Prix garanti bord champ (campagne 2023-2024): Cacao 1000 Fcfa/Kg;  Café  900 Fcfa/Kg

mardi 7 mai 2024
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Activités bancaires en Côte d’Ivoire// La Bicici ouvre son agence de la Riviera Palmeraie

jeudi, 07 mars 2019 19:53 Written by

 La Banque internationale pour le commerce et l’industrie  de la  Côte d’Ivoire( Bicici) continue d’étendre son réseau bancaire.  Avec l’ouverture  de son agence   de la Riviera Palmeraie. Ainsi, désormais la Bicici  dispose  de  44 agences  sur l’ensemble du territoire. Ouverte officiellement le 1er mars dernier, l’agence Bicici Riviera  Palmeraie propose à ses clients une offre défiant toute concurrence : le Credit  Akwaba. En effet, jusqu’au 31 mars, les premiers clients de l’agence pourront bénéficier d’un crédit (*) au taux exceptionnel de 6,5% Ht, remboursable sur 60 mois maximum, applicable aussi bien au crédit à la consommation qu’au crédit-bail. La Bicici avec cette nouvelle agence, entend se rapprocher de sa clientèle de la zone, avec des équipes engagées à offrir le meilleur en matière de services bancaires. « Les équipes de la Bicici Riviera Palmeraie vous attendent du lundi au samedi aux horaires suivants :Lundi : de 12h30 à 15h30. Du mardi au vendredi : de 8h à 15h. Samedi : de 9h à 12h »   nous indique une note du service de communication de la banque 

Moussa Kader  

Légende photo :  Une vue  de l’agence  de la riviera  Palmeraie

Redynamisation de la filière cotonnière ivoirienne// La Cidt se repositionne très bien après le retour au zonage

mercredi, 06 mars 2019 18:44 Written by

  C’est  en  2017 que  la Compagnie ivoirienne pour le développement des textiles( Cidt) a été reprise par  l’homme  d’affaire ivoirien  Daouda Soupkafolo, dejà propriétaire  de la Compagnie ivoirienne  du coton,( Coic). Selon  le site www.jeuneafrique.com,   la Compagnie ivoirienne pour le développement des textiles (Cidt) va mieux. En tout cas  mieux qu’avant   sa privatisation. «   Elle s’acheminait vers le dépôt de bilan, tant ses contre-performances s’enchaînaient dans un environnement très concurrentiel. Sa production annuelle était même descendue à 32 000 tonnes, bien loin des 150 000 t de ses années fastes. Ployant sous le poids d’une importante dette bancaire et sociale, la société ne représentait plus que 6 % de la production nationale, dominée par Ivoire Coton (groupe IPS) et par la Compagnie ivoirienne de coton (Coic) »  indique la  source.  Ce qui avait incité le gouvernement, qui s’était déjà désengagé de certaines entreprises publiques, à céder la Cidt au secteur privé. Un choix qui se révèle aujourd’hui payant. Détenue à 90 % depuis 2017 par l’industriel ivoirien Koné Daouda Soukpafolo (qui avait déjà repris la Coic après la faillite de La Compagnie cotonnière de Côte d’Ivoire [LCCI], filiale du groupe L’Aiglon, liquidé en 2006), qui s’en était emparé pour environ 7 milliards de Fcfa (10,7 millions d’euros), la CIDT vit une renaissance. La production de la campagne 2017-2018 s’est élevée à 65 000 t, soit 5 000 t de plus que l’objectif. Pour celle en cours, la CIDT vise 80 000 t en 2020 et 110 000 t en 2021. « Notre nouvelle stratégie porte sur l’amélioration des rendements. Nous y investissons beaucoup », assure Koné Daouda Soukpafolo.  Une bonne santé   qui intervient  quelques années après le retour au zonage.  Depuis  le 28 décembre 2016, par le décret N° 2016-1153,  le zonage agro-industriel  est institué dans la filière ivoirienne de coton. Dans le principe,   « le zonage   consiste en l’attribution de zones exclusives d’activités pour les sociétés cotonnières sur la base d’une convention de concession et d’un cahier des charges.  » Avait indiqué le Docteur Adama Coubaly, Dg du Conseil du Coton et anacarde lors d’une séance de travail avec  des  cotonculteurs   à Niakara dans le Hambol en 2017.  La filière coton représente entre 5 et 10% des exportations de la Côte d'Ivoire et génère annuellement environ 120 milliards Fcfa de chiffres d'affaires. Selon l'Organisation interprofessionnelle agricole de la filière coton en Côte d'Ivoire, le coton joue un rôle stratégique dans l'économie agricole des zones de savane du pays avec environ 3,5 millions de personnes gravitant autour de cette spéculation en termes d'emplois et de développement de services 

