Dans le cadre des retrouvailles 2021 des enfants de la cité des 220 logements, le Premier ministre Patrick Jérôme Achi était dans la commune d’Adjamé où il a passé son enfance. Après la classe de CP1 à Akeïkoi, c'est Adjamé où son père résidait qui va l'accueillir. Son témoignage sur sa page officielle Facebook. « Moi, le petit garçon des forêts de la Mé, qui à 6 ans, il y a près de 60 ans, y découvrit la ville et la vie, l’école et l’écrit, la chaleur humaine d’Abidjan, la mosaïque extraordinaire de la Côte d’Ivoire et cette modernité qui proclamait notre indépendance. Aux 220 logements, nous étions ainsi plus qu’une cité, plus qu’un immeuble, une vraie famille, une joyeuse tribu. Vivante. Plurielle. Soudée. Et parce que les lieux sont aussi des liens, cette « famille », elle continue de se revoir, régulièrement, fraternellement, autour d’une initiative, simplement appelée « Retrouvailles », née au sortir de 2010 et du besoin naturel de partager à nouveau ce qui nous connectait fondamentalement les uns avec les autres. « Retrouvailles » permet ainsi à ceux qui ont vécu aux 220 logements de se rassembler, de se souvenir et de se raconter leurs jours heureux, rejoints évidemment par tous ceux qui aujourd’hui font vivre au quotidien, ce repère essentiel d’Adjamé et d’Abidjan. C’est ce que nous avons fait hier, entre frères et sœurs des « 220 » Et il était important pour moi d’y être. Parce que je crois fondamentalement que nous sommes les lieux où nous avons été. Ils font partie de nous. Ils nous ont éduqués. Ils nous guident. Ils nous donnent l’envie d’avancer. »
Ayoko Mensah : Le Premiers ministre Patrick Achi a communié avec ses jeunes frères et soeurs de la Cité 220 logements d’Adjamé
Source : www.fratmat.info

Récemment, les médias ont publié plusieurs articles sur des personnes peu scrupuleuses qui utilisent la marque QNET à des fins commerciales déloyales et non professionnelles. QNET adopte une approche directe pour répondre à toute allégation douteuse concernant la société.« Nous sommes très transparents en tant qu'entreprise », déclare Malou Caluza, PDG de QNET. « Tout ce que vous voulez savoir sur QNET est disponible sur notre site Web et nos pages de médias sociaux. » Les distributeurs potentiels peuvent également y trouver des informations facilement accessibles. Quiconque confond QNET avec une arnaque n'a pas enquêté sur les réalités de l'entreprise de vente directe. Caluza encourage les gens à « prendre une décision après avoir eu l'occasion de revoir les deux côtés de l'histoire ».
Mme Caluza explique que, pour lutter contre la désinformation à propos de QNET, la société fait de l'éducation et la sensibilisation une priorité. "Nous faisons des campagnes sur les réseaux sociaux, l'engagement des parties prenantes, des programmes de relations publiques, des séminaires, des formations et des événements pour aider les gens à comprendre l'impact positif qu’a la vente directe sur le plan socio-économique ", a-t-elle déclaré. "Nous nous sommes également concentrés sur la sensibilisation du public sur la différence entre les entreprises de vente directe légitimes et les escroqueries pyramidales illégales."Contrairement à une arnaque financière, la vente directe de QNET est une méthode unique de commercialisation et de vente de biens et de services directement au consommateur, loin d'un espace de vente au détail permanent. La vente directe est vulgarisée par la méthode du bouche-à-oreille, c'est pourquoi QNET s'engage à la transparence dans tous les aspects de l'entreprise et de ses produits. En tant qu'entreprise, elle veille toujours au respect des lois et réglementations locales.
