Société (701)
Augmentation du tarif des transactions Mobile Money // Ben Nfally annonce des mouvements si…
jeudi, 07 février 2019 21:16 Written by ossey84L’annonce de l’augmentation de 7, 2% du tarif de transaction du Mobile money par l’Union nationale des entreprises de télécommunication( Unetel), fait grincer les dents aux consommateurs ivoiriens. Ainsi, nous avons enregistré hier 07 février 2019, une déclaration de la Fédération ivoirienne des consommateurs ‘ Le Reveil’ dont le président est Soumahoro Mansa dit Ben NFally. Qui non sans protester contre cette mesure dit que : « Si elle est appliquée, nous organiserons un sit-in de protestation pacifique devant le siège de l’Unetel le lundi 11 Février 2019 et le 18 Fevrier devant la Direction générale de l’Autorité de régulation des télécommunications et des Tics( Artci) » L’Union nationale des télécommunications (Unetel ), organisation en charge du développement des Télécoms/Tic en Côte d’Ivoire et de défense des intérêts des opérateurs de télécommunication, annonce une augmentation des tarifs des transactions « Mobile money » de 7,2 %, à compter du 1er février 2019. Cette mesure liée à la volonté de l’Etat de taxer les transactions par mobile va nécessairement accentuer le coût de la vie, les consommateurs devant désormais payer plus pour bénéficier des services des sociétés de transfert d’argent par mobile money. Un communiqué de l’union, publié par voie de presse, indique que cette mesure a été prise en application de nouvelles taxes aux entreprises de transfert d’argent par téléphone mobile, contenues dans l’annexe fiscale à la loi n°2018-984 du 28 décembre 2018 portant budget de l’Etat pour l’année 2019. En effet, l’annexe fiscale a prévu, en son article 14, au titre des mesures dites de rationalisation et de modernisation du dispositif fiscal, et l’application de taxes spécifiques exigibles des sociétés de téléphone aux entreprises de transfert d’argent par téléphone mobile. « Ces nouvelles taxes, d’un montant cumulé de 7,2% sur le montant des commissions payées, sont exigibles depuis le 1er janvier 2019, aux entreprises émettrices de monnaie électronique [activité communément désignée sous le vocable Mobile money] », indiquait l’Unetel dans son communiqué. Ainsi, souligne le communiqué, c’est une « hausse proportionnelle » que les entreprises ont choisi d’appliquer aux transactions « mobile money. »
B. M
Légende photo : Soumahoro Mansa dit Ben Nfally, Pca de la Fédération ivoirienne de consommateurs , « Le Réveil »
« Affaire viande avariée sur le marché de l’Ue » // Les précisions du ministre Adjoumani
mercredi, 06 février 2019 13:55 Written by ossey84Le ministère des Ressources animales et halieutiques dans une note à la presse le mardi dernier a fait des précisions sur l’affaire viande bovine contaminée qui prévaut en Europe. Selon le Directeur des services vétérinaires, Dr Kouadio Adaman, 2,7 tonnes de viande avariées de provenance de l’abattoir de Kalinowo en Pologne ont été exportées dans plusieurs pays de l’Union européenne. Tout en précisant qu’il n’y a pas d’inquiétude à se faire au niveau de la Côte d’Ivoire, il a promis que des contrôles réguliers et quotidiens sont effectués dans les frontières lors de l’importation des denrées animales et d’origines animales. «Ces contrôles sont renforcés depuis ce scandale pour tous les produits carnés et les abats de bovin en provenance de l’Union européenne », a-t-il promis, tout en ajoutant que toutes les dispositions requises et nécessaires ont été prises pour éviter l’introduction de carcasses frauduleuses ou avariées en Côte d’Ivoire. Il y a environ trois semaines, un journaliste de la télévision polonaise a réussi à se faire embaucher dans l’abattoir de Kalinowo en Pologne où il a tourné des images montrant l’achat de vaches en piteuse santé à bas prix puis leur abattage en pleine nuit, sans aucun contrôle vétérinaire. Une quantité de 2,7 tonnes de cette viande ont été exportées dans 13 pays d’Europe, dont environ 800 kg en France.
