Prix garanti bord champ (campagne 2023-2024): Cacao 1000 Fcfa/Kg;  Café  900 Fcfa/Kg

vendredi 17 mai 2024
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Le Port autonome de San Pedro a réalisé au titre de l’année 2023, un trafic global de marchandises de 7.023.763 tonnes avec un accroissement de 13% par rapport à l’année 2022, a annoncé, vendredi 23 février 2024, le directeur Hilaire Lamizana. L’information est rapportée par le correspondant local de l’Aip.
M. Lamizana a annoncé le résultat annuel de l’activité maritime et portuaire du second port ivoirien, lors de la cérémonie traditionnelle d’échanges de vœux avec les opérateurs de la communauté portuaire dont il assume la présidence.
Il a expliqué l’accroissement du trafic global par la dynamique de diversification et d’équilibre des flux de trafics export/import et transit en cours sur la plateforme portuaire, au cours de cette dernière décennie, avec le traitement des produits minéraliers, le coton, les engrais, le caoutchouc, l’huile de palme, en plus du binôme café/cacao et des produits cimentiers qui y étaient uniquement traités auparavant.
De 2010 à 2023, le trafic global export est passé d’un million de tonnes à 4.400.000 de tonnes, l’import d’environ 260.000 tonnes à 2.200.000 tonnes et le trafic transit de zéro à 1.700.000 tonnes.

Le directeur général du Port s’est réjoui des facteurs qui ont contribué à ces résultats. Il s’agit, entre autres, de l’amélioration de l’offre de service aux navires avec la réalisation des travaux du dragage du chenal d’accès au port et du cercle d’évitage et la poursuite régulière des travaux de sondages bathymétriques, l’amélioration de la fluidité routière, l’augmentation de la capacité de transformation locale du cacao avec l’installation d’une nouvelle unité qui a permis d’atteindre le chiffre de global de 475.000 tonnes pour une capacité nationale estimée à 972.000 tonnes.
« Notre ambition ce n’est pas d’être un port secondaire, encore moins un port saisonnier, mais d’être un port qui prends sa place, aussi modestement que cela soit », a dit M. Lamizana. Il a exhorté les acteurs de la communauté portuaire à persévérer dans l’effort pour la poursuite de la croissance des résultats de l’activité maritime et portuaire.

Il les a appelés à saisir les opportunités qui s’offrent à la plateforme portuaire de San Pedro à savoir, les perspectives de développement de nos infrastructures portuaires, la connectivité au Port au travers des différents
Plus de sept millions de tonnes de trafic global réalisées au Port autonome de San Pedro en 2023
B. Mafoumgbé( source : Aip)

Après Bouaké, Daloa, Abengourou, Man, Korhogo et Aboisso, la vague de la redynamisation a atteint San Pedro. Le comité régional des chargeurs de San Pedro, structure sous tutelle de l’Office ivoirien des chargeurs (Oic), s’est réjoui, jeudi 22 février 2024, de la résolution des problèmes de tracasseries routières, lors de son bilan annuel d’activités de l’exercice 2023, organisé par les opérateurs économiques du secteur.
Selon le correspondant local de l’Aip, le directeur régional de l’Oic et secrétaire permanent du comité régional des chargeurs de San Pedro, Lakpé Guy Arsène, a indiqué lors de la présentation du bilan qu’en 2023, suite à des rencontres d’échanges, le Fonds d’entretien routier (Fer), chargé désormais de la gestion des postes de pesage, a résolu les problèmes de tracasseries marqués par des sommes exorbitantes imposées aux opérateurs économiques par l’opérateur privé qui en assurait la gestion auparavant.

Selon le confrère, Il a également ressorti les diverses campagnes de sensibilisations des opérateurs concernant notamment, les engins lourds qui encombraient la circulation en certains endroits de la ville de San Pedro, la dégradation des voies par les camions et le permis à point.

L’année 2023 a été aussi consacrée à des renforcements de capacités à l’intention des agents des douanes et des opérateurs économiques, à travers l’Observatoire de la célérité douanière (Ocod) en partenariat avec l’Oic, relativement aux questions des documents douaniers.

