Prix garanti bord champ (campagne 2023-2024): Cacao 1000 Fcfa/Kg;  Café  900 Fcfa/Kg

lundi 13 mai 2024
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Finances Publiques
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Au cours des cinq dernières années, le gouvernement américain a investi une moyenne annuelle de 150 millions de dollars (environ 90 milliards de francs Cfa) pour aider la Côte d’Ivoire à lutter contre le paludisme.

L’information a été livrée le 16 mars dernier à Abengourou par Dr David Walton, le coordinateur mondial de l’initiative présidentielle des Etats-Unis contre le paludisme (PIM). C’était à l’occasion d’une visite qu’il effectuait dans l’Indénié du 15 au 16 mars 2023, avec à ses côtés Mme Jessica Davis Ba, la nouvelle ambassadrice des Etats-Unis en Côte d’Ivoire. Sur le but de cette visite, Dr Walton a indiqué qu’elle vise à rencontrer les autorités ivoiriennes et discuter avec elles des progrès et défis communs dans la lutte contre le paludisme.

Elle visait également à visiter les agents de santé communautaires et les populations cibles. Aussi, la mission américaine s’est-elle rendue à Sankadiokro (12 km au nord d’Abengourou) où elle a visité les communautés avant de visiter également la maternité de Cafétou, un quartier de la ville d’Abengourou.

Sem. Jessica Davis Ba l’ambassadrice se félicite  des progrès réalisés dans la lutte contre le paludisme et a traduit la détermination du gouvernement américain à continuer de soutenir la Côte d’Ivoire.

Notons que par le biais de l’initiative présidentielle des Etats-Unis contre le paludisme (PIM) le gouvernement américain aide les pays africains endémiques à lutter contre le paludisme. A ce jour, et après plus de 17 ans, ce programme s’étend sur 24 pays d’Afrique, y compris la Côte d’Ivoire. Ce projet prévoit la dotation de moustiquaires imprégnées, d’insecticides, de test de diagnostic rapide et des médicaments pour le traitement du paludisme. Plus de 8000 agents de santé dont 2000 agents communautaires ont été formés à cet effet.

Bamba Mafoumgbé( Source : Fratmat.info)

Les personnels de l’Ecole supérieure multinationale des télécommunications (Esmt), sont à couteaux tirés avec ses dirigeants actuels. A tel point qu’ils sont opposés à leur reconduction. C’est ce qui transparait d’un communiqué remis à la presse. Les raisons ? « Les personnels, au cœur du fonctionnement quotidien de l’Esmt, et porteurs de ses projets de développement, ont constaté pour le déplorer, des dysfonctionnements et des errements dans la gestion… », précise la source.
En effet, selon la note en question, toutes les missions assignées à cette école par l’accord intergouvernemental : mandat de formation, mandat de pôle de convergence et de recherche appliquée, mandat de conseil et d’animation technologique et les différentes alertes du personnel depuis 2019 pour dénoncer la mauvaise gestion de l’Esmt par l’équipe actuelle et malgré les conclusions du cabinet chargé de l’évaluation des dirigeants ,recommandant formellement la non-reconduction de leur mandat, les choses semblent ne pas aller dans le bon sens.
Face à la situation, les signataires dudit document exigent dorénavant des dirigeants élus, des résultats performants sur le plan de la gestion pédagogique, administrative et financière de l’école.
Pi, ajoute la source, « ces carences managériales se sont traduites par des contreperformances chroniques, la démotivation et le désengagement progressif des personnels. Au regard de toutes ces insuffisances et de tous ces manquements, nous, les personnels réunis en Association, demandons aux pays membres qui prônent la performance académique, scientifique et financière de l’Esmt de mettre fin à la prolongation du mandat des dirigeants actuels et de ne pas les reconduire »
Pour relancer la machine, ils préconisent la mise en place d’une équipe de transition pendant toute la période de recrutement et de nomination de nouveaux dirigeants, d’exiger dorénavant des dirigeants élus, des résultats performants sur le plan de la gestion pédagogique, administrative et financière de l’école. « En conséquence, des mouvements de grève soutenus par la section syndicale SUDES/ESR des enseignants de l’Esmt, sont prévus dès la semaine prochaine, pour exiger le respect des conclusions du rapport d’évaluation des dirigeants », conclue note.
Il est à rappeler que l’Ecole supérieure multinationale des Télécommunications, située à Dakar, a été créée en 1981 à l’initiative de sept pays d’Afrique de l’Ouest (Bénin, Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Togo), dans le cadre d’un projet du Programme des Nations Unies pour le développement (Pnud), avec le soutien de l’Uit, et de la coopération française, canadienne et suisse.
La Guinée Conakry a rejoint les membres fondateurs en 1998. Depuis 1986, un Accord de siège avec le Gouvernement du Sénégal lui donne un statut d’institution diplomatique. Cette école est une institution multinationale qui a pour vocation de former des diplômés dans les domaines techniques et managériaux des télécommunications/Tic.
Ayoko Mensah

