Prix garanti bord champ (campagne 2023-2024): Cacao 1000 Fcfa/Kg;  Café  900 Fcfa/Kg

mardi 30 avril 2024
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Agriculture

Agriculture (153)

Éthiopie// Valoriser l'industrie du café en Afrique// Un forum politique de haut niveau à Addis-Abeba

jeudi, 08 février 2024 15:09 Written by

Un forum politique de haut niveau s'est tenu le 07 février dernier à Addis-Abeba en Éthiopie en marge des assises de la 63ème session annuelle de l'organisation inter africaine de café (Oiac).
Selon une note d'information transmise le jeudi 08 février 2024 à Abidjan.net, cette rencontre modérée par Aly Touré, le représentant permanent de la Côte d’Ivoire auprès des organisations internationales de produits de base à Londres, avait pour thème : « Transformer le secteur africain du café par la valeur ajoutée ».
A en croire la note, l'objectif dudit forum qui a réuni les ministres et chefs de délégation de l'Oiac était d'offrir une plate-forme en vue de partager les expériences et actions entreprises par les pays membres dans le domaine de la valorisation du café.
L'objectif principal de ces assises, ajoute le document, est de parvenir collectivement à une vision stratégique pour valoriser le café africain.
« L'Afrique avec sa riche tradition de production de café occupe une position cruciale sur le marché mondial du café. Malgré son héritage, l'industrie du café africain est confrontée à des défis et opportunités en constante évolution. En vue de libérer ce plein potentiel de l'industrie africaine du café, une focalisation stratégique sur la valorisation est impérative. Cette approche est essentielle non seulement pour améliorer la compétitivité mondiale du café africain, mais aussi pour assurer une croissance durable sur tout le continent », a estimé le document.
Par ailleurs, l'on apprend que ce forum vise à faciliter des discussions approfondies sur les politiques, initiatives et collaborations pouvant booster la chaîne de valeur du café africain en vue d'obtenir un prix rémunérateur pour les producteurs de café. Ce forum de haut niveau, a conclu la note, a recommandé de faire des démarches auprès de l'Union Africaine (Ua) en vue de mettre au cœur de son agenda la problématique du café.
Bamba M.
( Sercom)

Agro-industrie//Céréales et oléagineux// La Côte d’Ivoire participe à deux rencontres internationales aux États-Unis

