Prix garanti bord champ (campagne 2023-2024): Cacao 1000 Fcfa/Kg;  Café  900 Fcfa/Kg

samedi 4 mai 2024
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Finances Publiques
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Une centrale solaire photovoltaïque de 52 mégawatts sera construite à Sokhoro, dans le département de Ferkessédougou, à compter du deuxième trimestre 2024 pour une mise en service prévue au troisième trimestre 2025. Rapportent des sources officielles ivoiriennes. Ce projet d'un coût de 39,5 milliards de Fcfa et entièrement financé par Ferké Solar, filiale du groupe Pfo Africa, a fait l’objet d’une signature de convention, le mercredi 24 janvier 2024 à Abidjan-Plateau, entre le gouvernement ivoirien représenté par le ministre des Mines, du Pétrole et de l'Énergie, Mamadou Sangafowa Coulibaly, et le groupe Pfo Africa représenté par son administrateur, Clyde Fakhoury. « C’est un projet qui contribuera à la création de 150 emplois directs pendant la phase de construction et générera 15 emplois directs permanents en phase d'exploitation », a indiqué Mamadou Sangafowa Coulibaly.
Le ministre a également annoncé d'autres signatures de contrats en cours d’instruction pour la réalisation d'autres centrales solaires d'une capacité cumulée de 600 mégawatts et dont les mises en service se situeront entre 2025 et 2026. Ces projets seront détenus pour la plupart par des nationaux, a-t-il précisé. D’où son appel aux acteurs nationaux désireux d’investir dans ce secteur à le faire car l’objectif du Président de la République est d’y avoir des champions nationaux.

Le ministre est revenu sur la capacité actuelle installée de la Côte d’Ivoire qui est de 2907 mégawatts. Elle va passer à 3 500 mégawatts en 2025, à 5 200 mégawatts en 2030 et à 8 600 mégawatts en 2040, a-t-il annoncé.
Il a souligné que la Côte d’Ivoire, hub énergétique au niveau la région ouest-africaine, a prévu un plan qui met l’accent sur l’intégration plus accrue de l’énergie renouvelable dans le mix énergétique, afin de respecter les engagements climatiques nationaux pris lors de la Cop 26, à savoir inverser quasiment la tendance actuelle où nous avons 70% d’énergie conventionnelle contre 30% d’énergie renouvelable : « Nous avons , pour l’horizon 2030, pris l’engagement de passer à 45% d’énergie renouvelable et à 55% d’énergie conventionnelle ».

Il a rappelé que la première centrale solaire ivoirienne située à Boundiali, d’une capacité de 37,5 mégawatts, a été mise en service en juin 2023. Mamadou Sangafowa Coulibaly a annoncé que « cette centrale verra sa capacité s’étendre à 80 mégawatts et le financement est déjà approuvé en Conseil des ministres ».
Clyde Fakhoury, pour sa part, s’est engagé pour le respect des délais de début et de fin des travaux.
Bamba M.

Il est peu moins de 22 heures ce mercredi quand l’arbitre siffle la fin de l’opposition Maroc contre la Zambie, au Stade Laurent Pokou de San Pedro, ce mercredi 24 Janvier 2024. Un match remporté par les Lions de l’Atlas par le score de 1 à Zéro. Un résultat qui fait l’affaire des Eléphants de Côte d’Ivoire qui termine parmi les meilleures troisièmes et donc se qualifie en 8e de finale.
Il n’en fallait pas plus pourque le vacarme de Vuvuzelas reprenne dans les rues et recoins d’Abidjan. Sans oublier les explosions de pétards, des coups de Klaxon et de feux d’artifice. On se croirait un peu avant minuit un 31 Décembre. Et pourtant aux environs de 17 heures, c’était un calme plat dans les points chauds du sous quartier Dokoui. L’ambiance des bars et maquis est subitement montée d’un cran. « Merci au Maroc qui a fait le job et nous voilà ressuscités ! », chantaient des bandes joyeuses avec leurs Vuvuzelas en mains. Passée cette étape de repêchage, les Eléphants vont croiser le fer avec les Lions de la Téranga.
Ayoko Mensah

Le technicien français Jean-Louis Gasset n’est plus l’entraineur des Eléphants. Il a démissionné le soir même de la défaite des Côte d’Ivoire face à la Guinée-Equatoriale, le lundi 22 janvier 2023. C’était en match comptant pour la 3è journée de la Can 2023. L’information est rapportée par fratmat.info
Selon le confrère, il a remis sa démission au président de la Fédération ivoirien de football (Fif), Yacine Idriss Diallo. Notre source souligne que l’intérim sera assuré par son adjoint, Fae Emerse, jusqu’à la fin de la Can. Il faut rappeler que la Côte d’Ivoire a été humiliée suite une lourde défaite qu’elle a enregistré le lundi avec un score de (0-4), au stade Olympique Alassane Ouattara d’Ebimpé à Anyama.
Bamba M.

Le comité des chargeurs de Daloa a organisé mardi 23 janvier 2024, à la préfecture de la ville, une assemblée générale sous l’impulsion de la direction générale de l’Office ivoirien des chargeurs (Oic), décidée à dynamiser cette plateforme régionale d’échanges, de concertation et de réflexion. Rapporte le correspondant local de l’Aip
« Depuis l’installation officiel du comité en juin 2019, nombre de difficultés n’ont pas permis qu’il fonctionne pleinement. Pour ce fait, nous avons décidé, pour 2024, de relancer ses activités avec la tenue de cette assemblée générale », a indiqué la directrice de l’assistance aux chargeurs, Roland Nelly Christiane, qui représentait sa hiérarchie.
Selon le confrère, présidium du comité et les structures membres qui la composent ont été présentés à l’occasion de cette assemblée générale. Un projet de statuts et de règlement intérieur à adapter aux réalités locales leur a été remis.