Le constat est clair. A Abidjan, la métropole Ivoirienne, tout comme certaines cités de l’intérieur du pays, la question de l’habitat se pose avec acuité. La demande est forte, les besoins aussi. Surtout à Abidjan, où on dénombre un pullulement réel de population. Cette réalité qui sonne comme une lapalissade, n’est pas rejetée par M. Bruno Nabagné Koné, le ministre de la Construction, du logement et de l’urbanisme (Mclu). Bien au contraire. Il en a conscience et s’active à y pallier. Le 16 mars 2023, à la Maison de l’Entreprise, au Plateau, à l’occasion de sa rencontre avec FOCUS PND, une initiative de la Cgeci, destinée à présenter aux entreprises, les principaux projets de l’Etat de Côte d’Ivoire et susciter leurs intérêts à investir dans ces projets, le n°1 de la Construction, de l’Habitat et de l’Urbanisme, n’est pas allé du dos de la cuillère pour proposer les recettes de l’Etat face à ce problème. «(…) Pour garantir un logement décent à chaque Ivoirien aujourd’hui, un besoin global de 600 000 logements se pose sur toute l’étendue du territoire national. Nous nous atelons à y trouver des solutions. On a achevé 30 000 logements dans le courant de l’année 2023. Et on s’active à rester sur cette lancée, de sorte à mieux loger nos populations aussi bien à l’intérieur du pays, qu’à Abidjan où seulement 20%de la population est propriétaire de cours contre 80 % de locataires », a-t-il indiqué. Et à lui de préciser que la majorité de ce taux est mal logée. Pour le ministre de la Construction, il faut aider ces 80 %de locataires à améliorer leurs conditions de vie. «(…) Nous n’avons pas d’autre choix que d’encourager la construction des maisons » a-t-il alors insisté. A ce stade de son exposé, sans remettre en cause les constructeurs nationaux, le patron de la Construction, du Logement et de l’Urbanisme, a estimé qu’il faut un apport conséquent des grandes firmes expérimentées en la matière, donc capables de réaliser d’importants exploits par la construction de milliers d’’habitats en un laps de temps. Se prononçant sur les perspectives, il a estimé qu’elles sont radieuses. «(…) Quand la bâtiment va mieux, tout va bien. Et notre mission est de faire en sorte que le bâtiment aille très bien. Voilà pourquoi l’accélération de délivrance des documents administratifs tient une place de choix dans la reforme. Avec un point d’honneur au niveau de la délivrance des Acd. En 2022, nous avons signé 12 200 Acd contre 11 103 en 2021. Quant au président de la Cgeci, M. Ahmed Cissé, il s’est dit satisfait de cette rencontre, tout en rappelant que la Côte d’Ivoire dispose aujourd’hui d’entreprises capables de faire ce que font les structures étrangères. Il a souhaité la création d’un groupe de travail entre la tutelle et sa structure de sorte à les impliquer davantage dans l’élan de construction du pays.
K. S
Légende / Le ministre Bruno Nabagné Koné lors de son intervention.

Dans un article, Jeune Afrique révèle que le négociant ivoirien Loïc Folloroux, beau-fils du Président Alassane Ouattara, a été spolié de plus de 3 milliards Fcfa, dans une affaire avec un négociant franco-britannique, dans le domaine de l’exportation du cacao. Une affaire aux allures de règlement de compte avec la Côte d’ivoire d’Alassane Ouattara engagée depuis plusieurs années dans le combat pour le cacao africain sur le marché international, que ne pardonne pas la « mafia » internationale du cacao. Rapportent les services du Cabinet de la Première Dame de Côte d’Ivoire ; Dominique Ouattara.

Le fondateur d’Africa Sourcing accuse certains membres de la Fédération du commerce du cacao de s’être ligués contre lui dans une affaire où sa société aurait été escroquée de plus de 5 millions d’euros, soit plus de 3 milliards de Fcfa, selon les révélations de la publication. Ajoute la source.
Depuis 2018, Loïc Folloroux, fondateur d’Africa Sourcing, tente de récupérer les millions qu’il a confiés au négociant franco-britannique Matthew Stolz, fondateur de la société RockWinds, pour les placer sur le marché à terme du cacao.

Le 27 janvier, la Haute cour de justice de Londres n’a pas accédé à sa demande de remettre en cause le jugement prononcé il y a un an par le tribunal arbitral de la Fédération du commerce des cacaos (FCC).

4,6 millions d’euros et 840 000 livres

Le 28 février 2022, ce dernier, réuni en appel, avait estimé l’affaire prescrite, car plus de 56 jours s’étaient écoulés depuis la survenue du litige. La prise en compte de cette limite de temps n’est pas automatique, mais relève du choix des arbitres de la FCC.

