuer aux efforts du gouvernement en renforçant l'impact de la campagne Disons NON! avec des publicités éducatives ciblées à la radio pour éradiquer la traite et démontrer comment l'implication du secteur privé peut améliorer de manière significative les initiatives de sensibilisation du public.
La campagne se poursuivra pendant trois mois au Nigeria, au Sénégal et au Burkina Faso afin de promouvoir une communauté plus sûre et mieux informée, unie contre le fléau de la traite des êtres humains.
Disons NON! à l'exploitation et OUI à la liberté, à la dignité et au respect pour tous.
Ayoko Mensah

Abidjan la capitale économique de la Côte d’Ivoire va accueillir du 5 au 7 mars 2024, les assises de « International Transport worher’s Federation »’ où tout simplement la Fédération internationale des ouvriers du transport (Itf). En prélude à cette grande rencontre internationale qui vient donner un nouvel éclat à la Côte d’Ivoire avec une belle organisation de Can, où elle est d’ailleurs sortie victorieuse, les organisateurs étaient face à la presse le mercredi 28 février 2024. Cette conférence de presse a eu pour cadre le siège de ladite structure à la Riviera Bonoumain, dans les encablures d’Abidjan Mall. Elle a été principalement animée par Bayla Sow et Sangaré Moussa, respectivement Secrétaire régional adjoint Afrique et Président du comité d’organisation (Pco) de la prochaine rencontre. La conférence portait sur le thème : « Paix et justice pour un secteur de transport durable en Afrique ». Pour le premier conférencier, Bayla Sow, c’est clair, il s’agira au cours de ces assises de mobiliser les forces des travailleurs des différents secteurs des transports en vue de d’un développement harmonieux et pérenne, réfléchir au développement d’une politique et à un renforcement de capacité des modes de transport, l’amélioration constante et continue des cadres de vie et de travail des travailleurs. Quant au second conférencier, tout en faisant chorus aux propos de son prédécesseur, Sangaré Moussa a renchéri en expliquant que cette conférence revêt une importance particulière, car elle marque la deuxième fois qu'un pays d'Afrique francophone accueille un événement de cette envergure. Avec la participation attendue de 40 pays et près de 250 participants issus de tous les modes de transport, cet événement promet d'être une plateforme d'échanges et de collaboration essentielle pour l'avenir du transport en Afrique. Selon lui, elle revêt également une signification symbolique, en tant que premier grand événement organisé à Abidjan depuis le transfert du Bureau de Ouagadougou le 2 octobre 2021. La réussite de cet événement jouera un rôle déterminant dans la confirmation de la décision de considérer définitivement Abidjan comme Bureau Régional depuis le 2 octobre 2021. Il s’est dit honoré d'annoncer la présence confirmée du Président et du Secrétaire général de l'ITF, ainsi que du président de l'European Transport Workers' Federation (ETF). Occasion toute trouvée pour lui de plaider la présence du ministre des Transports à ces assises comme cela a été le cas au Nigéria et en Ethiopie.
Koné De Sayara


Yamoussoukro abrite depuis ce jeudi 29 Février le séminaire bilan 2023 et perspective 2024 de la Direction générale du budget et des finances (Dgbbf).
Ce sur le thème : « La Dgbf au cœur d'une gestion budgétaire plus performante » qui vise, selon Traoré Seydou, Directeur général du budget et des finances à faire le point des activités réalisées au cours de l'année 2023 et à définir les grandes orientations pour l'exercice budgétaire 2024 en mettant un accent particulier sur la performance dans gestion budgétaire.
Il s'agira, a précisé Traoré Seydou de faire le point de la mise en œuvre du Plan d'actions stratégiques (PAS) de la Dgbf, de relever les difficultés rencontrées au cours de l'exercice 2023 afin de proposer des mesures correctives et de définir les principales orientations pour 2024 et valider les activités du PAS 2024 de la Dgbf.