Pour Mme Roland, la tenue de cette assemblée générale de Daloa, quelques temps après la nomination d’un nouveau chef d’antenne en la personne de Kouadio Jean-Jacques, redonne de l’espoir quant à une nouvelle dynamique au comité local. L’existence et le bon fonctionnement d’un comité des chargeurs à Daloa est d’un enjeu stratégique au regard de ses caractéristiques. La ville est, en effet, la 3ème plus peuplée du pays et un important centre commercial, a-t-elle poursuivi, assurant les opérateurs économiques de la présence de l’Oic à leurs côtés pour le développement de leurs activités et la facilitation de leurs opérations.
Créé en application des recommandations de la deuxième conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement tenue à New Delhi en 1968, l’Oic représente et défend les intérêts des acteurs de la chaîne du transport dans le cadre de l’acheminement de leurs marchandises, en contribuant à l’amélioration de l’environnement du commerce. Il se compose d’importateurs, d’exportateurs, de commerçants, de transporteurs, de coopératives agricoles, de l’administration et d’organisations socioprofessionnelles.
Ayoko Mensah (Source : Aip)

 

La Côte d’Ivoire a levé un montant de 2,6 milliards de dollars, soit environ 1500 milliards de Fcfa à travers deux obligations de maturités respectives de neuf et treize ans, au terme d’échanges avec plus de 120 investisseurs, lors de la journée de marketing de l’opération sur les marchés obligataires internationaux pour le continent africain, le lundi 22 janvier 2024. L’information est rendue publique dans un communiqué émanant du ministère des Finances et du Budget, en date du 23 janvier 2024 à Abidjan.
Selon ledit communiqué, les deux nouvelles obligations de la Côte d’Ivoire affichent des taux d’intérêt respectifs de 6,30% et 6,85% au terme de l’exécution, simultanément à l’émission obligataire d’une opération de couverture de change Dollar-Euro portant sur la totalité du montant émis, soit un taux d’intérêt moyen de 6,61%. L’exécution simultanée de ces deux opérations est une première pour un pays d’Afrique sub-saharienne.
Les fonds de l’opération seront très majoritairement affectés au rachat, ainsi qu’au refinancement d’Eurobonds existants de la Côte d’Ivoire et de prêts bancaires internationaux. Mais à quoi va servir ce gros prêt qui va alourdir le poids de la dette ivoirienne qu’il faudra rembourser à bonne date avec le taux moyen de 6,61%. ? Mais à rembourser sur combien d’années ?
Des sources expertes nous indiquent que « les 1500 milliards de Fcfa vont servir à faire bouger les chantiers du métro d’Abidjan, l’extension de l’aéroport international Fhb d’Abidjan- Port Bouet et bien d’autres investissements lourds au niveau des infrastructures routières très attendues à partir de 2025 et qui connaissent de grands retards dans la mise en œuvre »
Aussi, sauf changement de dernière minute, le Chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara, selon Africa Intelligence, est attendu à Paris ce 25 Janvier 2024. « Le chef de l'État ivoirien doit s'envoler pour la France le 25 janvier. S'il a prévu de passer quelques jours dans sa résidence de Mougins, dans les Alpes-Maritimes, Alassane Ouattara doit également s'entretenir avec le président français à l'Élysée. », annonce le confrère.
Bénéficiant d’un engagement de plus de 400 investisseurs, explique le communiqué, cette opération de taille record a permis d’atteindre un livre d’ordres de plus de 8 milliards de dollars, soit près de 4600 milliards de Fcfa représentant le niveau d’ordres le plus important jamais enregistré par un souverain en Afrique de l’Ouest. Cette transaction a fait l'objet d'une mobilisation historique des principaux investisseurs mondiaux, aussi bien des détenteurs actuels d'obligations de la Côte d'Ivoire que de nouveaux investisseurs de référence.
Une opération de cette envergure renforce également le positionnement de la Côte d’Ivoire sur le marché de la finance durable. Cette émission Esg inaugurale s’appuie sur le Document-Cadre Esg publié par le pays en juillet 2021 et mis à jour en septembre 2023, ainsi que sur les partenariats d’assistance technique mis en place avec le Programme des Nations Unies pour le Développement (Pnud) et le Global Center on Adaptation (Gca), visant à renforcer le dispositif national de sélection et de reporting des projets Esg.
À travers la gestion proactive de sa dette publique, la Côte d’Ivoire redonne des marges de manœuvre et une liquidité à l’ensemble de la région. La confiance accordée par les investisseurs au pays dans un climat international marqué par une forte volatilité, témoigne des excellentes perspectives macroéconomiques du pays, portées par une dynamique de croissance forte, durable et inclusive, dans un climat politique pacifié.
Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

La Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) a présenté le bilan 2023 de ses activités et ses perspectives pour 2024, ce mardi23 janvier 2024, à son siège à Abidjan.
A cette occasion, Dr Edoh Kossi AMENOUNVE, Directeur Général de l’Institution, a relevé que malgré un contexte macroéconomique caractérisé par une reprise lente et inégale suivant les différentes régions du monde, sous l’effet des chocs exogènes et endogènes, les Bourses ont connu une année 2023 globalement positive grâce à une conjugaison de plusieurs facteurs : les initiatives des Autorités politiques et monétaires en vue d’éloigner le spectre d’une récession économique, la bonne tenue du commerce international, la résilience des entreprises, l’optimisme des investisseurs, la relative amélioration du moral des ménages en lien avec la tendance baissière de la poussée inflationniste, etc.
La BRVM n’a pas dérogé à cette tendance positive en affichant une bonne performance avec ses principaux indices orientés à la hausse. Au 31 décembre 2023, la BRVM c’est :
▪ Une progression de 7,85 % pour l’indice BRVM 30 ;
▪ Une progression de 1,47 % pour l’indice BRVM Prestige ;
▪ Une progression de 5,38 % pour l’indice BRVM Composite ;
▪ Une capitalisation boursière du marché des actions portée à 7 966,95 milliards de FCFA
(+5,38 %) avec 46 sociétés cotées ;
▪ Une capitalisation du marché obligataire portée à 10 302,27 milliards de (+15,41 %) avec l’admission de 27 lignes obligataires pour un montant de 2 680,19 milliards de FCFA.
La BRVM a franchi le cap des 8 000 milliards de FCFA de capitalisation de son marché actions, le 12 septembre 2023 et s’est hissée à la 5ème place des bourses africaines, le 20 septembre 2023.
Outre ces indicateurs, la BRVM a poursuivi en 2023, la mise en œuvre de ses différentes actions stratégiques, notamment l’organisation de la 4 ème édition des BRVM Awards, célébration de l’excellence sur le Marché Financier régional de l’UEMOA ; la signature d’un MoU entre la BRVM et la Bourse du Luxembourg pour le développement de la finance durable, etc.
Plusieurs avancées ont également été notées dans la conduite des projets de création de la Bourse des Matières Premières Agricoles de Côte d’Ivoire et d’un marché de produits dérivés à la BRVM. Face à cette évolution satisfaisante, Dr AMENOUNVE a indiqué que l’année 2024 est pleine de challenges pour la BRVM en raison de la poursuite de ses efforts pour l’accroissement du nombre de sociétés cotées notamment l’admission des PME, une meilleure intervention des investisseurs institutionnels, le développement de la culture boursière des populations, l’essor de la finance durable et de la finance islamique, l’ouverture de nouveaux marchés, l’accélération de l’intégration des bourses africaines et une plus forte implémentation de la technologie dans ses activités pour plus de célérité et de sécurité des transactions.
Pour rappel, la BRVM est la Bourse commune aux huit pays membres de l’UEMOA que sont le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée-Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal et la TOGO. Elle aété portée sur les fonts baptismaux le 18 décembre 1996.
Service Communication et Marketing

Les groupements, associations et organisations professionnelles et les membres du personnel de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci) ont échangé ce mardi 23 Janvier 2023, à la Maison de l’Entreprise, des vœux de nouvel an avec le président Ahmed Cissé. A cette occasion, Mme Christine Logbo-Kossi, Directrice générale du Groupement des professionnels des miniers de Côte d’Ivoire ( Gmpci) et Porte-parole des membres de la Cgeci a souhaité que le début de l’année 2024 soit pour les Adhérents de la Cgeci, le moment de faire le bilan de l’année écoulée et surtout de prendre de nouvelles résolutions pour une meilleure optimisation de leurs actions patronales.
Elle a souhaité également que sous le leadership inspirant du président de la Cgeci, l’Organisation continue de créer les conditions pour le développement du business sur les marchés locaux, dans l’espace communautaire et au-delà des frontières du continent. Mme Christine Logbo- Kossi a dit son espoir que le patronat ivoirien continuera à être un catalyseur de croissance et d'opportunités pour le Secteur privé ivoirien, tout en formulant le vœu que les Champions nationaux deviennent une réalité.
Mme Logbo-Kossi a réaffirmé l’engagement des membres auprès de la Cgeci pour relever ensemble les défis du Secteur privé ivoirien.
Poursuivant son intervention, Mme Logbo-Kossi a formé le vœu que les cadres de dialogue public-privé se renforcent qualitativement pour une meilleure prise en compte des préoccupations du Secteur privé.
A sa suite, Dr Mikou N’guessan, au nom du personnel, a également formé à l’endroit du Président Ahmed Cissé des vœux chaleureux de nouvel an et sollicité son appui dans la mise en œuvre des initiatives portées par les agents de la Cgeci. Il a également exprimé l’engagement du personnel pour la réussite de la mission du président Ahmed Cissé et de son programme d’actions en faveur du développement des entreprises.
En retour des vœux qui lui ont été adressés, Ahmed Cissé a souhaité à l’endroit des membres une année agréable et positive pour leurs affaires, tout en les remerciant pour leur engagement fort qui a permis au Patronat ivoirien de répondre, à bien des égards, aux attentes de ses membres, malgré un environnement économique mondial difficile. Quant au personnel, le Président de la Cgeci leur a également souhaité ses meilleurs vœux, et traduit ses encouragements en les invitant à aller plus loin dans leur engagement. Aussi, a-t-il promis apporter tous les moyens nécessaires à ses collaborateurs pour parvenir à une performance plus accrue de l’Organisation patronale qu’il dirige depuis décembre 2022.Notons que la cérémonie de présentation de vœux a eu lieu en présence de plusieurs administrateurs de la Cgeci.
Bamba Mafoumgbé