Par cette décision, la fédération n’avait pas confirmé son premier jugement, qui obligeait Matthew Stolz à rembourser 4,6 millions d’euros aux sociétés de Loïc Folloroux et à leur verser une pénalité de 840 000 livres anglaises. Le patron de RockWinds a reconnu cette dette plusieurs fois par le passé, notamment en 2021, mais il entend aujourd’hui contester son remboursement. Ce montant correspond désormais, selon lui, à des pertes enregistrées sur les marchés.

Née de la fusion en 2002 des associations historiques des acteurs du cacao, française AFCC et anglaise CAL, la FCC a pour but d’harmoniser les pratiques commerciales de la filière. La fédération réunit environ 200 membres et est dirigée par un bureau regroupant 14 d’entre eux, dont Matthew Stolz.

Elle sert aussi de tribunal arbitral lorsque survient un différend sur un contrat d’achat de fèves établi selon ses règles. Si ce n’est pas une obligation légale, c’est habituellement l’usage. Mais ce point fait l’objet d’interprétations différentes de la part des patrons de RockWinds et d’Africa Sourcing, ce dernier estimant que la nature spéculative des contrats l’en dispense. Quarante membres de la FCC peuvent être désignés comme arbitres.
La première rencontre entre Loïc Folloroux et Matthew Stolz date de
2014, quand la seconde forme les équipes d’Africa Sourcing aux contrats d’exportation de la fédération. Entre les deux hommes, le courant passe bien. Juriste de formation, le fondateur de Rockwinds a fait l’essentiel de sa carrière au sein du négociant français Touton, où il a travaillé 20 ans, quand le négociant ivoirien était auparavant directeur Afrique du britannique Armajaro. Africa Sourcing est d’ailleurs née de la reprise d’une filiale de ce dernier.

Recalé par la FCC

En 2017, Loïc Folloroux, qui est un des principaux exportateurs ivoiriens (70 000 tonnes de fèves exportées par an) confie plusieurs millions d’euros à Matthew Stolz pour investir sur le marché à terme.
Cet argent, le patron d’Africa Sourcing veut le récupérer. En 2018, il porte d’abord l’affaire devant la Cour commerciale de Bordeaux où est domiciliée RockWinds. Mais celle-ci se déclare incompétente et renvoie le dossier vers la FCC, bien que cette dernière ne traite a priori que les litiges portant sur les échanges physiques, pas sur les opérations spéculatives.

À l’époque, Loïc Folloroux entretient déjà une relation compliquée avec la fédération qui refuse de l’inscrire parmi ses membres. En cause, d’après les documents que nous avons consultés, ses liens avec le président ivoirien, Alassane Ouattara, dont il est le beau-fils et qui tente depuis plusieurs années, dans le cadre d’une alliance avec le Ghana, de limiter le pouvoir des négociants internationaux dans ce secteur. La Côte d’Ivoire est en effet le premier producteur de fèves au monde.
Si le patron d’Africa Sourcing nourrit aujourd’hui quelque ressentiment contre le FCC, c’est aussi parce qu’il soupçonne Matthew Stolz d’avoir profité de soutiens au sein de la fédération pour se sortir d’affaire.
Notamment de la part d’Éric Bourgeois, trésorier de la FCC et chef du département cacao du négociant suisse Walter Matter, une connaissance de plus de 15 ans, qui a présidé le tribunal arbitral en appel.

Des liens avérés

La thèse a été largement développée devant la Haute cour de justice de Londres où Loïc Folloroux a mis en évidence les liens professionnels, qui préexistaient entre Matthew Stolz et Éric Bourgeois.
Les deux hommes ont ainsi travaillé ensemble en 2017 quand Rockwinds a vendu un stock de cacao à Walter Matter. Puis, en novembre 2018, en juin 2019 et en novembre 2019, Éric Bourgeois a participé à des dîners, organisés en petit comité, dans le cadre de la FCC où étaient présents Matthew Stolz ou Frédéric Coudray, son collaborateur à l’époque au sein de RockWinds.
Loïc Folloroux a aussi fait citer devant la Cour Kadoko Bamba, directeur de la commercialisation extérieure du Conseil café cacao ivoirien. Celui-ci a expliqué qu’il avait assisté à une réunion en septembre 2020 au cours de laquelle Matthew Stolz avait longuement exposé, en présence d’Éric Bourgeois, le différend qui l’oppose à Africa Sourcing.
Tous étaient alors réunis pour examiner la demande d’adhésion de la société de Loïc Folloroux à la FCC, alors que l’affaire était au même moment jugée à Bordeaux. Le fondateur de RockWinds avait indiqué à cette occasion, selon le responsable ivoirien du CCC, qu’Africa Sourcing devait assumer les conséquences d’avoir choisi de porter dans un premier temps l’affaire devant une autre juridiction que celle de la FCC. Il avait, en outre, attiré l’attention des participants sur les attaches politiques de Loïc Folloroux en Côte d’Ivoire et la nécessité de demander de clarifications sur l’actionnariat de ses sociétés. La décision de la fédération d’accepter ce dernier parmi ses membres avait été ensuite reporté à une date ultérieure. S’il n’a pas contesté ces déclarations, Matthew Stolz a assuré devant la Haute cour qu’elles n’avaient rien de menaçantes. Il a reçu sur ce point le soutien d’Éric Bourgeois, qui a précisé que les prises de parole du patron de RockWinds avaient été faites sans animosité et sur un ton neutre.