mardi, 30 janvier 2024 21:25 Written by

Les 56 pays-membres du Conseil International des Céréales (Cic) se sont réunis, les Mardi 23 et Mercredi 24 janvier 2024 à l’occasion de la 59ème session de cette instance intergouvernementale à New Orléans dans l’Etat de la Louisiane aux Etats-Unis d ‘Amérique sous la présidence de Madame Anita Katial, Conseillère Agricole pour le Royaume-Uni d’Angleterre et de l’Ireland du Nord à l’Ambassade des Etats Unis d’Amérique en Grande Bretagne.
La Côte d’Ivoire était représentée par Sem Aly Touré , Représentant Permanent de la Côte d’Ivoire auprès des Organisations Internationales de Produits de Base.
La Côte d’Ivoire a en effet adhéré au Conseil International des Céréales en 1992 et prend part à ses travaux de façon régulière et active.
Le Cic existe depuis 1949 et veille notamment à la mise en œuvre de la Convention sur le Commerce des Céréales, dont la dernière version date de 1995.
Sa mission est d’améliorer le suivi de l’évolution des marchés céréaliers mondiaux ainsi que des politiques céréalières nationales et leur impact sur le marché international.
Le Cic est par ailleurs, un instrument qui vise à renforcer la coopération internationale au niveau du commerce des céréales, à promouvoir l’accroissement des échanges et la transparence de ce secteur et à assurer la stabilité du marché des céréales tout en contribuant à la sécurité alimentaire mondiale.
La 59ème session du Conseil International des Céréales a été précédée par la tenue d’un Forum des Céréales Coorganisé par le Cic et les Etats Unis d ‘Amérique dont le thème était : « Perspectives du Marché des Biocarburants et développement du Marché des Céréales ».
En marge de cette importante session du Conseil, les délégués ont été invités à participer à une visite d’Etude au Port de la Nouvelle Orléans, organisée par l’Association Nord-Américaine des exportations des Céréales.
Des échanges fructueux ont eu lieu entre le Représentant de la Côte d’Ivoire et les acteurs mondiaux de la chaine de valeur du Blé et des Céréales (Monsieur Patrick Hayden, Vice-président de l’Association nord-américaine des exportations de céréales-NAEGA, Monsieur Paul Le Bideau, Chargé de Mission au Ministère Français de l’Agriculture et de la souveraineté Alimentaire, Monsieur Augusto Bassanini, Président Directeur Général de United Grain Corporation, ainsi que les multinationales Cargill et Bayer.
Par ailleurs, l’Ambassadeur Aly Touré a eu une séance de travail avec Monsieur Daniel Whitley, Responsable du Service Agricole Américain à l’Etranger (FAS) au sein du département de l’Agriculture des USA(USDA).
Au terme de cette séance de travail, la Côte d’Ivoire a été invitée à participer à une manifestation dénommée « Agricultural Outlook Forum-Forum agricole mondial sur les Perspectives des Produits de Base » qui se tiendra les 15 et 16 février 2024 en Virginie (USA).
Le Représentant Permanent de la Côte d’Ivoire, a au cours de cette 59ème session du Conseil, fait deux communications : Une Déclaration sur la hausse des prix des produits alimentaires et l’annonce d’une conférence envisagée au dernier trimestre de l’année 2024 à Abidjan- (Côte d’Ivoire). L’objectif de cette rencontre internationale est de mettre en place un cadre de partage en vue de mobiliser les leviers régionaux et internationaux, pour apporter des solutions durables et innovantes à la hausse des prix des denrées alimentaires dans les pays de l’Afrique de l’Ouest. Les Organisations Internationales et Intergouvernementales ont été invités à y prendre part.
Bamba Mafoumgbé

 

Agro industrie//Avec la remontée des prix// Une fin d'année meilleure se dessine pour Palm CI

jeudi, 21 décembre 2023 13:05 Written by

Malgré une baisse de 14% de la valeur de l'huile de palme depuis début 2023, des signes positifs émergent avec une reprise des prix, une demande accrue de l'Inde et des stocks en légère baisse. Ces facteurs positifs prédisent de meilleurs résultats pour Palm CI en cette fin d'année, mais 2023 risque d'être celle d'une première baisse de valeur en bourse depuis 3 ans. Rapporte l’Agence eco fin

Selon cette source, la progression continue des prix de l'huile de palme sur le marché mondial représente une situation positive pour Palm CI, cotée sur la Bourse régionale des valeurs mobilières (Brvm) à Abidjan. A la fin du troisième trimestre 2023, elle a annoncé un chiffre d'affaires de 172,8 milliards FCFA (288,7 millions $), en baisse de 9 % par rapport à la même période en 2022.

« Cette diminution est la conséquence de la baisse du prix de l'huile de palme brute, passant de 618 199 FCFA/T à 597 377 FCFA/T, ainsi que de la diminution du prix de l'huile de palmiste de 44 % (selon les cours mondiaux). Il est à noter que la production d'huile de palme brute et d'huile de palmiste a respectivement augmenté de 6 % et de 2 % entre le troisième trimestre 2022 et le troisième trimestre 2023 », explique-t-elle dans son communiqué.

Bien que la valeur de ce produit agricole reste en repli de 14 % par rapport à leur valeur du début de l'année 2023, des informations du marché indiquent que la récente reprise des prix pourrait perdurer. Malgré l'approche de la période hivernale qui incite le marché à préférer l'huile de soja, les commandes de l'Inde, l'un des gros importateurs, ont atteint un record, trois mois plus tôt.