« A la lecture du bilan qui nous a été fait pour l’année 2023, nous pouvons dire que ce comité répond aux objectifs que nous lui avons assignés, mais on ne peut pas s’autosatisfaire et rester sur cette note de satisfaction, nous voulons aller beaucoup plus loin », a souligné la directrice de l’assistance aux chargeurs, Roland Nelly Christiane, représentant le directeur général de l’Oic.

Elle a exhorté la plateforme régionale des chargeurs à poursuivre sur cette lancée et lui a recommandé d’entreprendre davantage d’actions pour le développement économique de la région du Bas-Sassandra.

Le comité régional des chargeurs de San Pedro a été mis en place en 2014 en tant que premier comité pilote. Six autres ont été installés plus tard à Bouaké, Daloa, Abengourou, Man, Korhogo et Aboisso.

 

Regroupant les exportateurs, les importateurs, les transporteurs, les commerçants, les coopératives agricoles, l’administration et les organisations socioprofessionnelles, cette plateforme répond au besoin de l’Oic de se rapprocher des chargeurs pour étudier avec eux les problèmes qui minent leurs secteurs d’activités et y apporter de façon concrète des solutions concertées, sans qu’ils aient besoins de se déplacer sur Abidjan.

 

L’Oic est un conseil des chargeurs qui représente et défend les intérêts des importateurs et exportateurs utilisateurs de services de transport dans le cadre de l’acheminement de leurs marchandises.

Le comité régional des chargeurs a adressé une motion à la direction générale de l’Oic pour l’organisation à San Pedro d’une journée nationale des chargeurs sera consacrée l’examen des problématiques et à des renforcements de capacités. Lors de cette assemblée générale, le décret d’instauration d’une bourse de fret électronique a été présenté aux opérateurs.
B. M( source : Aip)

« Agir pour une transformation structurelle durable des filières coton et anacarde en côte d’ivoire », tel est le thème de la Conférence qu’a animé, Karim Berthé directeur de la transformation du conseil du coton et de l’anacarde coordonnateur adjoint transformation Ppca, le dimanche 25 février à Paris, lors du Salon international de l’Agriculture, qui se tient en France.
Pour le conférencier, les atouts et opportunités dans la filière sont immenses. Cela se concrétise par les appuis constants de l’Etat à travers le code des investissements mais aussi sous forme de projets, subventions et facilitation de l’approvisionnement local. A cela, il faut noter de nombreuses la disponibilité des infrastructures de base pour les investissements (électricité, eau, gaz, réseau telecom…), l’exonération douane, pas de Dus pour les produits transformés localement. Exonération de 4 ans des droits de douane sur les équipements et matériels et les premiers jeux de pièces détachées acquis localement ou importés (20% Zone A, 40% Zone B, 60% Zone C. Mise en place de mécanisme visant à faciliter l’accès à la matière première pour les unités industrielles de Transformation (UIT). Karim Berthé, a également fait cas dans son exposé de la Construction de 3 zones agro-industrielles (ZAI) d’une capacité combinée de 150 000 tonnes dédiées à la transformation des noix de cajou à Korhogo, Bondoukou et Séguéla. Tous sont situés au cœur des zones de production des noix Brutes de Cajou. Ces zones bénéficient d’infrastructures de base : Château d’eau, Réseau électrique, routes d’accès bitumées… – Lots industriels – Entrepôts de stockage – Aires de séchage. Selon lui, le parc industriel de Korhogo est achevé avec 28 ha de parcelles déjà disponibles. Le parc de Bondoukou dispose de 15 ha de terrains industriels, le parc de Séguéla sera opérationnel d’ici la fin de l’année 2023.
Valorisation des sous-produits
En ce qui concerne la valorisation des coques, le conférencier a indiqué que le gouvernement ivoirien s’inscrit dans le cadre de la durabilité environnementale en mettant l’accent sur la valorisation des coques issues de la transformation de l’anacarde avec la mise en place de Centres de Valorisation des Coques (CVC). Les aménagements ont débuté pour le premier CVC de 80 000 tonnes, situé à la Zone Industrielle (ZI) Yamoussoukro.