L’affaire portée au pénal

Dans son jugement, le magistrat anglais de la Haute Cour a estimé que les éléments présentés devant lui n’étaient pas de nature à remettre en cause la décision rendue en appel par la FCC. Il fait aussi reproche à Loïc Folloroux d’avoir attendu la décision du tribunal pour avoir cherché à savoir si Matthew Stolz avait pu influencer les décisions d’Éric Bourgeois, alors que le patron d’Africa Sourcing avait fait état de ses doutes sur l’impartialité d’une décision de la FCC.

Désormais, le patron ivoirien reporte ses espoirs vers la Cour pénale de
Bordeaux. Une source indique qu’une plainte y a été déposée en 2019. Il s’agira notamment d’étudier comment RockWinds a utilisé l’argent qui lui a été confié. D’après notre interlocuteur, les fonds auraient été dirigés vers des sociétés au Ghana et au Nigeria, très loin du marché à terme. Matthew Stolz indique à JA n’avoir aucune connaissance de cette procédure. Une partie du différend (portant sur près de 800 000 euros) étudié en appel par la FCC – mais par un autre tribunal arbitral que celui présidé par Éric Bourgeois – a été par ailleurs finalement renvoyée vers la Cour commerciale de Bordeaux, parce que la fédération s’est à son tour déclarée incompétente.

Sur les rives de la lagune Ebrié, Loïc Folloroux a reçu le soutien du groupement des négociants ivoiriens (GNI). Le 16 janvier, le GNI a écrit à la FCC pour demander, au regard de cette affaire, la radiation de
Matthew Stolz. Interrogé par JA, ce dernier assure que cette démarche est sans rapport avec la fin programmée, d’ici à quelques mois, de ses responsabilités au sein du comité des contrats et des règlements de la
fédération, qui intervient dans le cadre du renouvellement classique des instances de la FCC. Sa société demeure elle membre de la fédération, contrairement à Africa Sourcing.
Ayoko Mensah

Une délégation de la République démocratique du Congo (Rdc) a séjourné en terre ivoirienne, du 5 au 12 mars 2023. Conduite par MISENGA MILABYO Godefroid, Coordonnateur national du comité d’Orientation de la Réforme des Finances Publiques « COREF », cette délégation est venue s’imprégner de l’expérience du Trésor Public de Côte d’Ivoire en matière de gestion comptable et financière des opérations ainsi que de la trésorerie de l’Etat.
Le séjour d’études et d’information a débuté le lundi 06 mars 2023 par une séance inaugurale entre les parties, sous la présidence de M. ASSAHORE Konan Jacques, Directeur général du Trésor et de la comptabilité publique de Côte d’Ivoire, (Dgtcp).
Cette réunion, qui s’est tenue au 7ème étage de l’immeuble Sogefiha, sis au Plateau, aura permis, de présenter à la mission congolaise, des objectifs stratégiques et cibles sectorielles retenus au titre de l’activité de benchmarking et l’examen, en vue de son adoption par les acteurs, du chronogramme des différentes activités qui s’y rapportent.
Le choix du Trésor public de Côte d’Ivoire, selon les visiteurs, s ’est quelque sorte imposé à eux, au regard des nombreuses innovations et réformes qui ont transformé le visage de cette administration financière publique.
« Nous nous honorons du choix de notre pays pour la réalisation de votre mission ; toute chose qui traduit éloquemment les relations fraternelles qui existent entre nos deux Etats, mais qui nous offre surtout l’opportunité de partager des bonnes pratiques managériales et expériences techniques, en vue de la performance de nos administrations respectives », a indiqué d’entrée le Directeur Général, Jacques Konan ASSAHORE.
À la suite de la présentation des missions du Trésor Public, les Congolais ont également eu droit à une présentation du fonctionnement de cette administration, avec en prime, le système de management adopté par ses dirigeants successifs, qui lui ont valu des lauriers. Ces deux importantes présentations faites par la Direction des études, méthodes et organisation (Demo) ont été appuyées par un film institutionnel élaboré par la Direction de la communication et des relations publiques, résumant la marche du Trésor Public au cours des deux dernières décennies.
A l’issue de cette cérémonie ayant marqué le démarrage officiel des travaux, la délégation a eu des séances de travail dans les services et structures opérationnels afin de se faire une meilleure image du modèle ivoirien ainsi que de la stratégie susceptible d’être implémentés au Trésor public de la Rdc.
Les unités administratives ayant fait l’objet de visites d’échanges et de partage d’expériences sont l’Agence comptable centrale du trésor (Acct) ; l’Equipe-Projet Compte Unique du Trésor (Ep CUT); la Direction des établissements de crédits et des finances extérieures (DECFinEX) ; la Direction des systèmes d’information (Dsi) ; l’Agence Comptable centrale des dépôts (Accd) ; la Direction de la Dette Publique et des Dons (Ddpd) ; la Paierie générale de la dette publique (Pgdp) ; la Recette générale des finances (Rgf) et la Direction de la comptabilité publique (Dcp).
Il convient de retenir qu’au terme de sa visite de travail dans les services ci-avant mentionnés du Trésor Public ivoirien, le Chef de la mission congolaise a exprimé sa totale satisfaction quant à l’accueil chaleureux, marquée par la disponibilité et l’ouverture d’esprit, dont a bénéficié son équipe au cours de l’activité de Benchmarking.
Il s’est, par la même occasion, réjouis de la richesse et de la qualité des contenus développés lors des travaux, avant de féliciter le Top Management du Trésor Public ivoirien pour les acquis et résultats probants enregistrés au titre des gestions antérieures.
Les parties ont, par ailleurs, convenu de la mise à disposition de la documentation spécifique nécessaire devant servir de support de travail dans le cadre des travaux de réformes envisagés.