Cette demande croissante s'accompagne d'une baisse des stocks pour la première fois en sept mois, selon des acteurs du marché cités par l'Agence Reuters. De plus, les récentes attaques subies par des navires empruntant la mer Rouge risquent de prolonger les distances de transport et donc de rendre plus coûteux le transport de ce produit depuis les principaux pôles de production que sont la Malaisie et l'Indonésie (représentant 89 % de la production mondiale).

L'entreprise fait également face à une augmentation des salaires, en raison d'une régulation, qui a relevé le salaire minimum interprofessionnel garanti (smig), et de la hausse des cours des engrais. Les investisseurs attendent la publication des comptes du quatrième trimestre de l'année 2023.

Malgré un dividende de 1348 FCFA, représentant en juillet 2023 un rendement par action de 13 %, la valeur en bourse de l'entreprise a chuté de 35,2 % depuis le début de l'année. C'est la première baisse de valeur qu'elle concède après trois années consécutives de hausse, dont un record en 2021 (210,7 %).

Pour les investisseurs historiques ayant traversé plusieurs cycles de hausse et de baisse des prix de l'huile de palme, l'heure n'est pas encore à la panique. Jusqu'à présent, ceux qui détiennent les titres de Palm CI depuis 5 ans ont généré un rendement global (dividendes + plus-value boursière) de 378,4 %. C'est mieux que celui du secteur agro sur la Brvm et meilleur que le marché dans son ensemble. Mardi 19 décembre 2023, près de 882 000 de ses titres ont été échangés avec un titre en hausse de 4,3 %, signe d'un regain d'intérêt pour les investisseurs.


Bamba M.

Agriculture//Reconstitution des ressources du Fida 13// La Côte d’Ivoire multiplie sa contribution par quatre

vendredi, 15 décembre 2023 17:24 Written by

Le vendredi 15 décembre, au centre de conférences Pierre Mendès France, 139 rue Bercy de París, la Côte d'Ivoire par la voix du Ministre d’Etat, Ministre de l’Agriculture, du Développement Rural et des Productions Vivrières, Monsieur KOBENAN KOUASSI ADJOUMANI, a annoncé le montant d’un million de dollars américains, comme contribution de son pays à la reconstitution des ressources du Fida. C’était lors de la quatrième session de la consultation sur la 13è reconstitution des ressources du Fida (Fida13).

« Nous nous réjouissons de notre collaboration avec le Fida pour la mise en place de l’agropole du Nord-Est. A cet égard, la Côte d’Ivoire, qui ne peut pas gagner seule le pari de la transformation structurelle de l’économie des zones rurales, entend renforcer sa collaboration avec le Fida » a lâché le Ministre d’Etat Adjoumani. C'est pourquoi a-t-il réaffirmé l’engagement du Président de la République, SEM Alassane Ouattara, auprès du Fida pour la mobilisation des fonds pour la 13ème reconstitution de ses ressources.

Pour le représentant de la Côte d'Ivoire, l’engagement de son pays « s’est traduit, depuis le 8 mars 2023 en acte, à travers une augmentation de l’allocation de la Côte d’Ivoire au Fida qui passe désormais de 216 633 dollars US à 1 000 000 de dollars US.

Comme on peut le constater, la contribution de la Côte d’Ivoire pour la 13è reconstitution des ressources du Fida a été multipliée par 4. »

Pour terminer, le Ministre d’Etat Kobenan Kouassi ADJOUMANI a relevé que « l’Afrique dispose d’énormes potentialités, qui, si elles sont mises en valeur, permettront un développement sans précédent de nos secteurs agricoles, et partant, de nos économies nationales. »

C’est pourquoi, il « invite tous les Etats à contribuer, sans réserve, à la 13ème reconstitution des ressources du Fida ».

Soulignons que la 4ème session de la Consultation sur la 13è reconstitution des ressources du Fida (Fida13) prend fin aujourd'hui.