Atouts de la filière Anarcade

Karim Berhé, a aussi vanté les atouts de la filière anacarde. Il s’agit de la Formation des producteurs aux bonnes Pratiques Agricoles (BPA), la réhabilitation des vergers d’anacardier, l’utilisation de plants greffés, la réduction de la superficie, les prestations spécialisées (OPCA, pépiniériste), l’assurance d’une production annuelle d’au moins 1 million de Tonnes de noix brutes de cajou. Egalement, l’amélioration variétale Convention Etat -transformateurs accordant des avantages fiscaux et un appui pour stimuler l’engagement des entreprises à investir. La transformation locale beneficie d’une subvention portant sur les amandes blanches (400 FCFA/kg) et les amandes non dépelliculées (150 FCFA/kg).
Atouts destination Côte d’Ivoire
Pour le conférencier du jour, Abidjan est à 22 jours de New York contre 32 de Hong Kong. Abidjan est à 18 jours de Rotterdam contre 33 de Hong Kong. Il s’agit d’une opportunité intéressante pour le nearshoring. Le pays est un exportateur net d’électricité, ayant exporté 114 millions USD d’électricité en 2019. 11,6 milliards USD investis entre 2011 et 2017 dans les infrastructures énergétiques avec une main-d’œuvre abondante et bon marché, 29 millions d’habitants avec un taux de croissance de 2,5% – 75% d’entre eux ont moins de 35 ans. Un salaire minimum de 75 000 FCFA (environ 120 USD). 0% de droits de douane à l’importation aux Etats-Unis dans le cadre de l’AGOA pour les produits ivoiriens, 0% de droits de douane à l’importation vers l’UE dans le cadre de l’UE/EPA pour les produits ivoiriens

Il argue que la chaîne d’approvisionnement est structurée de telle sorte qu’elle est parfaitement traçable et que les sacs de noix de cajou peuvent être retracés jusqu’aux producteurs individuels. Le fait de tout produire sur le lieu de production élimine les émissions générées par le transit des matières premières. Tout cela est soutenu par des infrastructures solides de 82k km de routes. 50% du réseau routier de l’UEMOA – 4,5k km de routes internationales et régionales, 2 ports internationaux (Abidjan et San Pedro). Abidjan, deuxième port d’Afrique de l’Ouest. En plus d’un code des investissements favorables aux investissements étrangers, la Côte d’Ivoire dispose aussi de programme carbone 1 9 mise en œuvre du programme carbone 2 0 dont l’objectif premier de l’introduction des anacardiers en côte d’Ivoire, qui était de restaurer le couvert forestier.
Ayoko Mensah ( Sercom)