B.Mafoumgbé ( Source : Sercom)
Légende photo : Le Dg du Trésor public, Assahoré Konan Jacques et les membres de la délégation de la Rdc

À l’instar des femmes du monde entier, les femmes et agents du Trésor public de Côte d’Ivoire ont célébré la Journée Internationale des Droits de la Femme, le jeudi 9 mars 2023, sur l’esplanade de l’immeuble SOGEHIA à Abidjan- Plateau. Venues d’Abidjan et de l’intérieur du pays, elles ont ainsi répondu à l’invitation lancée par la Direction générale.
En Côte d’Ivoire, le Ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, traduisant la volonté du Gouvernement de traiter la problématique de l’inclusion sociale et économique sous l’angle de la dimension Genre, a orienté le thème mondial comme suit : « Innovations technologiques et digitales : leviers d’inclusion sociale et économique en Côte d’Ivoire ».
Le Directeur général a indiqué que le thème national cadre avec la dynamique amorcée depuis quelques années par le Trésor Public en faveur de la digitalisation des procédures et méthodes de travail. Au Trésor public, la politique Genre, qui vise à réduire les inégalités et à promouvoir la mixité entre hommes et femmes, plus spécifiquement dans les instances de direction, mérite une attention particulière de la Direction générale.
« D’une manière générale, j’ai inscrit la promotion du Genre au cœur de ma politique managériale, sous l’angle de l’amélioration du bien-être social prise en compte dans notre Plan Stratégique de Développement (PSD) 2016-2020 du Trésor Public et réaffirmé à travers l’objectif 2 de l’axe stratégique 5 du PSD 2021-2025 », a rappelé ASSAHORE.
Il en veut pour preuve, la composition de l’équipe-projet TrésorPay-TrésorMoney. Cette équipe est conduite par une femme, en la personne de Madame NOEL Emile, Receveur Général des Finances et sous la supervision d’une autre femme, Madame le Conseiller Technique AHOUA. Celles-ci ont, témoigne le Directeur Général, produit des résultats fort satisfaisants dans le déploiement de ce dispositif d’intérêt national.
Auparavant, la Secrétaire Exécutive de la Cellule Genre du Trésor Public et par ailleurs Présidente du comité d’organisation, Mme GBANÉ Absatou a, au nom des femmes du Trésor Public de Côte d’Ivoire, qui représentent aujourd’hui 33% des effectifs de l’Institution, traduit sa gratitude à M. ASSAHORÉ Konan Jacques, Directeur Général du Trésor et de la Comptabilité Publique, pour la place de choix qu’il accorde à la gente féminine dans son système managérial.
Poursuivant, la Secrétaire Exécutive de la Cellule Genre du Trésor Public a révélé que les femmes occupent dans cette Administration environ 49% des postes de responsabilité que sont les postes de Directeurs, Sous-Directeurs, Fondées de Pouvoirs et autres Chefs de service. Malgré ce tableau somme toute reluisant, GBANÉ Absatou a exhorté les femmes du Trésor public à travailler davantage pour mériter plus de postes de responsabilité.
Bamba M. ( Source : Sercom)
Légende photo : Le Dg Assahoré Konan Jacques et les femmes du Trésor public

 

 

 

 