Moussa Kader
Légende photo : Kobéna Kouassi Adjoumani, ministre des ressources animales et halieutiques
Recouvrement des recettes fiscales en 2019// Sanogo Moussa invite la Dgi à aller plus loin
mardi, 05 février 2019 21:52 Written by ossey84La Direction Générale des Impôts a organisé les 1er et 02 février 2019 à Yamoussoukro son séminaire bilan 2018-Objectifs 2019, sous la présidence de Monsieur Moussa SANOGO, Secrétaire d’Etat auprès du Premier Ministre, chargé du Budget et du Portefeuille de l’Etat.Cette rencontre de travail réunit au début de chaque année, l’ensemble des membres du Comité de Direction élargi, des sous-directeurs et Chefs de service. Le séminaire avait pour thème central « Analyse des résultats de l’année 2018 et perspectives pour l’année 2019 » et pour thème technique « Enjeux et défis de l’organisation et du financement de la DGI pour la mobilisation des recettes ». Divers sous-thèmes ont été traités au cours de ces assises.Pour cette année 2019, les objectifs de recettes brutes assignés à la DGI sont fixés à 2.513,4 milliards de F CFA, soit une hausse de 374, 4 milliards par rapport aux réalisations de 2018 qui s’élèvent à 2.146,9 milliards (une progression de 17,5 %) pour un objectif de 2.170,2 milliards de F CFA. Il ressort de ce séminaire, que c’est la première fois que la DGI réalise une telle performance en franchissant le seuil de 2 000 milliards (2.146,9 milliards). Toutefois les réalisations de la DGI intègrent notamment, les paiements en numéraires ; les imputations de crédits de 10% et de 15 %. Ainsi en comparaison avec les recettes de l’année 2017 qui se chiffraient à 1.963, 4 milliards, l’on note au niveau des recettes 2018, une hausse de 183,5 milliards soit un taux de croissance de 9,3%. Cette progression, est portée à 12,3 % hors droits d’enregistrement, café, cacao et revenus du pétrole et du gaz. Ce taux est plus élevé que celui de la croissance de l’économie estimée à 8,1 %. Par ailleurs, il faut noter que les objectifs de recettes des régies financières sont déterminés en étroite collaboration avec tous les acteurs intervenant dans la mise en œuvre de la politique économique et financière du gouvernement ainsi que les partenaires au développement, à savoir le FMI, la Banque mondiale etc. Ces projections doivent respecter non seulement les évolutions propres à chaque nature d’impôts mais également les contraintes liées à certains engagements dans le cadre du programme économique et financier de la Côte d’Ivoire ainsi que les critères de convergence de l’UEMOA. Au cours de ce séminaire, divers sous-thèmes ont été traités.Après avoir félicité la DGI pour les résultats enregistrés en 2018, monsieur Moussa SANOGO a souligné aux agents des impôts, que l'année 2019 est assez particulière, eu égard aux nombreux et importants défis à relever. Il a également relevé l'importance de la DGI, qui reste et demeure un maillon essentiel du dispositif du gouvernement dans la mise en œuvre de son programme d'actions prioritaires.C'est pourquoi, il a invité monsieur OUATTARA Sié Abou à sensibiliser davantage ses collaborateurs sur l'importance des enjeux et des défis, afin qu'ils fassent de la réalisation de cet objectif 2019, leur principale priorité de l'année
source: www.abidjan.net
Koné Drissa( Pdt Oecci)/Fiscalité et expertise comptable // « Nous voulons nous rapprocher davantage des opérateurs économiques »
mardi, 05 février 2019 21:41 Written by ossey84L’Ordre des Experts-comptables de Côte d'Ivoire a effectué récemment, la première édition de " la Matinale" de l'année. Avec pour thème « Les nouvelles dispositions de la loi de finances pour la gestion de l'Etat au titre de l'année 2019 » A l'occasion, M. Koné Drissa, le président de cet Ordre, a remercié les différents partenaires dont la Dgi et la Confédération générale des entreprises de Côte d'Ivoire,( Cgeci), pour leur engagement aux côtés d'Ordre des experts- comptables de Côte d'Ivoire. « Ces présences témoignent de l’intérêt accordé à la profession comptable, mais surtout à notre volonté commune de disposer d’une économie nationale vigoureuse et moderne, dont les bénéfices sont partagés de manière inclusive. Sachez que l’Ordre s’est engagé à devenir un interlocuteur privilégié pour les questions économiques et financières par sa présence à tous les rendez-vous d’échanges techniques afin de faire valoir ses avis éclairés tant ses membres disposent de compétences techniques éprouvées et pluridisplinaires. Nous voulons véritablement nous rapprocher de tous les acteurs économiques tout en jouant pleinement notre rôle de tiers de confiance » Par sa formation pluridisciplinaire et la permanence qu’il assure auprès des entreprises qu’il assiste, l’expert-comptable a une connaissance appréciable du fonctionnement de l’entreprise. D’où le concept développé par l’Ordre pour inciter les entreprises à mieux connaître toutes les facettes de l’intervention des professionnels auprès d’eux, que ce soit dans le cadre d’un accompagnement ou le cadre de l’expression d’une opinion ou assurance à travers son message : « l’Expert-comptable est votre ami, consulte-le ; le Commissaire aux comptes est votre gendarme, écoute-le ! » Aussi, le président de l’Oecci a ajouté que c’est dans cette optique, que respectant sa traditionnelle cérémonie de présentation de vœux couplée par l’exposé sur l’annexe fiscale, le Conseil de l’Ordre souhaite poursuivre sa réflexion initiée depuis 2018 en analysant des questions importantes résultant des lois de Finances Les échanges aboutiront à des recommandations qui seront communiquées au ministre de tutelle comme un document de travail qui permettra aux pouvoirs publics de prendre les décisions idoines. En sa qualité de parrain de la cérémonie, le ministre Adama Koné de l'Economie et des finances, a adressé ses sincères félicitations aux conseils de l’ordre pour cette initiative qui contribue sans doute à l’amélioration de l’action gouvernementale. « Je suis tout particulièrement heureux que vous vous retrouvez chaque année en vue d’aborder les problématiques liées à l’annexe fiscale. En tant que partenaire et conseiller des entreprises mais en tant que gendarmes pour tirer la sonnette en cas de débordement de gestion. Je comprends que vous ayez des préoccupations sur la loi des finances et particulièrement l’annexe fiscale. » a-t-il dit.