Kader Moussa 

Légende photo :   Koné Daouda Soupkafolo, repreneur  de la Cidt

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Soutien à l’excellence// La Bicici remet un chèque de 10 millions de Fcfa à la Fondation Benianh

mercredi, 06 mars 2019 18:03 Written by

Le Directeur Général de la Bicici, M. Jean-Louis Menann-Kouamé, a remis le vendredi 1er mars 2019, un chèque de 10 000 000 de FCFA à la Fondation Benianh  International. La remise du chèque de l’édition 2019 s’est déroulée au cours d’une cérémonie officielle au Siège de la BICICI en présence de Me Alain Aboa et Mme Sylviane Fontaine respectivement vice-Président et Directrice Générale de la Fondation Benianh International ainsi que leurs collaborateurs. M. Jean-Louis Menann-Kouamé, a insisté sur l’attention particulière que la BICICI accorde aux actions de la Fondation qui «contribue significativement à la promotion de l’excellence et du genre». Il a félicité la Fondation pour le travail accompli dans ce sens. Quant au vice-Président de la Fondation, Me Alain ABoa, il a exprimé son bonheur de trouver en la Bicici «un partenaire privilégié et constant de l'éducation et de la formation». Depuis neuf ans, la Bicici s’est engagée dans un partenariat avec la Fondation Bienianh International afin de l’accompagner dans la mise en œuvre de son Programme des Bourses d’Excellence. La Fondation Benianh International œuvre pour la recherche de l’excellence et la valorisation des compétences par l'octroi de bourses aux étudiants les plus méritants pour parfaire leur formation dans de prestigieuses universités internationales. 

Moussa kader 

Légende photo :   Le Dg de la Bicici et les responsables de la  Fondation Benianh internationale  lors de la cérémonie de remise de chèque