En outre, ce séminaire sera l'occasion d'échanger autour de quatre thématiques majeures à savoir le bilan de l'élaboration du budget 2024 et les perspectives pour le budget 2025, le bilan du suivi de l'exécution budgétaire 2023 et la stratégie pour un meilleur suivi de l'exécution budgétaire 2024,la présentation des innovations majeures contenues dans l'arrêté 2024 portant procédures et circuit d'exécution du budget de l'État et ses implications et enfin le point de la mise en œuvre de la certification globale de la Dgbf et les perspectives.
A l’occasion, Vassougbo Bamba, directeur de cabinet adjoint du ministère du Budget et des Finances a relevé que des avancées notables ont enregistrées tout au long de l'année 2023 dans la conduite des opérations budgétaires.
Il s'est félicité de l'amélioration continue de la gestion budgétaire en mode budget -programmes à travers le développement d'applications permettant une bonne préparation et une exécution plus affinée du budget. Il a également noté avec Beaucoup de satisfaction l'exécution réussie du Système de gestion des opérations budgétaires de l'État (Sigobe) dans les représentations diplomatiques et consulaires ainsi que dans les établissements publics nationaux.
Vassogbo Bamba a salué le dynamisme de la Direction générale du budget et des finances et s'est réjoui des initiatives qui y sont conduites à l'effet de soutenir l'activité économique tout en veillant à préserver les engagements de l'État dans le cadre du Programme économique et financier conclu avec le Fonds monétaire international.
Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Participant à la 60e édition du Salon international de l’agriculture de Paris (Sia 2024) qui se déroulera du 24 février au 03 mars au Parc des expositions de la Porte de Versailles, le Groupe Sifca met l’accent sur l’économie de l’huile de palme et du caoutchouc naturel. Rapporte l’Aip.
A ce titre, l’entreprise anime un stand au pavillon Côte d’Ivoire (Hall 5.1) ponctué de deux panels portant sur les thèmes « L’agroforesterie à base de palmier à huile en Côte d’Ivoire: Enjeux et perspectives face aux défis de la sécurité alimentaire » et « Les enjeux de la traçabilité dans les filières huile de palme et caoutchouc naturel en Côte d’Ivoire, face aux nouvelles exigences de l’UE sur la déforestation (EUDR) ».

Le panel 1 est un moment de partage et de capitalisation des expériences et leçons apprises et surtout de réflexion sur des orientations nouvelles pour une meilleure adoption de l’agroforesterie en tant que système de culture pouvant jouer un rôle essentiel dans l’atteinte des objectifs de souveraineté alimentaire.

Quant au panel 2, il a pour objectif principal d’analyser les opportunités et défis de la traçabilité des produits issus de la filière du palmier à huile dans le contexte de EUDR.

Chaque année la Côte d’Ivoire participe au Sia, à travers la promotion de son agriculture. Depuis 2015, sur invitation du ministère en charge de l’Agriculture, Sifca, premier Groupe agro-industriel en Afrique de l’Ouest et premier employeur privé après l’Etat de Côte d’Ivoire, apporte sa contribution au rayonnement des filières agricoles, ajoute l’Aip.
Spécialisé dans le domaine agro-industrie, Sifca est un groupe privé ivoirien, fondé en 1964. Il est présent sur toute la chaîne de valeur, depuis l’exploitation des plantations jusqu’à la transformation et la commercialisation, de l’huile de palme, du caoutchouc naturel et du sucre de canne. Fort de 30 000 employés, il est présent dans six pays (Côte d’Ivoire, Ghana, Nigéria, Liberia, France et Singapour) avec 13 filiales dont certaines sont cotées à la Bourse régionale des valeurs mobilières d’Abidjan (BRVM).
Bamba M.(Source : Aip)

Patrick Achi, Premier ministre et chef du gouvernement de la Côte d’Ivoire de mars 2021 à octobre 2023, est accueilli en tant qu’enseignant-chercheur invité au Centre pour le développement international (Cid) de l’université de Harvard à Cambridge, Massachusetts, États-Unis, pour le semestre de printemps 2024, dans le cadre du nouveau programme de chercheurs invités du Centre.