Depuis le Sommet des dirigeants États-Unis-Afrique en décembre 2022, le président Biden a lancé une année extraordinaire d’engagement américain en Afrique et a progressé dans la réalisation de nos engagements de haut niveau annoncés lors du sommet. L’administration Biden-Harris dépasse son engagement d’investir 55 milliards de dollars en Afrique sur trois ans. Au cours de l’année dernière, les États-Unis ont accueilli l’Union africaine en tant que membre permanent du G20, élargi leurs partenariats commerciaux et d’investissement, avancé d’importants investissements dans la sécurité alimentaire et sanitaire et lancé une initiative de transformation numérique, forgé une nouvelle coopération en matière de sécurité et de bonne gouvernance, et catalysé un engagement historique de la diaspora. Alors que la Maison Blanche commémore le premier anniversaire du Sommet des dirigeants États-Unis-Afrique de 2022, les États-Unis restent à fond sur l’Afrique.
Engagements de haut niveau
En 2023, les États-Unis ont accéléré les échanges de haut niveau, entraînant un rythme de visites sans précédent sur le continent. Au cours de l'année dernière, 17 cabinets et dirigeants de départements et d'agences du gouvernement américain se sont rendus dans 26 pays d'Afrique, avec des visites centrées sur l'expansion de partenariats substantiels et significatifs avec les pays, les institutions et les peuples africains à travers le continent, y compris une visite au Ghana et en Tanzanie. , et en Zambie par la vice-présidente Harris, où elle a annoncé la mobilisation de plus de 8 milliards de dollars d'investissements des secteurs public et privé dans le climat et la sécurité alimentaire, l'autonomisation des femmes et l'inclusion numérique à travers l'Afrique.
Commerce et investissement
Au cours de l’année écoulée, les États-Unis ont soutenu et aidé à conclure 547 nouveaux accords pour une valeur totale estimée à 14,2 milliards de dollars de nouveaux échanges commerciaux et d’investissements bilatéraux entre les États-Unis et les pays africains. Cela représente une augmentation d’environ 60 % du nombre et de la valeur des transactions conclues par rapport à 2022. Les résultats de ces investissements accrus ont des impacts tangibles sur la vie et les moyens de subsistance des populations aux États-Unis et en Afrique, avec notamment :
En 2023, la Société financière de développement international (DFC) a engagé plus de 2 milliards de dollars dans 46 transactions en Afrique. Ces projets ont des impacts significatifs sur le développement à travers le continent, notamment en soutenant les infrastructures stratégiques, la création d’emplois, la croissance des petites entreprises, la productivité agricole, l’amélioration des résultats en matière de santé et le libre accès aux minéraux essentiels.
En 2023, l'Agence américaine pour le commerce et le développement (USTDA) a financé quinze subventions pour la préparation de projets conçues pour aider à mobiliser plus de 3,4 milliards de dollars de financement d'infrastructures pour des projets à travers le continent.
En 2023, le Département américain du Commerce, parallèlement au lancement de sa stratégie d'engagement en Afrique à l'échelle du département, visant à tirer parti de l'ensemble des capacités de l'agence, a facilité près de 3,6 milliards de dollars d'exportations américaines vers l'Afrique et s'est engagé à favoriser des partenariats commerciaux à long terme. en mettant l’accent sur des secteurs prioritaires tels que la numérisation, les technologies propres, les industries créatives, l’agriculture intelligente face au climat et les infrastructures – qui stimulent tous une croissance inclusive, la résilience de la chaîne d’approvisionnement et des emplois de qualité des deux côtés de l’Atlantique. Le Département américain du Commerce a également lancé de nouveaux dialogues commerciaux bilatéraux avec la Tanzanie et la Zambie, renouvelé plusieurs engagements existants avec d'autres pays, mené plusieurs missions commerciales et ouvre de nouveaux bureaux du Service du commerce extérieur en Côte d'Ivoire et en Zambie.
En mars, Prosper Africa a mobilisé 274 millions de dollars de financement à long terme pour le secteur du logement en pleine croissance en Afrique de l'Ouest, ouvrant ainsi de nouvelles opportunités d'investissement américain dans les marchés émergents d'Afrique et offrant aux Africains de l'Ouest un meilleur accès à l'accession à la propriété. Cet accord représente une approche innovante pour mobiliser à grande échelle un financement transparent et axé sur le marché et devrait aider environ 6 000 ménages en Afrique de l’Ouest à accéder à l’accession à la propriété.
En avril, le Conseil consultatif présidentiel pour faire des affaires en Afrique (PAC-DBIA) a adopté 18 nouvelles recommandations à l'intention du gouvernement américain afin de renforcer la collaboration commerciale entre les États-Unis et l'Afrique dans les secteurs prioritaires.
Le président Biden a annoncé la sélection par le Conseil d’administration du MCC de quatre pays éligibles à l’investissement du MCC – la Gambie, le Togo, le Sénégal et la Mauritanie – qui font progresser le développement de programmes visant à lever les principales contraintes à la croissance économique. En septembre 2023, le MCC a signé un programme compact de 500 millions de dollars avec le Mozambique pour promouvoir la résilience climatique et côtière et améliorer les services publics et les infrastructures de transport. En septembre 2023, le MCC a signé un programme de seuil de 60 millions de dollars avec le Kenya pour renforcer la connectivité urbaine à Nairobi.
Tout au long de l’année 2023, le Bureau du représentant commercial des États-Unis (USTR) a fait progresser des initiatives commerciales, notamment le protocole d’accord (MOU) entre les États-Unis et la ZLECAf et la négociation du partenariat stratégique de commerce et d’investissement (STIP) entre les États-Unis et le Kenya. En novembre, avant que les États-Unis et l’Afrique du Sud organisent conjointement le 20e Forum de l’African Growth and Opportunity Act (AGOA) à Johannesburg, le président Biden a annoncé son ferme soutien à la réautorisation et à la modernisation en temps opportun de l’AGOA afin d’approfondir les relations commerciales entre les États-Unis et l’Afrique. , soutenir l’intégration régionale et réaliser l’immense potentiel économique de l’Afrique.
Infrastructure
En mai 2023, le président Biden a choisi l’Afrique comme premier et principal corridor économique dans le cadre de son initiative de Partenariat pour les infrastructures et l’investissement mondiaux (PGI) de 600 milliards de dollars visant à combler le déficit d’infrastructures mondiales. Depuis décembre, PGI a annoncé des investissements américains totalisant plus de 1,5 milliard de dollars dans le corridor de Lobito pour des projets d'infrastructure de transport, d'accès numérique, d'agriculture et d'énergie propre, notamment :