Dans le cadre de ses activités en marge de la 60ème édition du Salon International de l’Agriculture (Sia 2024), le Ministre d’Etat, Ministre de l’Agriculture du Développement et des Productions Vivrières, Kobenan Kouassi ADJOUMANI, a été reçu en audience respectivement à l’Assemblée Nationale Française et au siège du Mouvement des Entreprises de France (Medef), le lundi 26 février 2024, à Paris. Les échanges ont essentiellement porté sur la coopération bilatérale entre la Côte d’Ivoire et la France dans le domaine agricole.
A l’Assemblée Nationale Française, le Ministre d’Etat ADJOUMANI, a eu une séance de travail avec les membres du groupe d'amitié France- Côte d’Ivoire avec à sa tête le Président dudit groupe le Député Philipe Brun. Le premier responsable du secteur agricole ivoirien a fait l’exposé des efforts du Gouvernement ivoirien pour la souveraineté alimentaire et une agriculture durable respectueuse de l’environnement pour le bien être des acteurs. Afin de relever ces défis, le Ministre d’Etat sollicite un appui des parlementaires Français.
« Nous avons chargé monsieur le président d’être notre porte-parole auprès de l’Union européenne pour défendre la cause des producteurs ivoiriens. Nous avons décidé au niveau de notre pays de géo localiser toutes les plantations de cacaoyers, nous avons également recensé tous les planteurs qui sont dans nos forêts et qui produisent le cacao. Nous avons fait savoir que seulement 10 à 15% du cacao sort des forêts classées. Pour remédier à cela, nous avons pris la décision de faire de l’agro foresterie. » affirme-t-il
Dans la même dynamique, le Ministre d’Etat Adjoumani a présenté les opportunités d’investissement dans le secteur du vivrier en côte d’ivoire. Objectif, attirer les investisseurs Français afin que la politique de la souveraineté alimentaire soit une réalité dans notre pays.
« Il faut que le monde s’apprête aussi à soutenir la Côte d’Ivoire dans sa politique de souveraineté et sécurité alimentaire en nous accompagnant dans notre volonté d’accroitre notre production vivrière » déclare-t-il à sa sortie d’audience, avant de conclure : « C’est un dossier qui nous tient à cœur. Nous lui avons soumis cela et je crois qu’il a pris l’engagement de travailler avec l’AFD pour que tous les projets présentés connaissent des aboutissements heureux. »
Pour sa part Brun Philippe s’est dit heureux de la visite de travail avec la délégation ivoirienne conduite par le Ministre d’Etat ADJOUMANI.
« C’est toujours un honneur pour nous de recevoir la partie ivoirienne et en particulier monsieur le ministre d’Etat ADJOUMANI. Nous avons eu un certain nombre d’échanges sur des sujets agricoles qui sont absolument centraux dans ce beau pays qu’est la Côte d’Ivoire, la souveraineté alimentaire qui est un objectif que nous partageons, la question de la montée en puissance de l’agriculture en Côte d’Ivoire et la production agricole qui sert non seulement les intérêts de la Côte d’Ivoire mais les intérêts du monde entier et les intérêts de la France en particulier. » a-t-il confié à la presse.
La seconde audience a eu lieu dans les locaux du Mouvement des Entreprises de France. Le Ministre d’Etat Kobenan Kouassi ADJOUMANI était accompagné du Ministre des Ressources Animales et Halieutiques, Sidi Tiémoko TOURE. Les opportunités d’investissement dans le secteur agricole ont été présentées aux membres du MEDEF, qui est le premier réseau d'entrepreneurs de France.
Le ministre d’Etat ADJOUMANI a souligné l’attractivité du secteur agricole Ivorien, au cours de cette visite de travail « la Côte d’Ivoire est une bonne destination. C’est une terre où l’agriculture se développe bien et ils vont venir nous aider à développer notre agriculture dans le cadre d’un partenariat gagnant-gagnant » a-t-il précisé.
Pour la Côte d’ivoire, la 60ème édition du SIA apparait comme une tribune pour présenter aux investisseurs les opportunités et la politique de souveraineté alimentaire.
Selon le ministre Sidi Tiémoko TOURE, la souveraineté alimentaire est au cœur de la politique agricole de notre pays, pour l’atteindre de cet important objectif, il faut une participation d’hommes d’affaires. « La Côte d’Ivoire est un pays qui a décidé de prendre en main sa souveraineté alimentaire. Que ce soit en production animale, halieutique ou végétale. Donc le Salon de l’agriculture en France donne l’occasion à nos deux ministères c’est-à-dire le ministère d’Etat, ministère de l’agriculture, mais surtout le ministère des Ressources animales et halieutiques de présenter ces opportunités, les niches d’investissement qui sont à la disposition de différents investisseurs. » Fait-il savoir.
Prenant la parole, le vice-président du pôle agricole et agroalimentaire et secrétaire du groupe Avril du Medef, Stéphane Yrles s’est réjoui de cette séance de travail et a surtout pris l’engagement au nom de ses pairs d’accompagner la Côte d’Ivoire dans la mise en œuvre de sa politique de souveraineté alimentaire.
« C’est important l’identification de la question de la souveraineté alimentaire de la Côte d’Ivoire de savoir comment on peut paramétrer les investissements d’acteurs français en Côte d’Ivoire » annonce -t-il.
Les députés et les membres du Medef ont été invités à prendre part à la journée ivoirienne prévue le 29 février autour du thème : « Développement des productions vivrières et souveraineté alimentaire : Défis et perspectives »
A noter que ce genre de rencontre avec le patronat français sont une excellente occasion de rechercher de partenariats entre investisseurs français et producteurs et industriels ivoiriens. A noter que la filière hévéa- palmier à huile dont les acteurs sont réunis au sein du Conseil Hévéa- palmier à huile et le groupe agro-industriel ivoirien Sifca sont très visibles à cette exposition.