Cacaoculture : Lutte contre la déforestation // Nestlé présente ses engagements

mercredi, 06 mars 2019 08:43 Written by

La multinationale agroalimentaire Nestlé a présenté, mardi, à son siège de Vevey en Suisse, un plan d’action visant à mettre fin à la déforestation et à restaurer les forêts de sa chaîne d’approvisionnement en cacao en Côte d’Ivoire et au Ghana, annonce un communiqué dont  nous avons  a reçu copie. Ce plan fait partie de l’engagement pris par la société de soutenir l’Initiative Cacao & Forêts, un nouveau partenariat public-privé réunissant les gouvernements de la Côte d’Ivoire et du Ghana, ainsi que de l’industrie du cacao et du chocolat, et a également dévoilé le nom de ses fournisseurs de cacao afin d'accroître la transparence. L’entreprise dit avoir « pris l’engagement ferme de parvenir à des produits sans déforestation d'ici 2020 » en renforçant la transparence et la traçabilité dans sa chaîne d'approvisionnement et l’utilisation, déjà en cours, d’une combinaison d'outils, dont compris la certification, la cartographie et l'imagerie par satellite. Alexander von Maillot, responsable de l’Unité d’Affaires stratégiques « Confiserie », a déclaré que « le cacao produit illégalement dans des zones protégées n'a pas sa place dans (le) chaîne d'approvisionnement" de l'entreprise. « Nous travaillons pour mettre fin à la déforestation et à la destruction d'autres habitats naturels issus de nos chaînes d'approvisionnement en produits agricoles, y compris le cacao. Traiter le problème de la déforestation dans le cacao est complexe et une responsabilité partagée. Nous accueillons favorablement l’Initiative cacao & forêts qui regroupe toutes les parties prenantes et nous sommes déterminés à contribuer à la durabilité de la filière cacao pour que la protection de l’environnement y soit alignée sur le développement social et économique des pays producteurs de cacao et des planteurs de cacao ». Ce plan pour le cacao et les forêts repose sur trois piliers que sont la protection et la restauration des forêts, la production de cacao durable et les moyens de subsistance des agriculteurs, l'engagement communautaire et l'inclusion sociale. Il regroupe un ensemble d’activités pour les quatre prochaines années visant à améliorer la vie des producteurs de cacao et la qualité de leurs produits. Il s’agit de l'achèvement de la cartographie des 87 000 exploitations inscrites dans et du renforcement des systèmes de traçabilité des fèves de cacao d'ici 2019, de la mise en œuvre d’un processus d’exclusion des agriculteurs qui cultivent le cacao dans les zones protégées, de la sensibilisation de 38 000 agriculteurs sur l'application de la législation forestière en vigueur dans les deux pays, ainsi que sur l'importance de la protection des forêts d'ici 2022, de la distribution et plantation de 2,8 millions d'arbres d'ombrage d'ici 2022.
Il sera également réalisé deux projets pilotes d’agroforesterie, pour une intégration intelligente des arbres dans les systèmes agricoles d’ici 2022, formés 70 000 agriculteurs sur les bonnes pratiques agricoles, y compris le déploiement de technologies de pointe et de méthodes agricoles pour accroître la productivité (plus de cacao sur moins de terres), fait promotion de l'inclusion financière d'au moins 8 700 agriculteurs en soutenant la création d'associations villageoises d'épargne et de crédit à l'horizon 2022 et distribués 5 000 fourneaux de cuisine améliorés d’ici 2021 afin de réduire la pression sur les forêts et d’améliorer la santé des communautés. En Côte d’Ivoire et au Ghana, l’entreprise suisse dit vouloir renforcer son Plan d'action pour le Cacao et les Forêts en 2019, « car les deux gouvernements devraient établir des cartes indiquant les limites des forêts, réviser leurs politiques et réglementations en matière d'occupation des terres et publier des données sur l’utilisation des forêts et des terres ».
Nestlé adaptera également le plan en tenant compte des enseignements tirés de ces projets pilotes et organisera un certain nombre de consultations avec les communautés productrices de cacao afin de garantir leur participation active à la mise en œuvre de ce plan d'action. 

Moussa Kader

 Légende photo :    Nestlé , en plus de sa politique en cours  entend davantage faire la promotion de l’agroforesterie

SIA 2019// Transformation locale de la noix de cajou et du coton// « La filière ivoirienne se veut un modèle de réussite» selon le Dg du Cca