L’unité de coordination du Projet de cohésion sociale des régions Nord du Golfe de guinée (Coso) organise depuis ce mercredi 15 et ce jusqu’au 16 mars 2023, à l'hôtel Olympe, à Korhogo, un atelier avec les radios de proximité.
L’un des maillons essentiels pour l’atteinte des objectifs réside dans la pertinence des dispositifs de communication mis en place pour faciliter la mise en œuvre et l’appropriation du projet par les parties prenantes.
Dans le cadre de la stratégie de communication, l’Unité de coordination du projet Coso (Ucp) envisage un partenariat avec l’Union des Radios de Proximité de Côte d’Ivoire (Urpci). Compte tenu du fait que les radios communautaires, en leur qualité de relais d’information, constituent un levier important pour l’information et la sensibilisation des communautés locales, ce qui est un des déterminants du renforcement des capacités à la base pour amener les bénéficiaires du projet.

Dans le cadre du Coso, la sensibilisation sera axée sur les thématiques portées par le Coso et le soutien à la mobilisation communautaire.
Aussi, conformément à sa démarche d’intervention axée sur la consultation et la concertation avec les acteurs locaux, l’Unité de Coordination du projet Coso initie un atelier avec les radios communautaires, afin de faciliter l’appropriation des éléments de langage pour une mise en œuvre efficiente des activités inclus dans la convention en préparation entre l’Uc-Coso et l’Union des radios de proximité de Côte d’Ivoire (Uprci).
Cet atelier a pour objectif global de créer les conditions d’une mise en œuvre efficiente de la convention prévue avec les radios de proximité. De façon spécifique, il s’agira au cours de cet atelier de présenter le projet Coso dans ses composantes, localités ciblées, stratégie de ciblage investissements prévus et faire l’état d’avancement du projet. Aussi, il s’agira de partager avec les radios la démarche d’intervention du Coso au sein des communautés bénéficiaires (Dcc) y compris le processus d’identification et de sélections des sous projets. Cet atelier s'inscrit dans le cadre de la préparation d'une convention entre l'Uc-Coso et l’Union des radios de proximité de Côte d’Ivoire (Urpci) relative à la mise en œuvre de programmes radio d'information et de sensibilisation. A l’ouverture des travaux, Juste avant, M. Alfred Batto, coordonnateur adjoint du projet Coso, a annoncé la signature d’une convention entre le projet Coso et l’Union des radios de proximité de Côte d’Ivoire. « 2023 sera une année dense en activités à travers un partenariat participatif, sur la thématique de la cohésion sociale dans les régions ciblées par le projet. Avec une forte implication des animateurs des radios locales (…)», a dit M. Batto. Pour sa part, M. Eric Gohou, le président du Conseil exécutif de l’Urpci a dit toute la disponibilité des membres de sa structure à non seulement jouer leur partition mais aussi, à exécuter comme il se doit le cahier des charges qui va sortir des assises de Korhogo.

Au nom du gouvernement ivoirien, M. André Epkonon Assoumou, préfet de la Région du Poro et préfet du département de Korhogo, a salué les initiateurs de cet atelier de formation des acteurs de radios de proximité dont le rôle clé n’est plus à démontrer dans la consolidation des acquis de la cohésion sociale dans nos régions. « Cet atelier est d’une grande portée pour la visibilité du projet Coso qui a été lancé le 04 Novembre 2022 ici même à Korhogo, par le Premier ministre Patrick Achi. Ce qui montre tout l’intérêt que le Président de la République, Alassane Ouattara et le gouvernement ivoirien attachent à la cohésion sociale qui fait partie intégrante de son programme social. », a dit le préfet de la Région du Poro. Il n’a pas manqué de saluer la Banque mondiale qui a beaucoup contribué à l’atténuation de la fragilité sociale dans les régions des pays impactés par le Coso. Il a aussi félicité le Dr Adama Coulibaly, Dg du Conseil Coton et anacarde ; structure à laquelle, le gouvernement ivoirien a confié la mise en œuvre du Coso sur le terrain dans les régions ciblées par ledit projet en Côte d’Ivoire. Par ailleurs, du fait de l’importance stratégique des radios de proximité dans la diffusion et la transmission des actions de cohésion sociale, le préfet André Epkonon Assoumou a invité les participants à plus d’assiduité et de partager des expériences entre eux. Le projet Coso dans sa démarche d'approche participative a décidé d'impliquer les radios de proximités acteurs de développement local dans la préparation des activités qui vont être mis en œuvre dans le cadre de la convention dont nous parlions plus haut. Ce sont 34 radios réparties sur l'ensemble des 10 régions ; c’est à dire Bagoué, Poro, tchologo, Bounkani, Gontougo, le Béré, Folon, Bafing, Worodougou et Kabadougou qui participent à ces travaux.
A noter que projet de cohésion sociale des régions nord du golfe de guinée (Coso ), a un coût  de   87 milliards de francs Fca. Il vise à financer des infrastructures publiques au niveau communautaire dans des villages et groupes de villages vulnérables situés dans les zones frontalières, et ce, afin de prévenir les risques régionaux de fragilité-conflit-violence (Fcv).
Bamba Mafoumgbé(  avec sercom)