Les avantages d'être transparentQNET maintient la transparence interne en communiquant ouvertement avec les employés et en restant honnête sur les opérations de l'entreprise, renforçant ainsi le moral de ceux-ci. En fournissant aux représentants indépendants (IR) un accès aux informations sur l'entreprise et la formation, QNET crée un environnement accueillant et éducatif permettant aux employés d'apprendre à grandir et à réussir. L'entreprise de vente directe sait qu'investir du temps et des ressources adéquates est essentiel pour créer des distributeurs durables et performants. Il n'y a pas de place pour le secret chez QNET.Depuis 1998, QNET fournit à ses clients du monde entier des produits et services distinctifs et exceptionnels. Il permet aux représentants indépendants de créer une entreprise de vente basée sur la promotion de ces produits de haute qualité. QNET a son siège à Hong Kong, avec des bureaux et des agences dans plus de 25 pays à travers le monde. Caluza dit que chacun des meilleurs distributeurs de QNET s'est relevé grâce à un travail acharné et à une volonté d'apprendre. « Ce sont nos meilleurs ambassadeurs pour le message que le succès chez QNET demande un travail acharné et des efforts constants. Une fois qu'un distributeur a travaillé dur et a suivi avec diligence les meilleures pratiques, les résultats seront gratifiants au fur et à mesure que nous les formons. Cela peut prendre du temps, mais ça vaudra la peine d'attendre."
QNET encourage la transparenceQNET comprend l'importance d'avoir une bonne présence en ligne dans notre monde axé sur la technologie. Le site Web de l'entreprise évalue les commentaires des clients en utilisant des critiques et des témoignages. QNET s'engage à offrir le meilleur à ses clients et employés en adhérant à un code de conduite éthique. Être transparents avec les politiques de l'entreprise et les caractéristiques des produits encourage les distributeurs à atteindre leur plein potentiel. Être à la pointe de la technologie a considérablement aidé la société de vente directe tout au long de la pandémie de COVID-19. Et avec des outils qui surveillent et gèrent les données en temps opportun, les distributeurs ont accès aux ressources et aux données disponibles pour mieux servir leur entreprise.La transparence facilite également l'engagement et une communication efficace entre les distributeurs et QNET. Construire des relations commerciales solides est impératif pour le succès de la vente directe. QNET fournit aux distributeurs un processus d'inscription accessible pour les aider à mieux comprendre la formation et les ressources nécessaires pour se développer dans l'entreprise. « Nous avons mis en place l'Initiative QNET Pro », explique Caluza, « qui vise la formation et la sensibilisation de notre réseau. Elle les aide à développer leur activité QNET, de manière légale, professionnelle et éthique. »QNET maintient la plus grande transparence concernant les informations sur les produits et les politiques de remboursement. « Notre département de conformité réseau est dédié aux investigations sur toutes les plaintes que nous recevons du terrain concernant des violations de nos politiques et procédures », explique Caluza. "Ce département applique également des sanctions à ceux qui abusent du nom QNET et nuisent à notre réputation."Lorsque cela s’avère nécessaire, QNET s'engage et collabore avec des parties prenantes externes telles que le gouvernement et les agences de sécurité pour enquêter sur les allégations de fraude et les traiter de manière substantielle. QNET a mis en place une procédure pour résilier les comptes commerciaux des représentants indépendants qui se livrent à des pratiques contraires à l'éthique.Selon Mme Caluza, "Certains distributeurs, contrevenants à l’éthique de QNET, ont fait des déclarations exagérées et non avérées sur l'entreprise ou nos produits", a déclaré Caluza. « Les dommages causés par ces personnes sont considérables et nous avons mis en place des moyens de les retirer de l'entreprise. »QNET propose aux distributeurs un vaste programme de sensibilisation pour les aider à voir au-delà des fausses allégations d'escroquerie faites sur les activités de vente directe. « Il y a beaucoup de désinformation sur QNET. Cela est malheureusement due à un manque de compréhension du secteur de la vente directe dans de nombreuses régions du monde », explique Caluza. "Bien que la vente directe ait plus d'un siècle, elle n'en est encore qu'à ses balbutiements dans de nombreuses économies émergentes et, par conséquent, n'est pas bien comprise. Beaucoup de gens pensent, à tort, qu'il s'agit d'un type de plan financier ou d'investissement, et ils se méfient."