lundi, 04 mars 2019 08:30 Written by

La 56e édition du Salon  international de l’agriculture( SIA) de  Paris a pris fin. Les participants ivoiriens font le point   de leur présence. Au nombre de ceux-ci, le Docteur Adama Coulibaly,  Directeur général  du Conseil du Coton et de l’anacarde. Approché par l’Agence  Apa,  ce dernier a dit que « La filière coton anacarde de Côte d’Ivoire veut être un «modèle de réussite » dans la transformation locale des matières premières du pays. Depuis ces dernières années, les autorités de la Côte d’Ivoire dont l’essor économique repose sur l’agriculture sont engagées à trouver les moyens et mécanismes pour la transformation locale des matières premières du pays. « La Côte d’Ivoire a démontré qu’elle sait produire en termes d’agriculture. Sur la question de la production nous n’avons plus rien à démontrer, mais sur la question de la transformation, beaucoup restent à faire et la filière coton anacarde veut être un modèle de réussite dans la transformation pour que nous puissions durablement stabiliser les recettes de la Côte d’Ivoire », a expliqué Dr Coulibaly. Selon lui, cette étape de la transformation locale permettra la création de la valeur ajoutée, mais et surtout la création d’emplois pour le bien-être des ivoiriens. « Nous avons 9% de taux de transformation », a-t-il souligné, ajoutant que « l’objectif c’est d’arriver à 60% d’ici trois ans ». «C’est un objectif qui est tout à fait à notre portée et d’ici 2022- 2023 nous pensons pouvoir présenter ce bilan à la Côte d’Ivoire », a promis le Directeur général du Conseil coton anacarde. La Côte d’Ivoire veut transformer 50% de sa production de la noix de cajou d’ici 2023. «Nous avons des moyens qui ont été mis à notre disposition. Je veux parler de ce prêt que nous avons été autorisés à aller contracter auprès de la Banque mondiale à hauteur de 200 millions de dollars, ce qui représentent environ 107 milliards de Fcfa », a confié le Docteur Adama Coulibaly  à  Apa.  Ce prêt est alloué à la transformation de la noix de cajou. Des zones industrielles dédiées à la transformation de la noix de cajou seront construits à Bouaké (Centre-Nord), Bondoukou (Nord-Est), Séguéla (Centre-Est) et Korogho (Extrême nord). Le Conseil coton-anacarde construit actuellement une « usine école » dans la capitale politique et administrative ivoirienne, Yamoussoukro, ce qui devrait hisser davantage la transformation.
  Moussa Kader
 Légende photo :  Le Docteur  Adama Coulibaly, Dg du Conseil du Coton et  de l’Anarcade
 

Uemoa/Facilitation du commerce transfrontalier// L’Alliance Borderless Ci en guerre contre les pratiques illicites

dimanche, 03 mars 2019 21:35 Written by

« Nous interpelons les pouvoirs publics aussi bien que les acteurs privés pour que chacun y mette du sien. Nous plaidons pour le respect des bonnes pratiques pour la réduction des temps de contrôle, pour que les produits de chaque entreprise soient compétitif…», tel est le plaidoyer de Jonas Lago, président de l’Alliance Bordeless Côte d’Ivoire. Il intervenait ainsi récemment à la Chambre du commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire au plateau. C’était à l’occasion de la réunion bilan 2018 et perspectives 2019.Ce autour du thème « respect des bonnes pratiques au commerce et à la facilitation des échanges » du comité national Alliance Bordeless. Il ressort du 34e rapport de l’Observatoire des pratiques anormales (Opa) du 3e trimestre 2018 (1er juillet au 30 septembre 2018) que le montant moyen des perceptions illicites est passé de 16 174 FCfa au 2e trimestre à 32 943 FCfa au 3e trimestre. Ce qui représente une hausse de 104%. L’Opa qui couvre les pays de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa) a mené son enquête sur 10 corridors tels qu’Abidjan-Ouagadougou, Abidjan-Bamako, Dakar-Bissau, Cotonou-Niamey, Lomé-Ouagadougou, etc. A l’échelle de l’espace communautaire, le nombre moyen de postes de contrôles par corridor est de 18,7% contre 12,4% au 2e trimestre soit une augmentation de 51%. Au niveau des frontières, la situation de détérioration de l’indicateur est similaire comparée aux sections routières. Selon le rapport, le montant moyen des perceptions illicites a augmenté de 144% en passant de 8 327 FCfa au 2e trimestre 20 348 FCfa au 3e trimestre. En conséquence, le montant global sur l’ensemble du corridor a connu une augmentation. Il était estimé à 21 173 FCfa au 2e trimestre. Au 3e trimestre, il a atteint 48 769 FCfa soit un taux d’augmentation de 130%. Les données sont généralement collectées par les points focaux recrutés au sein des administrations portuaires (Chambres de commerce et d’industrie, Conseils des chargeurs, transporteurs, chauffeurs, etc…). « Sur les corridors routiers inter-Etats au niveau de la Cedeao, le corridor le plus compétitif aujourd’hui est celui de la frontière entre le Niger et le Bénin, à la frontière de Malanville. Nous encourageons aussi le corridor du port d’Abidjan au Nord, notamment à partir de Ouangolo en passant par Laléraba pour aller au Burkina Faso et par Zégoua pour aller au Mali. Il y a des avancées très notables », fait remarquer Jonas Lago. Pour le directeur général du commerce extérieur, Fadiga Kaladji, par ailleurs président du Comité national de la facilitation du commerce, la rencontre d’Abidjan est la bienvenue d’autant plus qu’elle devrait contribuer à « adresser les problèmes afin de trouver une solution aux obstacles non tarifaires qui bloquent le commerce ». Pour suivre le long des corridors de l’union la levée effective des entraves à la libre circulation des personnes et des biens, la Commission de l’Uemoa avec l’appui des Partenaires techniques et financiers (Ptf) a mis en place depuis 2005, l’Opa. Lequel a publié 33 rapports dont 30 trimestriels, de 2007 à 2018 et trois rapports annuels respectivement en 2015 et 2016 et 2017.