DFC a annoncé le lancement d'un processus de vérification préalable pour un montage financier de 250 millions de dollars au consortium Lobito Atlantic Railway pour moderniser et exploiter la ligne ferroviaire et le terminal minier existants de Benguela, depuis le port de Lobito en Angola jusqu'à la frontière de la République démocratique du Congo (RDC).
Entre mai et octobre, PGI a mobilisé un milliard de dollars supplémentaire entre les États-Unis, l'Union européenne, la Banque africaine de développement et la Société financière africaine pour lancer des études de faisabilité et développer commercialement une nouvelle ligne ferroviaire afin d'étendre le corridor allant de l'est de l'Angola au nord-ouest de la Zambie, améliorant ainsi commerce entre les trois pays – l’Angola, la RDC et la Zambie – et les connecter aux marchés mondiaux.
Au cours de l’année dernière, EXIM a autorisé 1,6 milliard de dollars de transactions soutenant les exportations américaines vers l’Afrique, dont plus de 1,2 milliard de dollars en faveur du PGI. Ces autorisations comprenaient le soutien aux exportations américaines vers des projets solaires et des infrastructures de pont en Angola, ainsi que des avions commerciaux vers l'Éthiopie. Avec ces autorisations, l'exposition d'EXIM sur l'Afrique subsaharienne a atteint un sommet historique d'environ 8 milliards de dollars.
Transformation numérique avec l'Afrique
Au cours de l'année dernière, les États-Unis ont fait progresser l'initiative de transformation numérique avec l'Afrique (DTA) pour renforcer les efforts visant à étendre l'accès numérique en Afrique et à accroître l'engagement commercial entre les entreprises américaines et africaines dans le secteur numérique, à soutenir une culture numérique accrue et à renforcer les capacités numériques à travers l’Afrique, conformément aux priorités définies dans la stratégie de transformation numérique de l’Union africaine.
DTA coordonne et canalise les efforts collectifs de 17 départements, agences et initiatives du gouvernement américain et s'associe aux gouvernements africains et à d'autres parties prenantes – telles que les secteurs privé et philanthropique et la société civile – pour faire progresser les objectifs de l'initiative à travers trois piliers : (1) Économie et infrastructure numériques, (2) Développement du capital humain et (3) Environnement numérique favorable.
En 2023, les États-Unis ont mis en place les structures institutionnelles nécessaires pour opérationnaliser cet effort pangouvernemental. Cela comprend l'inauguration d'un Conseil africain de politique numérique de haut niveau, le lancement de groupes de travail interinstitutionnels sur les piliers et l'obtention d'un budget pour embaucher du personnel DTA dédié dans les quatre agences principales de l'initiative. En avril, le vice-président Harris a lancé un « Appel à l’action » au secteur privé pour qu’il investisse dans l’inclusion numérique en Afrique, conformément aux objectifs de la DTA.
En 2023, les États-Unis ont investi 82 millions de dollars dans de nouvelles infrastructures numériques, des projets et des programmes techniques pour la DTA, notamment :
Économie et infrastructure numériques : DFC a contribué au lancement du tout nouveau centre de données d'Africa Data Centres (ADC) au Ghana et à l'inauguration d'un nouveau centre de données au Kenya, financé dans le cadre du prêt de 300 millions de dollars de DFC avec ADC. L'USTDA a financé 12 activités de développement d'infrastructures numériques à travers l'Afrique, qui ont le potentiel de contribuer à mobiliser plus d'un milliard de dollars en financement de projets. En avril, Prosper Africa a lancé l'Africa Tech for Trade Alliance pour stimuler le potentiel de croissance du secteur technologique africain et aborder l'environnement réglementaire.
Développement du capital humain : en mars, le vice-président Harris a lancé le Fonds pour les femmes dans l'économie numérique afin d'accélérer la réduction de la fracture numérique entre les sexes. Le MCC, l'USAID, Microsoft et le gouvernement de Côte d'Ivoire se sont également associés pour soutenir plus de 3 500 petites et moyennes entreprises dirigées ou détenues par des femmes. Le Département américain du Commerce, grâce à une subvention de 289 000 $ accordée à l’Institut américain de formation en télécommunications, a organisé le premier des deux Sommets de la jeunesse africaine pour offrir aux jeunes entrepreneurs technologiques africains des opportunités de formation, de réseautage et de mentorat. En outre, l'USAID s'est associée à la Fondation Mozilla pour distribuer des subventions sur les programmes d'études liés à l'informatique au Kenya, au Ghana et en Afrique du Sud.
Environnement numérique favorable : MCC travaille avec le gouvernement du Togo sur des réformes politiques et institutionnelles à travers un projet de 20,5 millions de dollars visant à encourager la concurrence qui créera une connectivité numérique abordable pour ses citoyens. Le Département d'État américain a organisé le troisième dialogue cybernétique entre les États-Unis et le Kenya et a lancé un dialogue avec l'Afrique du Sud, promouvant des politiques et des réglementations garantissant des écosystèmes numériques sécurisés, ouverts, interopérables et fiables.
La sécurité alimentaire