Rappelons que c'est autour du thème : « Le Fida et l’initiative Grande muraille verte : lutter contre la dégradation des terres dans la région sahelo-saharienne » que la deuxième journée de la 4ème réunion du Fida13 a pris fin.
Bamba M. (Sercom MEMINADERPV)

 

Agriculture//4esession de la Consultation sur la Treizième reconstitution des ressources du FIda13// Kobenan Kouassi Adjoumani conduit la délégation ivoirienne

jeudi, 14 décembre 2023 17:45 Written by

La quatrième session de la Consultation sur la Treizième reconstitution des ressources du Fida (Fida13) se tient les 14 et 15 décembre 2023, au centre de conférence Pierre Mendès France, 139, rue de
Bercy, Paris.

La Côte d’Ivoire est représentée à ses assises par le Ministre d'Etat, Ministre de l'Agriculture, du Développement Rural et des Productions Vivrières, Monsieur KOBENAN KOUASSI ADJOUMANI, par ailleurs Gouverneur du Fida pour la Côte d’Ivoire.

A l’ouverture ce 14 décembre, l’on a assisté a l’intervention du Président du Fida,M. Alvaro Lario et celle du Président de la Consultation.

Au cours de cette manifestation parallèle, les intervenants ont présenté les priorités et les stratégies nationales adoptées par l'Angola et la mise en œuvre du partenariat avec le Fida pour transformer l'agriculture et les systèmes alimentaires.

Le Ministre d’Etat Adjoumani prendra la parole demain pour donner la position de la Côte d’Ivoire. Soulignons que le Fida 13 est co organisé par l’Angola et la France.
En Côte d’Ivoire, les prêts du Fida contribuent à réduire la pauvreté en renforçant la sécurité alimentaire des ménages dans les communautés rurales pauvres.

Les programmes et projets financés par le Fida en Côte d’Ivoire aident les organisations paysannes à améliorer la commercialisation des produits agricoles, en misant sur la finance rurale, l'élaboration et le transfert de technologies, et le développement des infrastructures rurales.

Les principales activités visent à stabiliser durablement l'accès des ménages ruraux aux produits alimentaires, quelle que soit la saison et même en cas de pénuries.

Le Fida s'efforce aussi, plus généralement, de renforcer le bien-être des ménages ruraux, en améliorant la santé, les conditions d'hygiène et la nutrition.

Le Fida travaille en partenariat étroit avec le gouvernement, où son principal interlocuteur est le Ministère de l’agriculture, et plus précisément la Direction de la programmation. Le Fida entretient également des alliances de longue date dans le pays avec la Banque mondiale et la Banque ouest-africaine de développement. Le Fida finance des projets de développement agricole en Côte d'Ivoire depuis 1984.
B. M (Source : sercom)

Agro-industrie//Financement de la commercialisation de l’anacarde// Le Dg du Conseil du Coton et de l’anacarde invite les banquiers à accompagner la filière

mercredi, 13 décembre 2023 10:18 Written by



La Côte d’Ivoire dont l’offre est aujourd’hui de 25% de la production mondiale de noix de cajou, est un acteur majeur de la filière anacarde sur le marché international. Mieux, elle veut aller plus loin pour rendre la filière ivoirienne plus de dynamique et compétitive. Avec le soutien du secteur bancaire et financier ivoirien. D’où toute l’importance de l’atelier d’échanges avec le secteur financier sur le financement de la commercialisation de l’anacarde qui a eu lieu le mardi 12 Décembre 2023 à Abidjan.

A l’occasion, le Docteur Adama Coulibaly, Dg du Conseil Coton et anacarde, a dit : « Aujourd’hui, nous produisons 25% de la production mondiale de noix de cajou, soit un peu plus de 1 million de tonnes sur une production mondiale de noix de cajou qui tourne autour de 4 millions. »

Le Vietnam et l’Inde, deux gros producteurs mondiaux, transforment toutes leurs productions. De ce fait, « ceux qui approvisionnent le marché, c’est la Côte d’Ivoire, et sur toutes les noix qui voyagent pour changer de nationalité, la Côte d’Ivoire, représente 40% de ces noix », a-t-il poursuivi. Pour une compétitivité de la filière, le Conseil du coton et de l’anacarde, organe de régulation, a organisé ce mardi 12 décembre 2023 un atelier d’échanges avec le secteur financier sur le financement de la commercialisation de l’anacarde.