Bamba Mafoumgbé
Légende photo : Koné Drissa, président de l’Ordre des experts-comptables de Côte d’Ivoire : « Nous voulons véritablement nous rapprocher de tous les acteurs économiques »
Visite médicale pour le hadj 2019// Des kits d’évaluation d’acuité visuelle au comité médical
mardi, 05 février 2019 20:00 Written by ossey84Le Commissariat général du Hadj a offert le samedi 02 février 2019, des Kits d’évaluation d’acuité visuelle au Comité médical. Ce pour faire aux consultations des candidats au hadj. C’était en marge d’un atelier de formation des coordonnateurs des sites pour le Cmpp2019 qui a eu lieu à l’Institut national de l’Hygiène publique à Treich -ville. La cérémonie de remise symbolique d'un échantillon des kits en question a été présidée par le Docteur Diaby Moustapha , premier vice- président du Commissariat général. A l’occasion, il a transmis au comité médical, toutes ses félicitations, pour l’immense travail abattu chaque année et qui a été reconnu par les autorités saoudiennes. « Cette dotation entrent dans le cadre des efforts du commissariat général du Hadj à équiper les différentes structures d’encadrements des candidats au Hadj. Félicitation au comité médical qui nous donne satisfaction à tout point de vue. Toutefois, il faut redoubler d’effort pour corriger les dysfonctionnements. Vous êtes des agents de santés certes, mais vous êtes invités à la rigueur et au respect des directives saoudiennes » a t-il dit. Avant d’ajouter que l’atelier du jour visait à renforcer la capacité des animateurs des différents sites de consultations dont le nombre passe de 27 à 30 sur toute l’étendue du territoire national. Pour le hadj 2019, l’une des innovations, c’est l’introduction d’acuité visuelle. Aussi, le Docteur Diaby Moustapha n’ a pas passé sous silence le renforcement du traitement informatique des données. « Il faudra partager l’information avec ceux qui n’étaient pas là. La consultation médicale pré-médicale c’est une première étape dans l’organisation du hadj(…) Surtout que le ¼ des pèlerins sont des personnes vulnérables » a ajouté le Vice- président du commissariat du Hadj. Qui n’a pas manqué de remercier la Direction générale de l’Institut nationale de l’hygiène publique( Inhp) Moussa Kader
Légende photo : le Docteur Diaby Moustapha remet ici symboliquement un échantillon des kits d’évaluation d’acuité visuelle au comité médical
Valorisation des produits obtenus après transformation de la pomme l’anacarde // Une caravane pour vulgariser la collecte de la pomme
mardi, 05 février 2019 09:42 Written by ossey84Les responsables du PROFIAB qui est un Programme de développement du Giz (Coopération Allemande), Mme Veerle Van Waesberghe et M Aka Michel ont animé récemment une conférence pour annoncer la caravane de la pomme d`Anacarde qui sillonnera 5 villes du Nord du pays afin de faire connaitre le fruit et ses multiples produits dérivés après transformation. La caravane se déroulera du 09 au 24 Février 2019. Une sensibilisation prévue dans cinq villes du nord de la Côte d'Ivoire. A chaque étape, il s’agira de faire connaître le fruit "pomme d'anacarde" et "ses multiples produits dérivés" après transformation. Le projet a été présenté à la presse le jeudi 31 janvier dernier dans ses locaux du PROFIAB, de la Riviera Golf-Les Jardins. Cette caravane qui s’inscrit dans le cadre du Programme de développement des espaces économiques et naturels de Taï et Comoé, débutera le 9 février à Bouna et prendra fin à Abidjan le 24 février 2019. Cet évènement financé par le Profiab de la coopération Allemande, est réalisé en partenariat avec le Conseil du Coton et l’Anacarde, l’Office ivoirien des parcs et des réserves (Oipr) et le Minader. Ainsi, cette caravane traversera cinq villes de production de la pomme d’anacarde situé autour du parc de la Comoé (Bouna, Doropo, Koutouba, et Nassian), pour finir dans deux communes d’Abidjan. De l’avis de Veerle Van Waesberghe, la chargée de mission transmission de savoirs et compétences, l’objectif de cette caravane qui se fera en camion podium, sera d’abord de sensibiliser les producteurs et les consommateurs sur