Bamba M.

La Fondation Children Of Africa organise son 9ème Dîner de Gala de charité, le Vendredi 1er Mars 2024, se tiendra à Abidjan. Ce 9ème rendez-vous du cœur de la Fondation de Madame Dominique Ouattara est placé sous le thème :« WE ARE AFRICA ». Comme pour dire que l’Afrique est le continent de l’avenir et mérite l’attention de tous. Les bénéfices obtenus lors de cette soirée iront à la construction et à l’équipement d’une nouvelle aile à l’Hôpital Mère-Enfant de Bingerville, afin de réaliser des opérations à cœur ouvert pour les enfants malades.
Quelques artistes et personnalités attendus …
A l’instar des précédents Dîner de Gala, le 9ème Dîner de Gala réserve de belles surprises quant à la qualité des invités qui seront présents sur les bords de la lagune Ebrié. En effet, nous pouvons citer des artistes renommés tels que : Carla Bruni, Youssou N’Dour, Alpha Blondy, GIM’S, Fally Ipupa, Dadju, Magic System, Matt Pokora, Sidiki Diabaté, Yémi Alladé, Didi B, Josey, Roseline Layo, Singuila, Toofan, Kerozen, KS Bloom, Mc Solar, Stomy Bugsy, Nocimbo Zikodé. Des stars du cinéma : Mélanie Laurent, Sandrine Bonnaire, Elsa Zylberstein, Claudia Tagbo, Aure Atika, Karine Silla Perez, Gilles Lellouche, Benoit Magimel, Samuel Le Bihan, Alexandre Arcady, Lucas Bravo, Vincent Perez, Saïd Taghmaoui, Isaach de Bankolé, Gary Dourdan, Kamel Ouali et Jean Pascal Zadi. De nombreux sportifs de renom, ainsi que des acteurs du monde de la culture et des médias : Didier Drogba, Marie-Josée Talou, Ruth Gbagbi, Cheich Cissé, Aboudia, Ouattara Watts, Abdoulaye Konaté, Mareva Galanter, Flora Coquerel, Olivia Yacé et bien d’autres… Et les fidèles amis de la Fondation Children Of Africa depuis de nombreuses années : Adriana Karembeu, Iris Mittenaere, Sylvie Tellier, Noémie Lenoir et SAR Le Prince Charles Philippe d’Orleans.
25 ans au service des plus démunis
Depuis plus de 25 ans, la Fondation Children Of Africa œuvre pour le bien-être de la Mère et de l’Enfant à travers un grand nombre d’actions humanitaires en Afrique. Grâce à la générosité de ses donateurs, mais également aux fonds recueillis lors des galas précédents, la Fondation Children of Africa a financé et réalisé de nombreux projets pour le bien-être des populations démunies. En effet, les dernières en date étant la reconstruction de la Case des Enfants à Abidjan, et d’un centre d’accueil à Adiaké pour les femmes victimes de violences. Mais nous pouvons citer également la construction et l’équipement de l’Hôpital Mère-Enfant de Bingerville, des Trois centres d’accueil pour enfants victimes d’exploitation, du Groupe Scolaire d’Excellence d’Abobo, pour 700 enfants défavorisés, du Lycée de Kong, mais aussi l’organisation de nombreuses campagnes de vaccination et d’ophtalmologie gratuites, des campagnes de distributions de millier de kits scolaires à travers toute la Côte d’Ivoire, la création de salles multimédia, ainsi que les campagnes d’initiation des tout-petits à la lecture grâce à dix (10) bibliobus qui sillonnent le pays et apportent la joie de la lecture aux enfants.
Notons que le dîner sera réalisé par le chef multi-étoilé Pierre Gagnaire et la Cheffe ivoirienne Vanessa Konan. Un merveilleux spectacle intitulé « Légendes d’Afrique » imaginé par le talentueux metteur en scène Alain Weber et chorégraphié par l’Ivoirien Jean Paul Mehansio sera présenté.
Bamba M avec Sercom