Être transparent permet à QNET de développer un réseau de distributeurs suffisamment motivés. « Nous avons des centaines d'histoires de réussite de personnes qui ont transformé leur vie avec QNET », déclare Caluza.A. Mensah  avec SercomLégende photo : Malou Caluza, PDG de QNET : « Nous  encourageons  la transparence 

C’est ce samedi 11 décembre2021, que l’édition 2021, du salon de l’architecture et du bâtiment(Archibat) prend fin au Sofitel Ivoire d’Abidjan. En attendant, les panelistes animent le volet académique. Ainsi, lors du deuxième panel, M. Vincent Badié, architecte et Directeur de l’Urbanisme au Bureau National d’Etudes Techniques et de Développement (BNETD) fut le conférencier principal de ce panel dont la modération a été assurée par M. Richmond Karamoko, architecte et Trésorier général de l’Ordre des architectes de Côte d’Ivoire. D’autres architectes dont Alexandre Kouamé, le Directeur général de l’Urbanisme et du Foncier au Ministère de la Construction, du Logement et de l’Urbanisme. M. Kra Kouamé Kouman, le conseiller spécial du MCLU, Kouadio N’Da N’Guessan et Jérôme Chenal ont apporté leurs contributions aux débats. Le conférencier principal a planté le décor en montrant comment l’urbanisation était très accélérée dans nos villes ; estimant à 60% le pourcentage de personnes vivant dans les villes. Il en résulte que les « villes sont confrontées à des problèmes liés à un développement urbain non maîtrisé ». Le BNETD œuvre pour remédier à cette situation. Cette entreprise est présente dans 17 pays départagés en zone 1 (Côte d’Ivoire, Guinée, Mauritanie, Guinée-Bissau, Sénégal, Burkina Faso) ; zone 2 (Tchad, Bénin, Mali, Niger, Togo) et zone 3 (Cameroun, Centrafrique, République du Congo, République Démocratique du Congo, Guinée équatoriale, Gabon). Avec pour missions le suivi et le contrôle, les études et la conception, l’assistance et le conseil. Ses expertises sont variées ; allant de l’environnement à la formation, en incluant l’innovation, les infrastructures, le bâtiment et l’aménagement territorial, l’économie, les finances, l’industrialisation et l’agriculture. A travers ses domaines d’expertise, M.Vincent Badié a expliqué deux projets initiés par le BNETD, histoire de démontrer la participation des professionnels au cœur du nouveau projet urbain. Le premier projet est celui d’Anyama qui englobe le stade olympique d’Ebimpé et intègre un pôle urbain viable. Le second projet est celui du port sec de Ferkessedougou, qui consiste à réduire les difficultés auxquelles sont confrontées le Port autonome d’Abidjan et lui permettre de consolider sa place de leader dans la sous-région. Le chantier de construction divisé en 3 étapes permettra le développement du pôle économique de la partie septentrionale et celui d’autres régions de la Côte d’Ivoire. Pour assurer le développement urbain d’Abidjan, le conférencier a proposé un Master plan en six axes : axe 1 (Abidjan ville connectée) ; axe 2 (Abidjan ville circulaire) ; axe 3 ( Abidjan inclusive) ; axe 4 (Abidjan ville attractive) ; axe 5 (Abidjan ville productive) et axe 6 (Abidjan ville résiliente).
L’urbaniste Alexandre Kouamé a estimé, pour sa part, que l’offre du BNETD présentée ci-dessus et qui consiste à assurer un développement à partir des pôles urbains, est une bonne chose. Ajoutant que « la politique de lotissement anarchique est une catastrophe ». M. Jérôme Chanel a, quant à lui, soutenu l’idée de prendre en compte les aspirations des jeunes afin de les intégrer dans la réflexion globale. Il opte pour des lotissements de manière qualitative tout en faisant la promotion des pôles urbains avec des espaces publics verts pour les populations. Le Dr Kouadio N’da N’Guessan propose l’intervention des professionnels dans les villes existantes et la création des villes nouvelles, avec des quartiers autonomes et solidaires. Il a lancé la réflexion sur le concept d’un lieu de travail proche du lieu de résidence parce que cela contribuerait à améliorer la qualité de vie des populations.