« La Côte d’Ivoire produit 1,1 million de tonne, mais ne transforment que moins de 300.000 tonnes et envoie sur le marché mondial, selon les chiffres de cette année, au moins 800.000 tonnes de noix de cajou », a dit le Dr Adama Coulibaly, le directeur général du Conseil du coton et de l’anacarde.
« Quand vous prenez 800.000 tonnes que la Côte d’Ivoire injecte sur le marché international sur tout ce qui est exporté dans le monde, ça représente au moins 40% des noix de cajou qui voyagent », a-t-il fait savoir.


L’Inde produit à peu près 700.000 tonnes, tandis que le Vietnam produit environ 400 à 500.000 tonnes par an selon les années, soit 1,2 à 1,5 million de tonnes de noix de cajou transformées pour les deux pays.
Le directeur général du Conseil du coton et de l’anacarde a donc exhorté les financiers à accompagner la filière cajou, qui selon lui « mérite d’être financée, parce qu’elle est une filière d’avenir, une filière écologique et économique ».
« Nous avons une voie royale devant nous pour faire de cette filière, une filière modèle pour l’économie ivoirienne et une filière contributive de façon significative à l’émergence de la Côte d’Ivoire », a rassuré le directeur général du Conseil du coton et de l’anacarde.
Il a expliqué aux acteurs du secteur bancaire et financier que la filière a mis sur pied des mécanismes de traçabilité. Aujourd’hui, tout acheteur qui doit travailler avec des pisteurs doit disposer d’une carte de pisteur pour opérer au bord champ.
« Chaque année, nous avons entre 1.000 et 1.300 acheteurs qui sont agréés et nous avons autour de 15.000 pisteurs qui reçoivent des cartes de pisteur », a-t-il souligné, ajoutant que « chaque année, nous avons entre 120 et 140 exportateurs agréés ».

L’ambition de la Côte d’Ivoire est la transformation. « Cette année, 262.000 tonnes ont été transformées contre 57.000 tonnes en 2019, 103.000 tonnes en 2020, 136.000 tonnes en 2021 et 224.000 tonnes en 2022, une dynamique que nous souhaitons irréversible », a-t-il déclaré.
Pour sa part, M. Daniel Béké, le représentant du président de l’Association des professionnels de banques et établissements financiers de Côte d’Ivoire (Apbef-Ci ), a indiqué qu’en 10 ans le secteur est passé de 15 à 31 banques et établissements financiers.
« On est passé d’un total bilan qui était autour de 10.000 milliards Fcfa à un peu plus de 20.000 milliards Fcfa, c’est dire que les banques ont multiplié leur voilure par deux, donnant plus de chance à tous les acteurs de capter le crédit », a-t-il assuré.
Le représentant de l’Apbef-Ci a dit souligné que « le défi de structuration de tout acteur qui veut solliciter de crédit auprès des banques », tout en indiquant que les banques s’intéressent à plusieurs secteurs dont celui de l’anacarde où il finance notamment les exportateurs et les transformateurs.
B. M

Agriculture//Autosuffisance en riz // Adjoumani aux côtés des riziculteurs de Diabo

dimanche, 10 décembre 2023 20:44 Written by

Kobenan Kouassi Adjoumani, ministre d’Etat, ministre de l’agriculture, du développement rural et des productions vivrières, est venu à Diabo où il a semé la graine de l’espoir pour l’accroissement de la production en riz dans notre pays. Devant une population sortie très nombreuse lui a réservé un accueil des plus chaleureux. Le ministre d’Etat, ministre de l’agriculture, du développement rural et des productions vivrières a assuré que ses équipes techniques et lui, ont opté pour être aux côtés des producteurs de riz et de vivriers dans le pays.

le samedi 9 décembre demeurera une journée inoubliable pour les femmes de la coopérative « Diabo Ville Emergente », présidée par le cadre du Rhdp, Rebecca YAO. De Diabo, Kobenan Kouassi Adjoumani a lancé un appel solennel aux propriétaires terriens pour faciliter l’accès au foncier rural aux femmes et aux jeunes, « des bras valides qui peuvent produire pour nous nourrir », a-t-il insisté.