les dévirés de la pomme d’anacarde, tout en levant le mythe de toxicité qui entoure cette pomme. Ainsi, dit-elle, des jeux, des séances de dégustation et d’animation, auront lieu dans les localités traversées. Ajoutons que cette rencontre avec la presse a été l’occasion de voir les multiples dérivés de la pomme d’anacarde qui s’ils étaient exploités, pourraient générer une plus- value importante en complément du commerces actuel de noix d’anacarde. Les jus, sirops, liqueurs, bonbons, dêguê, gâteau, (…), pâté. Ce sont autant de dérivés pouvant permettre l’éclosion en Côte d’Ivoire qui produit 5 millions de tonnes de pommes d’anacarde par an, d’une nouvelle économie autour de la pomme d’anacarde, comme c’est déjà le cas au Brésil, au Ghana, au Bénin et au Burkina-Faso. Cette pomme charnue, filandreuse et acide, précise Veerle Van, contient beaucoup de vitamine C, (cinq fois plus que l’orange), en vitamine A et en minéraux. Selon le directeur technique de l’Office Ivoirien des Parcs et des Réserves (OIPR), N’Goran Djê François, le projet de la valorisation de la pomme d’anacarde s’inscrit dans un plus vaste projet. Il s’agit, dit-il, d’impliquer les populations vivant autour des parcs de la Comoé et du Cavally, dans la gestion des parcs. « 40% de la production de cacao de la région Sud-ouest provient des champs situés autour du parc de la Comoé. Cette production est possible grâce au microclimat produit par le parc. Il faut donc le protéger. "La valorisation de la pomme d’anacarde à terme pourra générer des revenus supplémentaires pour les populations autour des parcs qui cultivent déjà l'anacarde" a conclu le directeur technique de l’Oipr.
Bamba Mafoumgbé, Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Légende photo : Jean Miguel Dardé , Consultant en Communication et Marketing du PROFIAB pour cette caravane, Mme Veerle Van Waesberghe et M Aka Michel lors de la cérémonie de lancement
Filière mariage en Côte d’Ivoire // Les acteurs se donnent rendez-vous au ‘Wedding Market’
lundi, 04 février 2019 18:55 Written by ossey84Les acteurs ivoiriens de la filière mariage se donnent rendez-vous du vendredi 08 et samedi 09 Fevrier 2019, dans la cours de la Mairie de Cocody. C’est dans le cadre du ‘ wedding Market’. Belle occasion pour les décoratrices, agences de location de véhicules, pâtissiers et fleuristes, d’exposer leurs savoir-faire. « Il s’agit là, d’une bonne opportunité pour les candidats aux mariages de venir échanger avec les acteurs de la filière ivoirienne du mariage dont les fleuristes. Qui peuvent bien les orienter à maitriser leurs budgets dans l’organisation de leur mariage. Ça devient plus intéressant à la veille de la Saint Valentin de se préparer à offrir une fleur à celle qu’on aime. » Nous indique Madame Mah – Gauze, responsable de la maison Divin’Arts, spécialisée dans l’organisation des évènements et décoration florale. Qui disposera d’un stand lors de cette exposition. Il est à noter aussi que les acteurs du segment de la préparation psychologique et ‘préparation africaine’ des futurs mariés sont attendus à cette exposition
Bon à savoir :Contact : 225 58025072 ou Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Pétrole et Energies/6e promotion du programme du ministère// Abdourahmane Cissé encourage l’excellence
samedi, 02 février 2019 11:54 Written by ossey84Le ministre du pétrole, de l’énergie et des énergies renouvelables, Abdourahmane Cissé a reçu le jeudi 31 janvier 2019 au 20ème étage de l’immeuble Sciam, la 6ème promotion du Programme des Bourses d’Excellence de son ministère. Au nombre de trente-deux (32) bacheliers des séries C & D ayant obtenu la mention Bien ou Très bien , ces étudiants ont été retenus par le programme de bourses. Dans son allocution, la coordonnatrice du programme a rappelé l’origine de cette initiative et a fait le point de la situation de formation de 2013 à 2019.La représentante des bénéficiaires, Mademoiselle Kodjo Massan Sandra Jacqueline, bachelière du Lycée Sainte Marie de Cocody a tenu à remercier le Ministre et ses collaborateurs. Pour elle et ses amis, le Ministre est un modèle, un parangon de