Les États-Unis ont fourni plus de 17,2 milliards de dollars d’aide à la sécurité alimentaire depuis le début de l’administration Biden-Harris, dont plus de la moitié a été fournie aux partenaires africains en réponse à la crise actuelle de la sécurité alimentaire. Lors du Sommet des dirigeants États-Unis-Afrique, le président Biden et l'Union africaine (UA) ont lancé un nouveau partenariat stratégique sur la sécurité alimentaire pour diriger notre travail avec l'Union africaine et les pays africains afin d'accélérer les progrès dans la lutte contre l'insécurité alimentaire, la construction de systèmes alimentaires plus solides et plus encore. des chaînes d'approvisionnement diversifiées et l'élargissement de l'accès des pays africains aux marchés agricoles.
Au cours de l’année dernière, nous avons travaillé ensemble pour élaborer un plan à long terme visant à :
(1) construire des systèmes alimentaires diversifiés et résilients,
(2) augmenter les investissements dans les infrastructures liées à l’agriculture et
(3) entreprendre des réformes politiques et réglementaires.
En 2023, dans le cadre de l’initiative Feed the Future visant à éradiquer la faim, les États-Unis ont lancé la Vision pour des cultures et des sols adaptés (VACS), en partenariat avec l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et l’Union africaine. VACS cherche à stimuler la productivité agricole et la nutrition en développant des cultures diversifiées et adaptées au climat et en améliorant la santé des sols.
Les États-Unis ont également contribué à hauteur de 155 millions de dollars au Programme mondial pour l’agriculture et la sécurité alimentaire (GAFSP). En 2023, le GAFSP a financé plus de 300 millions de dollars de propositions visant à soutenir les systèmes alimentaires et les petits exploitants agricoles, bénéficiant largement à l’Afrique. En 2024, le Département du Trésor s'associera avec la Banque mondiale, la Banque africaine de développement (BAD) et d'autres donateurs pour renforcer la capacité du GAFSP à mobiliser les investissements du secteur privé dans les communautés rurales et les chaînes de valeur en Afrique.
Les États-Unis restent le plus grand donateur au Programme alimentaire mondial, avec un financement qui a permis à plus de 790 000 tonnes de céréales vitales d'atteindre les plus vulnérables d'Afrique grâce à l'Initiative céréalière de la mer Noire.
Engagement de la diaspora
Reconnaissant la diaspora africaine comme une source de force et un fondement de notre partenariat du 21e siècle avec l'Afrique, les États-Unis ont renforcé les liens culturels, sociaux, politiques et économiques entre les communautés africaines, la diaspora africaine mondiale et les États-Unis.
En septembre, le président Biden a annoncé la composition des 12 premiers membres du Conseil consultatif présidentiel sur l'engagement de la diaspora africaine aux États-Unis (PAC-ADE) et en octobre, le vice-président Harris a présidé la cérémonie d'assermentation du Conseil.
Ce Conseil inaugural conseille l'administration Biden-Harris sur les stratégies visant à promouvoir l'équité et les opportunités pour les communautés de la diaspora africaine et à accroître les liens culturels, sociaux, politiques et économiques entre les communautés africaines, la diaspora africaine mondiale et les États-Unis, y compris les secteurs public et privé. -collaboration sectorielle, commerce, investissement, développement et liens et échanges éducatifs.
En novembre, l'administrateur des petites entreprises s'est rendu en Côte d'Ivoire et au Togo pour explorer comment la Small Business Administration (SBA) des États-Unis peut intensifier ses efforts pour tirer parti de la diaspora africaine aux États-Unis afin de connecter les petites entreprises des deux continents aux ressources et aux opportunités du marché international. commerce.
Le ministère du Commerce, par l'intermédiaire de la Minority Business Development Agency et de la Global Diversity Export Initiative, a lancé un programme de promotion du commerce pour connecter les entreprises américaines, en particulier celles appartenant à la diaspora africaine et aux femmes, dans le secteur des soins personnels et des cosmétiques, avec de nouvelles opportunités et de nouveaux partenaires. en Afrique du sud.
Bonne gouvernance et sécurité
Lors du Sommet, les États-Unis ont réaffirmé leur engagement à s'engager et à soutenir les transitions politiques complexes en Afrique et à œuvrer pour aider les gouvernements et la société civile aux moments critiques de la transition démocratique à travers l'initiative Transitions démocratiques et politiques en Afrique (ADAPT). Le président a également lancé le Partenariat du 21e siècle pour la sécurité africaine (21PAS), qui a identifié 100 millions de dollars pour cibler et accroître le soutien aux partenaires africains déterminés à investir dans la gouvernance, la préparation et le maintien en puissance de la défense. 21PAS est un « acompte » destiné à accroître la capacité du partenaire à utiliser et à maintenir une aide future.
En novembre, le Département d'État a annoncé que les ressources d'ADAPT seraient destinées à soutenir le peuple guinéen dans sa transition vers une gouvernance démocratique d'ici le 1er janvier 2025, comme convenu avec la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest. Ces ressources fourniront une assistance technique aux efforts en cours visant à rédiger une nouvelle constitution et à préparer des élections libres et équitables tout en jetant les bases d'institutions démocratiques plus efficaces et plus inclusives.