 

Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Légende photo : Lago Jonas, président de l’Alliance Borderless Côte d’Ivoire : « Le corridor le plus compétitif aujourd’hui est celui de la frontière entre le Niger et le Bénin, à la frontière de Malanville ».

Lutte contre cancer en Côte d’Ivoire// Echo Medias lance « mes seins sans cancer »

dimanche, 03 mars 2019 19:22 Written by

 Faire des 365 jours de l’année, des instants de lutte contre le cancer du sein. C’est le combat mené par Echo Médias, qui a lancé ce vendredi 1er mars 2019, à la salle Auguste Saint Denis de la mairie de Treichville, une campagne de dépistage gratuit du cancer du sein dénommée, « Mes seins sans cancer » qui se déroulera du 22 mars au 26 octobre 2019.  Les premières concernées par cette campagne de dépistage gratuit initiée par Echo Médias, les femmes ont pris d’assaut la mairie de Treichville ce vendredi, dans la matinée. Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme. Cette maladie constitue un réel problème de santé publique. En Côte d’Ivoire, 1223 femmes en meurent chaque année sur 2248 nouveaux cas diagnostiqués. Cette situation préoccupante est la raison pour laquelle Echo Médias a lancé la campagne de dépistage gratuit « Mes Seins sans cancer », afin d’informer et sensibiliser la population sur l’importance du dépistage précoce, mais également briser tous ces mythes qui entourent cette maladie. « Nous ne voulons pas susciter de cancérophobie au sein de la population, mais il est important pour les femmes de savoir que cette maladie fait de nombreuses victimes chaque année. Nous souhaitons rassurer nos braves femmes qu’elles peuvent vaincre cette maladie, en guérir si elle est diagnostiquée suffisamment tôt. Plusieurs spécialistes seront mobilisés dans le cadre de cette campagne pour leur prise en charge. Nous invitons toutes les femmes et mêmes les hommes des communes concernées à se mobiliser pour participer à cette opération » a affirmé Leah Muriel Guigui, présidente d’Echo Médias.5000 femmes sont attendues pendant la période de dépistage qui s’étend du 22 mars au 26 octobre 2019, dans les communes de Treichville, Marcory, Port Bouet, Yopougon et Abobo. L’opération se poursuivra l’année prochaine dans les autres communes. Les femmes pourront au cours de ces séances apprendre de techniques pour détecter d’éventuelle anomalie au niveau du sein, l’autopalpation, un geste préventif que le professeur Innocent Adoubi, Directeur du Programme National de Lutte contre le Cancer (PnlCa), conseille vivement aux femmes. « 70% du diagnostic du cancer du sein sont tardifs. Et le chromosome responsable de la maladie peut se transmettre de mère en fille. Mais les causes génétiques ne représentent que 10% contre 90% pour d’autres facteurs. A partir de 25 à 30 ans, les risques de contracter un cancer augmente tous les 10 ans. Cela peut paraître anodin mais lorsqu’une femme a une boule de la taille d’un haricot, elle possède là, plus d’un milliard de cellules cancéreuses. Le cancer du sein se détecte facilement et se guérit mais pour cela, il faut s’y prendre tôt. Et pour cela, vous devez apprendre à faire l’autopalpation afin que toute anomalie constatée, fasse rapidement l’objet d’une prise en charge » a-t-il expliqué. Echo Médias bénéficie dans cette lutte du soutien du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique. Dr Soro Moussa, représentant le ministre Aka Aouélé a exprimé toute sa satisfaction à l’égard de l’ONG qui ne ménage aucun effort pour aider à une meilleure connaissance de cette pathologie lourde de conséquences, afin que des vies soient sauvées. « Nous saluons l’initiative d’Echo Médias dont nous suivons les activités depuis un certain temps. Le ministère de la Santé tient à les encourager et à leur demander surtout, de poursuivre sur cette voie. Il se tient à vos côtés pour vous apporter son soutien car le cancer est une affaire de tous » a-t-il réagi. Le ministre de la ville et maire de la commune de Treichville M. François Albert Amichia le parrain de la campagne « Mes Seins sans cancer » a au cours de cette cérémonie de lancement prodigué quelques conseils aux femmes et jeunes filles présentes, il les a exhortées à venir massivement le 22 mars prochain à l’infirmerie de la mairie pour se faire dépister gratuitement.  Ayoko Mensah Légende photo : La Présidente  de Echo medias Léa Guigui bien entourée  à Sem Abdelmalek Ketani( amb Maroc en Ci) et le ministre François Albert Amichia parrain  de la campagne