réussite qui les inspirera durant tout leur cursus universitaire et leur vie professionnelle. Elle a promis qu’ils travailleront d’arrache-pied pour mériter la confiance que l’Etat de Côte d’Ivoire a placé en eux. Monsieur Kacou, au nom des parents des boursiers, a témoigné leur reconnaissance et leur infinie gratitude à l’Etat de Côte d’Ivoire et au Ministre pour cette importante initiative qui permet aux enfants de différentes couches sociales d’étudier dans des universités prestigieuses à l’étranger. Le ministre Abdourahmane Cissé, S’adressant aux étudiants, leur a prodigué de sages conseils pour qu’ils soient des modèles pour les générations à venir. Il leur a ensuite signifié que leurs performances académiques seront suivies rigoureusement, car il attend d’eux d’être des ingénieurs compétents et accomplis au service de la Nation ivoirienne. Enfin, a -t-il ajouté que seuls ceux qui obtiendront une note de Gpa supérieure à 3.5 par année académique continueront de bénéficier de cette bourse car, le Chef de l’Etat, Sem Alassane Oouattara et le Premier ministre Ahmadou Gon Coulibaly font de l’excellence leur cheval de bataille. Rappelons que ce programme a été initié en 2013, par le ministère du Pétrole, de l’énergie et des énergies renouvelables le domaine des hydrocarbures et de l’électricité.
Moussa Kader
Légende photo Le Ministre du pétrole, de l’énergie et des énergies renouvelables, Abdourahmane Cissé en compagnie des bénéficiaires des bourses d’excellence du ministère
Dgi//Expertise comptable en Côte d’Ivoire// M`Bahia Bamba Maférima décroche son diplôme avec brio
vendredi, 01 février 2019 18:37 Written by ossey84La Directrice générale adjointe (Dga) des Impôts de Côte d’Ivoire, Mme M’Bahia Bamba Maférima, vient d’ajouter une corde à son arc. Elle a obtenu avec brio, le diplôme d’Expertise-comptable (régimes français et Uemoa: années 2017et 2018). La nouvelle Diplômée a été officiellement présentée en compagnie de 31 autres, hier jeudi 31 janvier 2019, à l’occasion de la première Matinale 2019 de l’Ordre des Experts-comptables de Côte d’Ivoire, à la Maison du Patronat, à Abidjan-Plateau, en présence du ministre de l’Économie et des Finances, Adama Koné. Mme M’Bahia Bamba Maférima a été chaleureusement félicitée par le ministre, par le président de l’Ordre des Experts-comptables de Côte d’Ivoire, Koné Drissa; par de nombreuses personnalités du monde des finances, et par des dirigeants d’entreprise présents. Au terme de cette première Matinale de l’Ordre des Experts-comptables, qui avait pour thème «Les nouvelles dispositions de la Loi de Finances pour la gestion de l’État, au titre de l’année 2019 : échanges et discussions», la nouvelle Experte-comptable a exprimé son sentiment à la presse. « Dieu merci, je viens d’obtenir le diplôme d’expertise comptable. Je suis très émue parce que c’est un diplôme noble, qui vous permet d’avoir des normes de travail, des normes de rapport avec les autres. Aujourd’hui, je suis fiscaliste c’est-à-dire experte en fiscalité, experte en comptabilité, deux sciences qui se sont toujours opposées. Je pense que je serai là pour concilier ces deux éléments » a soutenu Mme M’Bahia. Pour elle, ce Diplôme est ’’le couronnement de plusieurs années d’études’’ qui ont débuté en 2008. A l’écouter, le concours s’est déroulé en deux phases: une théorique, et l’autre pratique. Selon la Dga des Impôts, l’obtention de son diplôme d’Expertise-comptable a été possible après de durs labeurs, surtout qu’elle est Agent des Impôts et Fonctionnaire. « Et concilier tout cela avec la Formation d’Expertise-comptable, n’a pas été facile », a-t-elle reconnu. Mais la nouvelle Diplômée entend mettre ses connaissances à la disposition de l’administration, pour contribuer à sa performance. « La comptabilité, comme toute science, évolue très rapidement. On a des évolutions énormes. Dans les années 1970, c’était le plan comptable ivoirien. En 1998, c’était le Syscoa. En 2001, le Sycohada (…). En 2018, c’est le Syscohada révisé. Donc, il faut chaque fois aller se recycler, pour voir les choses, et en même temps, adapter le management », a-t-elle dit.