La Côte d’ivoire prend part à la 60ème édition du Salon international de l’agriculture de Paris (Sia 2024) au parc des expositions de la porte de Versailles à Paris (France). Ce dimanche 25, le ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture, du développement rural et des productions vivrières, Kobenan Kouassi Adjoumani, qu’accompagnaient le ministre des ressources animales et halieutiques, Sidi Tiémoko Touré et l'ambassadeur de Côte d’Ivoire en France, Sem Maurice Bandaman, a procédé à l’ouverture officielle du pavillon de la Côte d’Ivoire. L’ouverture suivie de la visite des stands, a permis aux participants à ce Salon de découvrir le riche patrimoine agricole ivoirien. La participation de notre pays au Sia, devenu une référence internationale, s’inscrit dans le cadre d’une vaste offensive de communication autour du secteur agricole ivoirien sur la scène internationale.
C’est dans cette dynamique que le ministre d’Etat kobenan Kouassi Adjoumani a fait savoir à la presse que la présence d’une forêt en miniature sur le stand du groupe Sifca au pavillon du ministère d’Etat, ministère de l’agriculture, du développement rural et des productions vivrières, est tout simplement un message : « C’est la forêt de Taï que nous avons représentée ici pour lancer un message aux Européens que nos produits que nous exportons ne sont pas issus de la déforestation. » « En Côte d’ivoire nous avons de belle forêt qui existe encore à côté de nos plantations. » précise-t-il. Cette communication fait suite à l’'interdiction par l'Ue des importations de produits issus de la déforestation. Le gouvernement ivoirien promeut une agriculture respectueuse de l’environnement.
Durant 10 jours, la Côte d’Ivoire fera la promotion de son agriculture et surtout présentera les potentialités d’investissement dans ce secteur clé de notre économie.
Cette année, la souveraineté alimentaire est au cœur de la participation de notre pays à cette édition d’où le thème de la journée ivoirienne prévue le 29 février prochain « Développement des productions vivrières et souveraineté alimentaire : Défis et perspectives ». Cette journée sera consacrée aux enjeux actuels de la sécurité alimentaire et de la souveraineté alimentaire dans notre pays.
Le ministre d’Etat Kobenan Kouassi Adjoumani, le ministre des Ressources animales et halieutiques, Sidi Tiémoko Touré et le ministre des Eaux et Forêts, Laurent Tchagba saisiront cette occasion pour présenter aux investisseurs, d’une part, les efforts du Gouvernement ivoirien pour la souveraineté alimentaire des populations, qui est devenue une priorité pour les plus hautes autorités ivoiriennes, et d’autre part, les nombreuses opportunités qu’offre la Côte d’ivoire dans le secteur de l’agriculture axé sur le Programme national d'investissement agricole de deuxième génération (Pnia II).
Rappelons que la 60ème édition du Salon international de l’agriculture de Paris (Sia) se tient du 24 février au 3 mars 2024, au parc des expositions de la porte de Versailles à Paris (France) autour de la problématique « L’agriculture, l’avenir de nos territoires ».
Bamba M. (Source : Sercom Meminaderpv)

 