Fin du Sia 2019 à Paris// Adjoumani fait le point de la participation de son ministère

dimanche, 03 mars 2019 18:15 Written by

 Au terme du Salon international de l’Agriculture (SIA 2019) de Paris, le ministre des Ressources animales et halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani, s’est réjoui, samedi, au cours d’une conférence de presse, de la bonne participation de la Côte d’Ivoire à cet évènement. Le ministre a souligné que la Côte d’Ivoire a bénéficié de deux grands stands, l’un pour le ministère de l’Agriculture et du Développement rural et l’autre pour son département. Sur ces stands ont été exposés, plusieurs produits locaux et des espèces animales et végétales du pays. Pour l’autosuffisance de la Côte d’Ivoire en matière d’élevage, il a précisé que son ministère est en train de faire le repeuplement des ranchs avec les animaux d’Europe et ceux qui sont sur place. A cet titre, le ministre a été accueilli sur plusieurs stands des éleveurs français notamment Soignon, la Charolaise, les fromages de chèvre (…) en vue de s’inspirer de l’expérience européenne pour booster les performances du secteur de l’élevage en Côte d’Ivoire. «De nombreux contacts ont été tissés pour booster nos secteurs d’activités en Côte d’Ivoire », a rassuré le Ministre Adjoumani. Au niveau de l’aquaculture et la pisciculture, M. Adjoumani a précisé que le tilapia brésilien, exposé à ce salon, fait la merveille en Côte d’Ivoire. Selon lui, ce poisson arrivé en 2015, à Abidjan, au nombre 240 alevins a été multiplié par les experts pour atteindre trois millions à ce jour. Cette espèce a été distribuée aux piscicultures et aquaculteurs en vue de parvenir à l’autosuffisance en matière de poisson, a ajouté le ministre. L’escargot géant Achatina a été l’une des curiosités de ce salon pour les nombreux visiteurs. M. Adjoumani a précisé qu’un partenariat est en cours avec une région française où il y a aussi des escargots en vue du partage des expériences et de la reproduction de cette espèce. Ouvert le 23 février, au parc d’exposition Porte de Versailles, à Paris, le SIA 2019 refermera ses portes ce dimanche.
Aip