Moussa Kader
Légende photo : Mme M’Bahia Bamba Maférima,( Dga des Impôts) « il faut chaque fois aller se recycler, pour voir les choses »
Carburant// Nouvelle baisse du litre du super et du gas-oil
vendredi, 01 février 2019 09:00 Written by ossey84
Le prix de l’essence super sans plomb est passé de 610 Fcfa le litre à 605 Fcfa pour le mois de février 2019 en Côte d'Ivoire, soit une baisse de 5 Fcfa, de même que celui du gasoil qui passe de 610 à 605 Fcfa/l, selon une note de la direction générale des hydrocarbures.Le super sans plomb à l’ambiant enregistre un important fléchissement par rapport à l’année précédente. De 640 Fcfa en novembre, 630 en décembre et 610 en janvier, le litre de l’essence s’est établi à 605 Fcfa.Le prix du litre du gasoil, beaucoup utilisé dans le secteur du transport, et qui est longtemps resté inchangé à 610, connaît une nouvelle baisse pour se situer à 605 Fcfa. Le pétrole lampant, fixé à 555 Fcfa le litre, lui, demeure toujours inchangé.Le prix du carburant rush-essays.com évolue en fonction des cours du baril de pétrole, mais aussi de la fiscalité des pays. En Côte d'Ivoire, l’Etat a décidé de procéder à des réajustements au regard du prix du baril sur le marché international.
AP/ls/APA
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Dr Koffi K. Amédé( Ministre de l’Equipement et de l’entretien routier)/ Exigences du Mcc au Fer « Les évolutions sont correctes et conformes aux recommandations »
vendredi, 01 février 2019 07:28 Written by ossey84Le Docteur Kouakou Amédée, ministre de l’Equipement et de l’entretien routier était le 31 janvier 2019, l’invité de « Les rendez-vous du gouvernement », une plate-forme initiée par le Centre ivoirien de communication gouvernementale( Cigc).Avec pour thème : « Impact de l’Etat des routes sur la cherté de la vie dans le cadre du programme social du Gouvernement » Belle occasion pour le lui de présenter dans les détails, qui ce qui est en train d’être fait et qui sera fait par l’Etat ivoirien, en matière de voirie. Se prononçant sur l’Etat de dégradation très avancée de la Côte d’Ivoire, l’invité du Cicg a dit : « Une route, elle vit et meurt. Si elle est faite pour dix ans, après faudra engager des travaux d’entretien. La Côtière a été construite pour dix ans. Nous avons largement dépassé sa durée de vie. Pendant la décennie de crise, il n’y a pas eu véritablement d’entretien. Ce qui est prévu, c’est de construire une autoroute. Les études sont terminées.. En attendant, nous envisageons des travaux de réhabilitation conséquents » En ce qui concerne l’exécution du Programme d’entretien routier 2018, le Docteur Amédée Kouakou Koffi a ajouté que les travaux sont en cours et bien exécutés par les 138 Petite et moyennes entreprises locales. « Nous sommes à un taux d’exécution de l’ordre de 20% et les travaux devraient prendre fin mars2019. Date à laquelle devrait être lancés le Per 2019. » a t-il précisé. S’agissant des exigences du Mcc par rapport au Conseil d’administration et le niveau des ressources du Fonds d’entretien routier( Fer), il a dit que la Côte d’Ivoire est en phase avec les partenaires américains. Selon le Mcc, les ressources du Fer devrait être portées à 20%. Nous étions à 140 milliards de Fcfa. A ce jour, nous sommes à 160milliards de Fcfa. Les évolutions sont correctes et conformes aux recommandations du Mcc » a révélé le Docteur Kouakou Koffi Amedé. Qui n’ a pas manqué l’occasion de faire beaucoup de promesse notamment en ce qui concerne la voirie dans le District de Yamoussoukro. « Les travaux sont confiés à l’entreprise Pierre Fakoury operator( Pfo). Ce que nous avons fait au Plateau, si nous devons le faire à Yamoussoukro, cela va coûter des centaines de milliards de Fcfa. Compte tenu des largeurs des voix. En 2019, la voirie de Yamoussoukro sera améliorée (…) » a annoncé le ministre de l’Equipement et de l’Entretien routier. Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. Légende photo : Docteur Amédé Kouakou Koffi était face à la presse hier dans les locaux de la Primature au Plateau
Réligion//“Affaire l’imam Dramé Moussa prend Position” Les précisions de son service de communication