Si elle a été la capitale du football Africain du 13 janvier 2024 au 11 février de la même année, la Côte d’Ivoire sera aussi la capitale des transports du 5 au 7 mars 2024 prochain. Ce, à travers la Conférence Régionale Africaine de l'International Transport Workers' Federation (ITF). Cette rencontre de grands espoirs pour l’avenir du transport en Afrique aura pour cadre le somptueux l’Hôtel Radisson Blu. L’information est de Sangaré Moussa, le président du comité d’organisation (Pco) à travers une note dont nous avons reçu copie.
Selon la note, cette conférence revêt une importance particulière, car elle marque la deuxième fois qu'un pays d'Afrique francophone accueille un événement de cette envergure. A la clé, la participation attendue de 40 pays et près de 250 participants issus de tous les modes de transport. Bien plus, la note stipule que cet événement promet d'être une plateforme d'échanges et de collaboration essentielle pour l'avenir du transport en Afrique. Par ailleurs, il est établi que cette conférence revêt aussi une signification symbolique, en tant que premier grand événement organisé à Abidjan depuis le transfert du Bureau de Ouagadougou, le 02 octobre 2021.
La réussite de cet événement devrait jouer un rôle déterminant dans la confirmation de la décision de considérer définitivement Abidjan comme Bureau Régional de l'ITF. A ces assises, prendront part le Président et du Secrétaire général de l'ITF, ainsi que du Président de l'European Transport Workers' Federation (ETF). Le soutien de ces éminentes personnalités souligne l'importance stratégique de cette conférence pour l'avenir des différents secteurs des transports en Afrique. La note du Pco certifie qu’il convient de souligner l'engagement remarquable de la Côte d'Ivoire dans plusieurs projets de l'ITF, ainsi que dans les instances de l'organisation. Enfin, selon le courrier, la tenue de cette conférence à Abidjan témoigne de la forte implication du pays dans la promotion des intérêts des travailleurs du transport en Afrique. Monde des organisations professionnelles de chaque mode de transport, vous êtes donc invités à saisir cette belle opportunité à vous offrir.
Koné De Sayara.

 

Le maire de la Commune de Mankono, Vagbama Tambla, a procédé le samedi 24 fevrier 2024, dans la cour de la mairie, au baptême de la 2e promotion de la police municipale, baptisée promotion Moussa Dosso, ministre-gouverneur du district du Woroba.
Elle est composée de 20 agents dont 5 filles et 15 hommes. Cette cérémonie de sortie officielle des agents de la police municipale a été parrainée par Bamba Mamadou, Sénateur de la région du Béré, en présence du préfet de région du Béré, préfet du département de Mankono, Gouessé Jules, des autorités administratives, politiques, coutumières et religieuses ainsi que de nombreuses populations.
Dans la foulée, le maire Tambla n’a pas omis de leur rappeler leurs devoirs et responsabilités quant à l’exercice de leur fonction. Notons que les agents de la Police municipale sont compétents sur le territoire de leur commune. Ils agissent sous l'autorité du Maire et ont pour mission, entre autres, la prévention et la surveillance du bon ordre, de la tranquillité, la sécurité voire la salubrité publique.
B. M( Infos : Sf)