 Légende photo :  Le ministre Adjoumani très satisfait  de la participation de la Côte d’Ivoire

8ème édition du festival du tourisme de Dimbokro :// Deux jours pour célébrer la culture et les arts du peuple Agba

dimanche, 03 mars 2019 18:02 Written by

La huitième édition du Festival du tourisme de Dimbokro (Festourdim) a été lancée, lors d'une conférence de presse animée par sa commissaire générale, Djoké N’zué Liliane, directrice départementale du Tourisme et placée sous la présidence du secrétaire général 2 de préfecture, Brigitte Kossonou Vé, samedi, en présence du maire Bilé Amon Gabriel, à Dimbokro. Selon Djoké N'zué Liliane, ce festival placé sous le thème "Fstourdim, facteur de lutte contre la pauvreté en milieu rural", va révéler au monde, la beauté et l’originalité de la culture et des arts du peuple Agba, ainsi que le patrimoine touristique de la région du N’zi, non sans oublier d’offrir de « vastes opportunités d’affaires aux opérateurs économiques notamment ceux de l’hôtellerie, du transport, de la restauration, du commerce et des services divers". Soulignant sa volonté de faire de cet évènement un important rassemblement culturel, véritable produit d’appel pour la région, Mme Djoké, qui attend 10000 festivaliers, a indiqué que Festourdim se déroulera du 30 mai au 1er juin, avec comme pôle d’attraction le N'zi tour, le. Cogestour Village, les découvertes culturelles et de nouveaux talents, le bal poussière chaque soir, le concours culinaire et le concours du beau garçon en pays baoulé. Brigitte Kossonou Vé a salué le travail abattu par la directrice départementale pour la promotion du tourisme à Dimbokro, plaidant pour une direction régionale du Tourisme. Plusieurs prestations d’artiste ainsi que des défilés de candidats au différents concours ont mis fin à cette manifestation.
Ayoko Mensah
Légende photo : Bilé Diéméléou Gabriel,Maire de la Commune de Dimbokro a donné son onction à cette initiative

 

Paris : SIA 2019 // L’Anader annonce la tenue de la Sava à Abidjan

jeudi, 28 février 2019 10:29 Written by

  La capitale économique ivoirienne, Abidjan, va abriter la prochaine organisation de la Semaine africaine de la vulgarisation agricole (SAVA), une première dans un pays francophone. L’annonce a été faite mercredi par l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER) au cours d’une conférence tenue à l’occasion du 56ème Salon international de l’agriculture de Paris (SIA 2019) qui se déroule du 23 février au 03 mars, au Parc d’expositions de la Porte de Versailles, sur le thème “L’agriculture : des femmes, des hommes, des talents”. La SAVA va se tenir simultanément avec la 5ème édition du Salon international de l’agriculture et des ressources animales d’Abidjan (SARA 2019), prévue du 22 novembre au 1er décembre. Son organisation en Côte d’Ivoire a été décidée par l’assemblée générale du Forum africain pour les services de conseil agricole (AFAAS), lors de sa 15ème session ordinaire de 2017 tenue à Durban, en Afrique du Sud. « C’est un forum qui va être l’occasion de conseils agricole et rural, de parler d’instruments de transfert des technologies et de parler aussi de la promotion de la sécurité alimentaire dans nos pays’’, a relevé le directeur général de l’ANADER, Dr Sidiki Cissé. La SAVA (Agricultural Extension Week, AEW) est un événement panafricain biennal qui se tient dans un pays membre de l’AFAAS. Après le Botswana, l’Ethiopie et l’Afrique du Sud, Abidjan accueillera cet événement du 22 au 26 novembre, autour du thème ‘’Secteur privé et conseil agricole : Quelles synergies pour un développement durable de l’agriculture en Afrique ?’’.
 Aip

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