 

Les services de la Société de développement d’exploitation, aéroportuaires, aéronautiques et météorologique(Sodexam),vient de publier des prévisions climatiques sur la première saison des pluies.
Selon cette note, « Les prévisions climatiques de la première saison des pluies pour la période allant de Mars à Juin 2023 indiquent avec 45% de chance que les cumuls saisonniers soient excédentaires à normaux avec des quantités de pluie supérieures à 250 millimètres dans le Nord de la Côte d’Ivoire par rapport à la moyenne saisonnière des 30 ans de 1991-2020 (213 à 350 mm). »
Au centre ivoirien, ajoute la source, il est très probable avec 45% de chance que les cumuls pluviométriques soient normaux à excédentaires par rapport à la moyenne saisonnière des 30 ans de 1991-2020. L’on pourrait s’attendre à des cumuls pluviométriques saisonniers compris entre 335 et 450 millimètres.
Sur le littoral ivoirien, les prévisions climatiques de la première saison des pluies pour la période allant de Mars à Juin 2023 indiquent avec 45% de chance des cumuls saisonniers normaux à excédentaires par rapport à la moyenne saisonnière des 30 ans de 1991-2020, avec des quantités de pluie comprises entre 417 et 865 millimètres. Les services de la Sodexam font état d’un risque de sècheresse.

Face au risque de sécheresse, la météo prévient…
Les situations des cumuls pluviométriques globalement moyens, des dates de début de saison moyennes à tardives, des dates de fin de saison moyennes à précoces laissent planer des risques de déficits hydriques dans les zones concernées. Ces situations de sècheresse pourraient entraver la croissance des plantes et favoriser le développement d’insectes ravageurs des cultures. Face à cette situation, il est recommandé de diversifier les pratiques agricoles à travers la promotion de l’irrigation et du maraichage pour réduire le risque de baisse de production d’une part, et adopter des techniques culturales de conservation des sols et de l'eau. Sans oublier de favoriser les espèces et variétés de cultures les plus tolérantes au déficit hydrique et le renforcement.
En plus de ces conseils, la direction de la météorologie nationale de la Sodexam recommande renforcer la vigilance contre les ravageurs des cultures comme la chenille légionnaire et autres insectes nuisibles. Cette source préconise également d’interagir avec les techniciens de la météorologie nationale, de l'agriculture et de l’Hydrologie pour des informations spécifiques et des conseils agro-hydrométéorologiques sur les conduites à tenir.
Face au risque d’inondation, ce qu’il faut faire.
En dépit du caractère globalement moyen des cumuls pluviométriques attendus dans les parties sud des pays du Golfe de Guinée, il n’est pas exclu d’observer des événements de fortes pluies pouvant entrainer des inondations localisées. A cet effet, il est recommandé de : maintenir la garde et de suivre les mises à jour de ces prévisions saisonnières et les prévisions de courtes et moyennes échéances que produisent et diffusent les services nationaux de météorologique et d’hydrologie. Le renforcement de la veille et les capacités d’intervention des agences en charge du suivi des inondations, de la réduction des risques de catastrophes et des aides humanitaires d’une part, et le renforcement de la communication de l’information hydro-climatique d’autre part.
La sensibilisation des communautés à travers les plateformes de réduction des risques de catastrophes doit être de mise. Aussi, la direction de la météorologie nationale fait également des recommandations pour mieux valoriser la saison des pluies.
« Au regard du caractère globalement normal de la grande saison des pluies dans les parties Sud des pays du Golfe de Guinée en 2023, il est recommandé aux organisations agricoles, autorités, gestionnaires des ressources en eau, Projets et Ong, d’appuyer les producteurs, y compris les femmes et les jeunes, à mieux tirer profit de la saison des pluies. Ce en soutenant le déploiement de techniques climato-intelligentes d’augmentation des rendements des cultures face aux facteurs de risques climatiques comme les sécheresses, les inondations et la pullulation de nuisibles des cultures entre autres.
La source termine en invitant au renforcement de la diffusion et la communication de l’information hydro-climatique et à la sensibilisation des communautés à travers les radios, les télévisions, la téléphonie mobile et les plateformes d’information pour la réduction des risques de catastrophes. En claire, il ne s’agit là que de prévision et la donne peut changer, compte ténue des changements climatiques et ses effets co-latéraux.
Bamba Mafoumgbé, Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Dans le cadre de la Journée internationale de la femme, l’amicale des femmes de Bolloré Africa Logistics a fait don, le 08 mars 2023, de matériel médical de première nécessité, composé de tensiomètres électroniques, de ballons insufflateurs, de plateaux de soins moyens et de boites de petite chirurgie, au centre de santé communautaire de la commune de Port-Bouët, dans la ville d’Abidjan.
Ce don réalisé chaque année à cette même occasion, vise à apporter la contribution des femmes de l’entreprise, à la santé des populations des différentes communes de la Côte d’Ivoire. « Ces équipements médicaux visent à améliorer les conditions de prise en charge des malades, admis au sein de nos centres de santé communautaires. A travers cette approche de proximité, notre ambition est d’être présents aux côtés des populations de nos différentes communes, et d’agir pour leur épanouissement », a déclaré Martine Coffi-Studer, Présidente du Conseil d’Administration de Bolloré Transport & Logistics Côte d’Ivoire.Cet élan de solidarité vient réaffirmer l’engagement des femmes de Bolloré Africa Logistics exerçant au sein des filiales ivoiriennes, en faveur de la santé et du bien-être des populations.
Outre le don de matériel médical, la célébration de la journée internationale de ces femmes, a été marquée par l’organisation d’une conférence sur le digital, en cohérence avec le thème de cette édition : « pour un monde digital inclusif : innovation et technologies pour l’égalité des sexes ».
À noter que Bolloré Transport & Logistics Côte d’Ivoire est présent en Côte d’Ivoire dans le transport, la logistique et la manutention portuaire.
Bamba M.