Journée marathon

Arrivé assez tôt dans la capitale de la région Gblo, le ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture, du développement rural et des productions vivrières, après les civilités au sous-préfet de Diabo et à la chefferie traditionnelle, avec à sa tête les chefs de cantons de Diabo Gblo Wamla, Kouassi Battey Thomas et Gblo Blè, Allou Yeman III, a mis le cap sur le sanctuaire dédié au Christ Rédempteur construit par Madeleine YAO, cadre de Diabo. Après avoir confié la Côte d’Ivoire, le RHDP et son président, Alassane OUATTARA à Dieu, Kobenan Kouassi Adjoumani a pris la route des champs. C’est à Gnimmienkouadiokro, à 13 Km de Diabo ville que la délégation a découvert le travail de fourmis des femmes de la coopérative « Diabo ville émergente ». A l’opposé du barrage construit par la Motoragri dans les années 70, sur 20 hectares, des parcelles de riz échelonnés. Une visite terrain qui a permis au ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture de rassurer tous les producteurs de riz du pays.
« (…) quand on dit que la Côte d’Ivoire est premier pays producteur de cacao et de noix de cajou, ce n’est pas comme en Europe, avec des plantations sur des superficies de milliers d’hectares mais en Côte d’Ivoire, ce sont de petits producteurs, disséminés çà et là dans les zones de production qui font l’essentiel du travail. Si nous voulons attendre des privés, avec des grands moyens pour faire de la production intensive, nous allons attendre longtemps » a soutenu le ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture, du développement rural et des productions vivrières. Poursuivant, Kobenan Kouassi Adjoumani a assuré que « si le président Alassane Ouattara a voulu mettre un accent sur les productions vivrières, c’est à dessein », annonçant avoir choisi l’option du terrain « pour encadrer les braves femmes et jeunes, qui n’attendent qu’à être soutenus dans le cadre de leurs activités champêtres. »
Bien avant les champs, le ministre d’Etat, ministre de l’agriculture a visité l’unité de blanchiment et de conditionnement du riz connu sous le label, « N’zrama de Diabo ». Au regard de l’exemple de Diabo, le ministre de l’agriculture a soutenu que l’échelonnement de la production permettra d’avoir du riz toute l’année. « Plus que jamais, nous sommes mobilisés pour que dans le domaine du riz, nous soyons souverains » a indiqué Kobenan Kouassi Adjoumani qui a rappelé que la Côte d’Ivoire, sous le président Félix Houphouët-Boigny, dans les années 70, a été autosuffisante en riz. « Le président Alassane OUATTARA, qui marche dans les pas du président Félix Houphouët-Boigny, a la même vision, il se préoccupe du quotidien des Ivoiriens et plus jamais, on ne doit parler de vie chère. Nous devons être sur le terrain pour travailler » a-t-il soutenu. Pour le ministre d’Etat, ministre de l’agriculture, c’est en étant sur le terrain, aux côtés des proKobenan Kouassi Adjoumani, ministre d’Etat, ministre de l’agriculture, du développement rural et des productions vivrières, est venu à Diabo où il a semé la graine de l’espoir pour l’accroissement de la production en riz dans notre pays. Devant une population sortie très nombreuse lui a réservé un accueil des plus chaleureux. Le ministre d’Etat, ministre de l’agriculture, du développement rural et des productions vivrières a assuré que ses équipes techniques et lui, ont opté pour être aux côtés des producteurs de riz et de vivriers dans le pays.

le samedi 9 décembre demeurera une journée inoubliable pour les femmes de la coopérative « Diabo Ville Emergente », présidée par le cadre du Rhdp, Rebecca YAO. De Diabo, Kobenan Kouassi Adjoumani a lancé un appel solennel aux propriétaires terriens pour faciliter l’accès au foncier rural aux femmes et aux jeunes, « des bras valides qui peuvent produire pour nous nourrir », a-t-il insisté.