Ayoko Mensah
Source: Sce Com. Salon Archibat 2021
Légende photo : Le volet scientifique de Archibat2021 a été bien animé

Le panel inaugural du Salon de l’Architecture et du Bâtiment (Archibat 2021) s’est tenu dans la matinée du jeudi 9 décembre 2021 dans la Salle San-Pédro de Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire. Modéré par M. Koupo Gnoléba, vice-président de l’Ordre des architectes de Côte d’Ivoire, il a porté sur « La fabrique de la ville à l’épreuve du foncier marchand dans le District d’Abidjan ». Le Pr Nassa Dadié Désiré Axel, Professeur titulaire de Géographie à l’Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody en était le principal intervenant. Quant au Panel qui a suivi la Conférence inaugurale, il était composé de trois experts de haut rang, à savoir, Kra Kouamé Kouman, Directeur Général de l’Urbanisme et du Foncier, Gnalla Vincent, Directeur Central  Technique de la Sodeci et Coulibaly Mahama, Expert en urbanisme publicitaire, ex-président de la Chambre des afficheurs de Côte d’Ivoire. Le Pr Nassa Dadié a d’abord défini la ville comme ‘’un lieu de concentration et de densification des populations, remplissant des fonctions diversifiées et imposant un mode de vie différent de celui des zones rurales’’. Ensuite, il s’est posé la question de savoir comment Abidjan se fabrique dans un contexte de foncier marchand. Pour répondre à cette problématique, l’universitaire a dans un premier temps convoqué « la fabrique de la ville dans un contexte de foncier étatisé », soutenant à ce niveau que « la fabrique de la ville était planifiée par un Etat fort ». Toute chose qui a conduit à des plans d’urbanismes directeurs (1928, 1952, 1960, 1969, 1974, 1985). De même qu’une conception de la ville en centre et en périphérie. L’orateur indique qu’à cette période, l’on assistait à un monopole étatique de la production foncière, un Code d’urbanisme strict et respecté et la réalisation d’un urbanisme intégral. Évoquant le schéma classique ancien de fabrication de l’espace, il note ‘’une projection matérielle d’un urbanisme technocratique, systématisé et promotionnel, correspondant au mythe et à l’idéologie d’une société « moderne », un urbanisme de qualité, par la maîtrise technique de l’organisation de l’espace et de la production urbaine, une maîtrise du développement urbain selon sa vision’’. Cette maîtrise de la politique urbanistique a permis à l’Etat la création de quartiers bien aménagés et équipés tels que Plateau, Adjamé, Cocody, Yopougon, Marcory, Koumassi, Treichville, Port-Bouët. Puis vient la démonopolisation de la ressource foncière suite à l’ouverture du foncier au marché libéral par la Banque mondiale dans la décennie 1980-1990. « Le foncier devient alors un bien marchand et les populations, des agents entrepreneurs urbains. On assiste à l’apologie du secteur privé, premier responsable du développement urbain et la relégation de l’Etat à un rôle de régulation ».Pour le géographe, cette nouvelle donne est le point de départ du désordre urbain que l’on observe aujourd’hui dans le District d’Abidjan. Une forme de fabrique de la ville hors conception urbanistique, avec son corollaire d’étalement urbain, de ville sous-équipée, non innovante, non inclusive, avec une ségrégation spatiale à forte insécurité foncière, de même qu’une périphérisation de la population. Devant cet état de fait, l’expert a fait des propositions pour la fabrique de la ville aux normes urbanistiques, notamment : la création de mini-centres administratifs en périphérie urbaine, la formation des usagers de la ville à la vie urbaine, le développement d’une ville innovante, ouverte à tous et résiliente .Quant à M. Kra Kouamé Kouman, Architecte-Urbaniste et Directeur Général de l’Urbanisme et du Foncier, il s’est prononcé sur ‘’les grands projets en cours dans le Grand Abidjan’’. Il note que ces projets se justifient par les pressions démographiques, foncières et économiques. Avec une planification urbaine dont la stratégie est fondée sur le Développement durable, l’Etat a engagé de grands travaux multisectoriels dont le train urbain, le transport lagunaire, le Service rapide de bus. Au nombre de projets majeurs, on compte également le Plan d’urbanisme de détail, l’aménagement du bassin versant des Rosiers, l’élaboration du Plan d’aménagement de Boribana, Doukouré et Yao Séi. ‘’La fabrique de la ville : enjeux, processus et acteurs », c’est autour de ce thème qu’est intervenu M. Galla Vincent, Directeur Central Technique de la Société de Distribution d’Eau de Côte d’Ivoire (Sodeci). Il a mis en exergues les initiatives innovantes mises en œuvre par le Groupe Sodeci-Cie pour faciliter le secteur de l’immobilier, notamment le Guichet Unique, qui ne demande plus le déplacement des populations pour satisfaire leurs besoins liés à la fourniture d’eau.  Plusieurs architectes, urbanistes et autres experts immobiliers africains et européens ont pris part à ces échanges de haut niveau. 
 Ayoko Mensah

Source: Sce Com Archibat 2021

Légende photo :  Les  panelistes ont édifié l’assistance