« C’est un grand privilège pour moi d’intégrer le Cid en tant qu’enseignant-chercheur », réagi le Premier ministre Patrick Achi.
« La Harvard Kennedy School est réputée pour ses brillants esprits et son engagement inébranlable en faveur du développement international, et je suis ravi de rejoindre une communauté qui incarne la devise de l’école : ask what you can do (demandez quel service vous pouvez rendre) », a-a-t-il poursuivi.
« À Harvard, je partagerai mon expérience avec les étudiants exceptionnellement talentueux de l’université, explorant avec eux l’immense potentiel de l’Afrique ainsi que ses grands défis. Ce n’est un secret pour personne que le continent peut encore accélérer sa marche vers le développement. J’aurai à cœur de discuter avec les étudiants des lacunes de l’Afrique en matière de performances, ainsi que de mes convictions concernant les vecteurs clés de sa transformation future. J’attends avec impatience les mois à venir, au cours desquels je vais très certainement autant apprendre qu’enseigner », a-t-il ajouté.

Au Cid, Patrick Achi axera ses recherches sur les moyens de remédier à la lenteur de la transformation économique et du développement humain en Afrique et animera un séminaire sur l’accélération du développement durable.

En plus d’avoir été Premier ministre et chef du gouvernement de la Côte d’Ivoire, Patrick Achi a également été ministre d’État, secrétaire exécutif du Conseil national de la politique économique chargé de la supervision et de l’exécution du plan stratégique 2030 et du programme gouvernemental Côte d’Ivoire Solidaire 2021-2025, secrétaire général de la présidence et ministre de l’Infrastructure économique. Avant de se consacrer à la politique, il a été consultant en gestion dans le secteur privé pendant de nombreuses années.

Le Cid travaille avec l’université de Harvard ainsi qu’un réseau mondial de chercheurs et de spécialistes pour former, rassembler et déployer des talents afin de relever les défis les plus pressants du monde. À travers ses collaborateurs, ses programmes, ses chercheurs invités, ses étudiants et son personnel, il investit dans la formation de théoriciens et acteurs du développement de trois manières : en constituant un vivier mondial de talents capables de réfléchir de manière critique au développement par le biais de programmes diplômants, de formations pour dirigeants et d’apprentissage par l’expérience ; en réunissant des réseaux d’universitaires et de praticiens pour discuter des paradigmes du développement dans le cadre de conférences, de séries de débats et d’événements ; et en déployant une recherche de pointe pour élaborer et mettre en œuvre des solutions fondées sur des données probantes aux problèmes de développement par le biais de collaborations entre universitaires et acteurs du développement.
Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

( Source: communiqué  sur aip)

L’Office ivoirien des chargeurs (Oic) remet le couvert, dans le cadre de ses activités de formation et de renforcement de capacité des acteurs du commerce international. Ce autour du thème : « La maîtrise des procédures de contrôle comme moyen prévisionnel de gestion des contentieux en douane ». Cette séance de formation selon les initiateurs se tiendra le mercredi 27 et le jeudi 28 mars 2024 à l'Ivotel d’Abidjan- Plateau. (Cliquer sur la Pub Oic à droite)
Soucieux de la performance et de l’efficacité des chargeurs et autres opérateurs économiques sur la plateforme portuaire, dans un monde en perpétuelle évolution, M. Sidibé Youssouf, le Directeur général de l’Office ivoirien des chargeurs (Oic), organise régulièrement des séminaires de formation en leur endroit. Ce, conformément aux objectifs et missions de cette structure leader.
Ainsi, se conformant à cette tradition qui se veut un vrai atout pour ces derniers, il a été procédé, du 5 au 6 octobre 2023, à un séminaire qui a connu un franc succès comme les précédents. A noter que l’Oic est un conseil des chargeurs qui représente et défend les intérêts des importateurs et exportateurs utilisateurs de services de transport dans le cadre de l’acheminement de leurs marchandises.
Bamba Mafoumgbé
Contacts pour inscription : (225) 07 08 49 00 63 – (225) 01 40 17 17 03 pour assurer votre place

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