L’Autorité de régulation des télécommunications/Tic de Côte d’Ivoire (Artci) et l’Autorité Nationale des Communications du Ghana (National Communications Authority - Nca) ont tenu du 20 au 22 février 2023, à la Nca Tower à Accra, une réunion sur l’implémentation du roaming Cédéao entre la Côte d’Ivoire et le Ghana. Rapportent les services de cette instance de régulation.
La délégation ivoirienne était composée de Messieurs Guy-Michel KOUAKOU (Directeur de l’Economie, des Marchés et de la Prospective), Lanciné FOFANA (Chef de Département observatoire et marchés), Kevin YAO (Chef de service veille technologique et normalisation) de l’ARTCI et des représentants des différents opérateurs Moov Africa, MTN Côte d’Ivoire et Orange Côte d’Ivoire.
Pour rappel, la Côte d’Ivoire, au cours de la 16ème réunion des Ministres en charge des TIC de la CEDEAO, tenue du 1er au 4 octobre 2019, à Ouagadougou, a été désignée par ses pairs comme « CHAMPION » pour la mise en œuvre intégrale du Règlement n° C/REG.21/12/17 relatif à l'itinérance sur les réseaux publics de communications mobiles dans l’espace communautaire.
Ainsi, assistée par les Régulateurs de la Guinée et du Ghana, en collaboration avec la commission de la Cédéao et la participation de l’Artao, l’Artci coordonne depuis 2020 les travaux de mise en œuvre dudit Règlement.
Cependant, avec la persistance de certaines difficultés, notamment l’absence de liens directs entre opérateurs, le niveau élevé des tarifs de terminaison d’appel pour la mise en œuvre de la gratuité de la réception d’appel en roaming, la fraude, la mise en œuvre du roaming sous-régionale n’a pu être réalisée que partiellement.
C’est dans ce contexte, que l’Artci a effectué cette visite de travail au Ghana à l’effet de discuter et de lever les problèmes spécifiques identifiées entre la Côte d’Ivoire et le Ghana, qui freinent la mise en œuvre complète du Règlement communautaire sur le roaming, par les opérateurs de téléphonie mobile dans les deux pays.

La rencontre s’est soldée par la signature d’un protocole d’accord entre les parties ivoirienne et ghanéenne dans lequel, les deux pays se sont engagés à la résolution des difficultés identifiées. Ledit protocole entérine également l’ouverture des services roaming communautaire, conformément aux exigences du règlement communautaire, pour le 28 avril 2023, suivie d’une cérémonie de lancement officiel à Abidjan, en présence des deux Régulateurs et leurs opérateurs respectifs, des Ministères en charge des Télécommunications/Tic, de la Cédéao et de l’Artao.

En outre, en vue d’assurer la mise en œuvre effective de toutes les diligences nécessaires à la tenue de cette échéance importante, un comité conjoint de suivi, composé des représentants des deux régulateurs et des opérateurs des deux pays a été mis en place.

L’Artci dans son rôle de coordonnateur pour la mise en œuvre du roaming communautaire, met tout en œuvre pour assurer le succès de cette initiative régionale; Cette dynamique nouvelle initiée par l’Artci, sera étendue à chacun des pays de la Cédéao pour coordonner et finaliser l’implémentation du Règlement dans l’ensemble des quinze Etats membres. Toute chose qui rendra plus abordables, à moyen terme, les communications VOIX, SMS et DATA pour l’ensemble des utilisateurs de services de télécommunications en déplacement dans l’espace Cédéao.
Bamba Mafoumgbé( source : sercom)
Légende photo : Une de la délégation des membres des autorités de régulation des télécoms

 

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