mercredi, 30 janvier 2019 19:12 Written by ossey84Le service communication de l’imam Dramé Moussa tient à démentir et à faire la précision sur des parutions dans la presse relative à son intervention après son sermon du vendredi dernier. Selon lui, il ne s’agissait pas d’une déclaration des imams de Grand Bassam comme on a pu le voir dans la presse, mais plutôt, d’une prière que l’imam Dramé Moussa a faite pour la paix et la stabilité du pays après la prière de vendredi. Le vendredi 25 janvier2019, après son sermon ; l’imam Dramé Moussa, Ambassadeur de la paix de la Fédération pour la paix universelle (Fpu) et membre de groupe de contact de haut niveau des nations unis, a prié pour la paix, la réconciliation et stabilité du pays. L’imam de la mosquée Fatima Zara de Grand-Bassam a jugé nécessaire qu’à la veille du congrès constitutif du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp), fallait inviter les politiques à privilégier l’intérêt supérieur de la nation qu’est la paix et la stabilité. C’est pourquoi, l’imam Dramé a dit : « Le président Houphouët-Boigny disait souvent que la paix est la seconde religion de la Côte d’Ivoire. Les Ivoiriens ne doivent pas l’oublier ». Aux politiques et à l’ensemble des Ivoiriens, l’imam Dramé Moussa s’est exhorté lui-même et ainsi que les autres à s’attacher à Dieu. « Seul Dieu est capable de réconcilier les cœurs. Que chacun, selon sa chapelle, prie sincèrement le Tout-Puissant, afin qu’il nous vienne en aide. Nous les guides religieux, sommes prêts à accompagner les hommes politiques dans la prière pour la paix », les a-t-il interpellés. Pour clore la série de bénédictions, l’imam Dramé Moussa a exhorté les politiciens de Bassam en ces termes : « Ces deux illustres fils de Grand-Bassam doivent travailler la main dans la main, pour le bonheur de la municipalité centenaire ».Notons que cette prière a été faite pour exclusivement pour la paix et la stabilité du pays et non pour une prise de position quelconque.
Moussa Kader
Légende photo : l’imam Dramé Moussa :« Seul Dieu est capable de réconcilier les cœurs » Source : Sercom
Emmanuel Le Dœuff, Dg et Directeur des Affaires internationales de Biogaran « La Côte d’Ivoire nous semble être la base idéale pour notre développement »
samedi, 26 janvier 2019 18:43 Written by ossey84 Emmanuel Le Dœuff, Dg et Directeur des Affaires internationales de Biogaran
« La Côte d’Ivoire nous semble être la base idéale pour notre développement… »
Le laboratoire pharmaceutique français BIOGARAN, filiale du groupe SERVIER, spécialisée dans les médicaments génériques, annonce le démarrage de ses activités en Côte d’Ivoire. BIOGARAN commercialise en effet depuis début janvier, 14 médicaments issus de sa gamme de plus de 800 spécialités. La cérémonie de lancement s’est tenue en présence de Monsieur l’Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, Monsieur Gilles Huberson et de Monsieur le Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique de Côte d’Ivoire, Dr. Aka Aouélé. La gamme proposée par BIOGARAN couvre un large éventail de pathologies de plus en plus présentes sur le continent africain telles que le diabète, l’hypertension et les infections bactériennes. 11 des 14 médicaments proposés par BIOGARAN sont déclarés essentiels et répondent à des enjeux de santé publique, selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). En Côte d’Ivoire, BIOGARAN propose aux patients des médicaments importés de France, aux standards européens et des à des prix accessibles. Tous les médicaments BIOGARAN sont bio-équivalents aux médicaments d’origine, garantissant ainsi la même efficacité. BIOGARAN s’engage par ailleurs à recueillir tous les cas de pharmacovigilance détectés chez les patients en Côte d’Ivoire.« BIOGARAN souhaite œuvrer en faveur de l’accès aux soins de qualité en Afrique de l’Ouest et Centrale. Nous voulons y proposer des produits aux standards européens, à un prix accessible. Grâce à un climat des affaires favorable et aux facilités logistiques qu’elle offre, la Côte d’Ivoire nous semble être la base idéale pour le développement de nos activités dans la région. Nous souhaitons faire de la Côte d’Ivoire la tête de pont de notre déploiement en Afrique de l’Ouest et Centrale francophone », déclare Emmanuel Le Dœuff, Directeur Général et Directeur des Affaires internationales de BIOGARAN.La santé des populations est une des priorités auxquelles il est nécessaire de s’attaquer pour accompagner et accélérer le développement du continent africain. Au-delà des besoins importants de médicaments efficaces, de bonne qualité et accessibles, le taux de pénétration des produits contrefaits est aujourd’hui très élevé. En effet, l’OMS estime à 100 000 le nombre de décès chaque année en Afrique liés à la consommation de faux médicaments. Par ailleurs, en Côte d’Ivoire, en 2005, 5,7% de la population souffrait de diabète et 21,7% d’hypertension artérielle selon la même étude. La prévalence des maladies cardiovasculaires est en forte augmentation dans les pays africains où la prise en charge des patients s’avère parfois insuffisante.L’engagement de BIOGARAN se traduit également par la mise à disposition en Côte d’Ivoire dans un premier temps, d’échantillons médicaux gratuits dans le cadre de campagnes de dépistage et de sensibilisation à la prise en charge de pathologies cardiovasculaires, organisées par le programme Santé en Entreprise du CIAN (Conseil Français des Investisseurs en Afrique).BIOGARAN est déjà présent en Afrique, au Nigeria, depuis 2017, à travers SWIPHA, une société de production et de distribution de médicaments. Moussa Kader