Les États-Unis sont déterminés à accroître leur soutien aux organismes régionaux, aux gouvernements de transition, aux mouvements politiques démocratiques et inclusifs et à la société civile pour faire avancer les objectifs démocratiques communs. L’initiative ADAPT sera étendue à d’autres pays à mesure que les gouvernements de transition prendront des mesures concrètes et opportunes pour passer à une gouvernance démocratique.
Le 21PAS a identifié 100 millions de dollars sur trois ans pour cibler et étendre le soutien aux partenaires africains qui s’engagent à investir dans la gouvernance, la préparation et le maintien en puissance de la défense. Du renforcement des systèmes logistiques de défense au renforcement de la sécurité des frontières, les programmes 21PAS se concentrent sur la promotion d’institutions de défense efficaces, responsables et responsables, capables de faire face aux menaces émergentes de notre époque. Les États-Unis prévoient d’étendre le 21PAS en 2024. Le ministère de la Défense annoncera les nouveaux pays participant au programme après avoir consulté ses partenaires avec succès.
Santé
Les États-Unis ont tiré parti de leur statut de plus grand donateur mondial pour la santé mondiale pour atteindre des objectifs communs visant à améliorer continuellement la santé mondiale et la sécurité sanitaire mondiale. Nous travaillons avec les pays africains aux côtés de partenaires régionaux et mondiaux, notamment l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et les Centres africains de contrôle et de prévention des maladies (Africa CDC), ainsi qu'avec un large éventail de partenaires du secteur privé et de la société civile pour atteindre nos objectifs. .
En soutien à l'engagement de l'Union africaine à renforcer le soutien aux agents de santé à travers l'Afrique, le Plan d'urgence du président américain pour la lutte contre le sida (PEPFAR) soutient directement des millions de milliers d'agents de santé dans la région, qui permettent la fourniture de services essentiels de lutte contre le VIH/SIDA. et d'autres services de santé. Le soutien direct du PEPFAR aux agents de santé permettra non seulement de protéger et d'étendre les progrès réalisés en matière de VIH, mais pourra également être exploité pour lutter contre les épidémies et autres menaces de maladie. À l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida 2023, le PEPFAR a annoncé avoir soutenu directement 327 000 agents de santé dans le monde au cours de l’année écoulée.
En 2023, l’USAID a soutenu de multiples efforts visant à accroître les investissements coordonnés dans les agents de santé à travers le continent. Ces efforts comprennent la « Charte d'investissement dans les personnels de santé en Afrique », menée par le Bureau régional de la santé de l'OMS en Afrique, l'« Appel à l'action de Monrovia » lancé par le ministère de la Santé du Libéria lors du 3e Symposium international des agents de santé communautaires et le programme Atteindre le dernier niveau. Déclaration du Mile Forum, dirigée par Africa CDC et Africa Frontline First, qui a renouvelé et renforcé le soutien conjoint aux agents de santé communautaires, y compris un engagement en faveur d'investissements collectifs et coordonnés et l'affirmation du rôle de leadership des gouvernements dans la définition des priorités en matière de santé. Africa CDC est un partenaire central et un leader à l’origine de cette annonce.
Depuis que les États-Unis ont annoncé un nouveau financement de 215 millions de dollars pour lutter contre la pandémie de COVID-19 en Afrique, 85 % du financement a été engagé dans 24 pays africains, contribuant ainsi aux 128 millions de doses de COVID-19 administrées sur le continent en 2023. Les États-Unis, en partenariat avec COVAX, AVAT et d’autres, ont livré plus de 200 millions de doses de vaccin contre la COVID-19 à travers l’Afrique depuis 2021.
Les États-Unis travaillent en étroite collaboration avec le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme (Fonds mondial), l'OMS, l'UA et d'autres parties prenantes pour soutenir les fabricants de produits de diagnostic basés en Afrique. Le PEPFAR travaille avec les pays partenaires pour commencer à introduire plusieurs diagnostics rapides à usage professionnel fabriqués en Afrique dans les programmes de lutte contre le VIH à partir de 2024. Cela comprend un partenariat avec l'OMS et le Fonds mondial pour lancer un groupe d'experts sur les diagnostics fabriqués en Afrique afin de rationaliser la prise de décision réglementaire. .
Les États-Unis renforcent leurs capacités mondiales, régionales et nationales pour prévenir, détecter et répondre aux menaces de maladies infectieuses. En 2023, le gouvernement américain a soutenu l’expansion du nombre de partenaires en matière de sécurité sanitaire mondiale directement soutenus, passant de 17 à 22 partenaires en Afrique subsaharienne et à un nouveau partenaire en Afrique du Nord, avec un total de 47 partenaires dans le monde. Cette expansion soutient directement l'objectif de la stratégie nationale de biodéfense du gouvernement américain visant à aider 50 pays à renforcer leurs capacités techniques dans des domaines tels que la surveillance des maladies, les systèmes de laboratoires nationaux, les ressources humaines et la résistance aux antimicrobiens.
En marge de la troisième Conférence internationale sur la santé publique en Afrique à Lusaka, en Zambie, le gouvernement américain et le CDC Afrique ont annoncé un plan d'action conjoint pour promouvoir une vision commune visant à renforcer les systèmes de santé publique et à améliorer les résultats en matière de santé en Afrique.
Source : Ambassade des Usa à Abidjan