Le jeudi 22 février 2024, conformément aux pouvoirs que lui confère la Constitution, le Président Alassane Ouattara a décidé d’accorder, à l’issue d’un Conseil national de sécurité, la grâce présidentielle à certaines personnes emprisonnées depuis de nombreuses années dont le général Dogbo Blé, arrêtés aux lendemains de la crise post-électorale de 2010-2011, et Kamagaté Souleymane, dit Soul To Soul, compagnon de lutte du premier ministre Soro Guillaume, arrêté le 23 décembre 2019.
En lieu et place de la grâce présidentielle qui n’efface pas la condamnation du casier judiciaire, le mouvement « Les Démocrates de Côte d’Ivoire » aurait préféré l’amnistie qui permet à la Nation, à la fois, de pardonner et d’oublier afin que ses filles et fils se retrouvent. Malgré ces réserves, le mouvement « Les Démocrates de Côte d’Ivoire » tient à remercier le Président Alassane Ouattara de l’avoir entendu. La libération des personnalités politiques et militaires emprisonnées, pour certaines, depuis 2011 et, pour d’autres, depuis 2019 était une de ses doléances et préoccupations majeures.
Le mouvement « Les Démocrates de Côte d’Ivoire » salue cette mesure forte qui permet non seulement aux bénéficiaires de recouvrer la liberté et de retrouver leurs familles respectives après des années de détention et de séparation mais aussi et surtout de détendre l’atmosphère politique et de favoriser des négociations pour une vie politique nationale plus saine.
Le mouvement « Les Démocrates de Côte d’Ivoire » invite le Président Alassane Ouattara à vider les prisons ivoiriennes de tout ce qu’il reste encore de personnalités politiques et militaires. Le mouvement « Les Démocrates de Côte d’Ivoire » invite le Président Alassane Ouattara a également tout mettre en œuvre pour le retour réussi et sécurisé en Côte d’Ivoire de son fils Soro Guillaume et pour leur réconciliation définitive.
Le mouvement « Les Démocrates de Côte d’Ivoire » prie aussi le Président Alassane Ouattara de reprendre le dialogue politique avec l’opposition et la société civile, de mettre sur la table de négociations tous les sujets susceptibles de créer une atmosphère pré- et post-électorale explosive, violente et chaotique afin d’offrir, en 2025, des élections justes, transparentes, crédibles et inclusives.
Le mouvement « Les Démocrates de Côte d’Ivoire » invite le Président Alassane Ouattara à s’entendre avec son frère, le président Laurent Gbagbo pour, s’il le faut et dans l’intérêt de la Nation, se retirer ensemble de la compétition électorale mais tout en restant des Elders nationaux auprès de qui l’on pourrait s’abreuver en conseils pour une Côte d’Ivoire plus unie, plus démocratique et plus dynamique dans le concert des nations.
Pour le mouvement « Les Démocrates de Côte d’Ivoire », ce que les populations ivoiriennes ont démontré en chœur à la face du monde pendant la CAN que notre pays a organisée et qui vient de s’achever doit continuer de parler à chacun et à tous. Les divisions et les querelles pour le pouvoir doivent être derrière nous et, nous devons construire, ensemble, dans la paix, la patrie de la vraie fraternité et de la démocratie vraie et durable.
Impossible n’est pas ivoirien et notre équipe nationale l’a brillamment démontré pendant la CAN. Désormais et plus qu’avant, le monde entier a les yeux rivés sur notre pays, la Côte d’Ivoire. Les politiques n’ont pas le droit de ruiner le retour sur le devant de la scène du soft power culturel ivoirien que la CAN a permis de confirmer à la face du monde.
Pour le mouvement « Les Démocrates de Côte d’Ivoire », les politiques n’ont pas le droit d’amoindrir notre potentiel de séduction aux effets multiplicateurs pour l’économie. Nous devons continuer de toujours bien nous vendre sur tous les plans, y compris politique (dans l’entente politique). Les générations à venir d’ivoiriens y gagneront grandement.
Fait à Abidjan, le 23 février 2024.
Pour « Les Démocrates de Côte d’Ivoire ».
Le Président
Pr. Séraphin Prao

 

Le comité permanent du comité consultatif international du coton ( Icac) s'est réuni les 21 et 22 février derniers à Washington DC aux États-Unis sous la présidence de Aly Touré, le représentant permanent de la Côte d’Ivoire auprès des organisations internationales des produits de base.
« Il s'est agi d'une part de passer en revue les enjeux, les défis et les opportunités de la filière en proposant une matrice d'actions en vue de rendre la filière durable notamment pour les petits producteurs de coton et d'autre part, de donner une meilleure visibilité à l'organisation », explique une note d'information transmise à la presse.
A cette occasion, en vue de parvenir à une économie cotonnière mondiale durable, le directeur exécutif de l'Icac Éric B. Trachtenberg a fait une communication sur le thème : « Bâtir une économie du coton, la voie à suivre ».Le comité consultatif international du coton a été créé à Washington en septembre 1939 en vue d'encourager la coopération dans le domaine du coton, en servant de centre d'échange pour les informations techniques relatives à la production, la consommation, le commerce et les stocks de coton. L'Icac compte 28 États membres. La Côte d'Ivoire participe de façon active aux réunions de l'Icac dont elle est membre depuis 1973.
Bamba M.

 

 

 

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