Légende photo : Emmanuel Le Dœuff, Directeur Général et Directeur des Affaires internationales de BIOGARAN
Ressource animales et halieutiques en 2018:// Le ministre Adjoumani dresse le bilan de santé des filières
jeudi, 24 janvier 2019 19:49 Written by ossey84Le ministre des Ressources animales et halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani a réitéré le , mercredi 23 janvier 2019 , sa volonté d’asseoir un secteur performant, prospère et contribuant à la croissance économique, à la sécurité alimentaire et la lutte contre la pauvreté pour le bonheur des ivoiriens. Réceptionnant les vœux de nouvel an de ses collaborateurs, le ministre Adjoumani s’est félicité de la vitalité qui règne dans ce secteur tout en appelant ceux-ci à redoubler d’effort. Il a rappelé qu’au plan de la gouvernance générale, son département a renforcé ses instruments de politique et son cadre juridique à la suite de l’adoption en 2016 par le gouvernement du Plan Stratégique de développement de la pêche et de l’aquaculture (Psdepa). Pour lui, des initiatives ont été prises pour élaborer les plans d’actions relatifs au développement de l’aquaculture et à la lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non règlementée ainsi que le programme national de renforcement de l’épidemio-surveillance et la stratégie de développement durable des produits halieutiques sensibles au genre. Au plan de la santé animale et de l’hygiène publique vétérinaire, le ministre Adjoumani a souligné que le pays poursuit ses efforts pour garantir à la population ivoirienne une sécurité sanitaire sans faille. «Nos services assurent régulièrement le contrôle et l’inspection sanitaire des denrées alimentaires d’origine animale ainsi que les établissements qui les manipulent. Ainsi en 2018, nos services ont effectué 13 216 inspections, ont octroyé 686 agréments et ont vacciné 98 261 animaux contre diverses maladies notamment la rage canine, le charbon symptomatique, la pasteurellose, la trypanosomose, le charbon bactéridien », a-t-il détaillé. Au niveau de l’aquaculture, l’on observe que la réhabilitation des stations d’alevinage d’Aboisso, de Monpoyem et d’Abengourou ont relancé la production d’alevins, la formation et l’installation des unités de production privée. Au niveau de la surveillance de la pêche, M.Adjoumani a noté que la Côte d’Ivoire peut être fière de disposer d’un centre de surveillance radar et d’un système d'identification automatique satellitaire fonctionnels pour la surveillance de la Zone économique exclusive avec plusieurs embarcations arraisonnées en 2018. En ce qui concerne l’industrie de la pêche le ministre s’est félicité des infrastructures de base qui se mettent en place à le débarcadère de Locodjro, de Grand-Lahou et celui dont les travaux débutent en avril 2019 pour prendre fin en janvier 2020. «Le gouvernement continue de renforcer la compétitivité des entreprises de transformation des produits halieutiques par la prise en charge des créances relatives aux facteurs de production des usines afin de préserver les 3000 emplois occupés généralement par les femmes », a relevé M. Adjoumani. Au niveau de l’aviculture, il a souligné que ce secteur maintient et accroit ses performances de production et de qualité. «Les 32 couvoirs et les six fermes de reproducteurs ont fourni environ 45 millions de poussins d’un jour, pour une production de 49 828 tonnes de viandes de volaille, avec un chiffre d’affaires de 250 milliards de francs Fcfa pour 200 mille emplois crées dont 70 mille emplois directs et 130 mille emplois indirects », a expliqué le ministre. Cette dynamique entend se renforcer a-t-il ajouté avec le projet d’insertion de 3.300 jeunes dans le secteur avicole en partenariat avec le ministère de la Promotion de la Jeunesse et de l’Emploi des Jeunes.
Moussa Kader
Légende photo : Kobéna Kouassi Adjoumi , ministre des ressources animales et halieutiques