 

 

Dans sa sortir du 15 janvier 2024, dans le Mandat, Koffi Yao Moise, le président de la Fédération d’entreprises de dépannage (FEDCI), a abordé plusieurs sujets, avec un point d’honneur au niveau des frictions entre les dépanneurs et les transporteurs. Après s’être consacré à la traditionnelle présentation de vœux, il a longuement expliqué que ces frictions émanent pour la plupart du temps des incompréhensions. « (…) On met cela au compte des incompréhensions. Sinon, lorsqu’un véhicule quelconque est en panne sur une grande voie, même si c’est l’état d’un pneu qui est en cause, compte tenu du fait que ce véhicule peut occasionner des accidents, il faut le mettre à l’écart », a-t-il d’emblée souligné. Et de poursuivre : « (…) Si son propriétaire dispose d’un pneu secours, la société habilitée à faire le remorquage se voit d’assister l’usager et après quoi, un montant forfaitaire lui sera recommandé pour payer », a précisé Yao Moise. Abordant la question de l’assistance, l’orateur s’est voulu clair en ces termes : « (…) Selon les annexes de la convention de concession du service public de l’enlèvement des véhicules accidentés, en panne ou immobilisés, des objets, produits ou marchandises, encombrant les voies publiques, nos interventions doivent obéir à trois étapes ou système ADR (Assistance, dépannage remorquage », a-t-il fait remarqué. L’orateur n’a pas oublié de mettre à hauteur de lumière la face sociale des services de remorquage, expliquant que tout n’est pas forcement cher payé. M. Koffi en a profité pour saluer la grande famille du transport terrestre. Il a par ailleurs précisé que l’assistance pour les pannes dites légères, sont gratuites, à l’inverse des services de dépannage et de remorquage. Selon lui, c’est ce point qui serait le point de divergence. Poursuivant, il a clairement expliqué que pour les cas de pannes difficiles où le propriétaire ne peut se dépanner, il n’est pas question d’attendre. Le président de la FEDCI a rappelé que pour les pannes légères notamment les crevaisons, le chauffage de moteur, les pannes sèches, la prise d’air, en cas de remorquage, qu’il est demandé au propriétaire d’indiquer là où il souhaite que son engin soit déposé.
Koné De Sayara


C’est dans un beau décor et une atmosphère de retrouvaille que toutes les structures membres de l’Union nationale des patrons d’auto-écoles de Côte d’Ivoire (Unapae-CI), ont procédé, le 16 janvier 2024 dernier, à la traditionnelle présentation de vœux à leur président, Koko Guillaume. C’était au siège de cette faitière à Angré. Parlant au nom de toutes ces organisations, Cissé Mohamed Lamine, le vice-président de l’Unapae-CI, a d’abord rappelé quelques actions de grandeur nature de Koko Guillaume depuis plus de dix ans. Pour lui, c’est l’unificateur de leur secteur d’activité. Il est également celui-là même qui a insufflé une vraie dynamique de développement à ce secteur. « (…) Le président Koko Guillaume a enlevé notre secteur de la léthargie. Tout était nonchalant, voire même dormant, lorsqu’il a, comme d’un coup de baguette magique, réussi à nous mettre ensemble et à nous exhorter au professionnalisme », a-t-il d’emblée dit. Avant de poursuivre : « (…) Alors face à ces acquis, comment ne pas lui être reconnaissant, si tant est que la reconnaissance fait partie de vertus les mieux partagées », s’exprime Cissé Lamine sous des ovations nourries. L’orateur enchaine alors pour formuler ceci : « (…) Président Koko, cher frère, au nom de toutes les organisations professionnelles et en mon nom personnel, nous formulons des vœux de bonheur et de prospérité pour vous, surtout des vœux de longévité et de santé de fer afin que vous puissiez poursuivre tous les chantiers et projets entamés où en cours d’entame. Vous êtes notre référence et merci infiniment pour tout ce que vous faites pour notre corporation », a-t-il renchéri. Avant de souhaiter voir une année sans permis promotionnels. « (…) Que cette année soit une année de prise de conscience aussi bien de nos politiciens que de toutes autres personnes voulant rendre service à notre jeunesse à travers les permis promotionnels. A partir de cette nouvelle année, plus de permis promotionnels, car, tous ceux qui s’y adonneront, nous trouverons sur leur chemin. A bon entendeur donc, salut », prévient Cissé Mohamed Lamine. A son tour Koko Guillaume s’est dit émerveillé par tout ce qu’il venait d’entendre. « (…) A vous toutes et vous tous, merci infiniment. Fasse Dieu vous le payez au centuple et qu’IL se souvienne de chacun d’entre nous aux partages de ses gloires. Excellente et très bonne année 2024 » a-t-il indiqué.
Koné De Sayara

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