Journée marathon

Arrivé assez tôt dans la capitale de la région Gblo, le ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture, du développement rural et des productions vivrières, après les civilités au sous-préfet de Diabo et à la chefferie traditionnelle, avec à sa tête les chefs de cantons de Diabo Gblo Wamla, Kouassi Battey Thomas et Gblo Blè, Allou Yeman III, a mis le cap sur le sanctuaire dédié au Christ Rédempteur construit par Madeleine YAO, cadre de Diabo. Après avoir confié la Côte d’Ivoire, le RHDP et son président, Alassane OUATTARA à Dieu, Kobenan Kouassi Adjoumani a pris la route des champs. C’est à Gnimmienkouadiokro, à 13 Km de Diabo ville que la délégation a découvert le travail de fourmis des femmes de la coopérative « Diabo ville émergente ». A l’opposé du barrage construit par la Motoragri dans les années 70, sur 20 hectares, des parcelles de riz échelonnés. Une visite terrain qui a permis au ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture de rassurer tous les producteurs de riz du pays.
« (…) quand on dit que la Côte d’Ivoire est premier pays producteur de cacao et de noix de cajou, ce n’est pas comme en Europe, avec des plantations sur des superficies de milliers d’hectares mais en Côte d’Ivoire, ce sont de petits producteurs, disséminés çà et là dans les zones de production qui font l’essentiel du travail. Si nous voulons attendre des privés, avec des grands moyens pour faire de la production intensive, nous allons attendre longtemps » a soutenu le ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture, du développement rural et des productions vivrières. Poursuivant, Kobenan Kouassi Adjoumani a assuré que « si le président Alassane Ouattara a voulu mettre un accent sur les productions vivrières, c’est à dessein », annonçant avoir choisi l’option du terrain « pour encadrer les braves femmes et jeunes, qui n’attendent qu’à être soutenus dans le cadre de leurs activités champêtres. »
Bien avant les champs, le ministre d’Etat, ministre de l’agriculture a visité l’unité de blanchiment et de conditionnement du riz connu sous le label, « N’zrama de Diabo ». Au regard de l’exemple de Diabo, le ministre de l’agriculture a soutenu que l’échelonnement de la production permettra d’avoir du riz toute l’année. « Plus que jamais, nous sommes mobilisés pour que dans le domaine du riz, nous soyons souverains » a indiqué Kobenan Kouassi Adjoumani qui a rappelé que la Côte d’Ivoire, sous le président Félix Houphouët-Boigny, dans les années 70, a été autosuffisante en riz. « Le président Alassane OUATTARA, qui marche dans les pas du président Félix Houphouët-Boigny, a la même vision, il se préoccupe du quotidien des Ivoiriens et plus jamais, on ne doit parler de vie chère. Nous devons être sur le terrain pour travailler » a-t-il soutenu. Pour le ministre d’Etat, ministre de l’agriculture, c’est en étant sur le terrain, aux côtés des producteurs, pour recueillir leurs besoins afin d’y trouver des solutions pratiques, « qu’on pourra parvenir à la sécurité alimentaire de nos parents, à la souveraineté alimentaire de la Côte d’Ivoire ; il faut soutenir nos parents » a réitéré M.Adjoumani.
Il a assuré que des travaux d’aménagement seront effectués à partir du barrage d’eau pour faciliter le travail en aval des femmes. Déjà le PURGA aide cette coopérative en intrants et en semences de qualité. « Nous devons prouver que nous au travail » a estimé Kobenan Kouassi Adjoumani, qui, a indiqué qu’il faudrait « prouver que nous sommes au travail ». Kobenan Kouassi Adjoumani a annoncé le recensement des terres cultivables disponibles qui seront aménagées et emblavées.
Appui pratique
Joignant l’acte à la parole, le ministre d’Etat, ministre de l’agriculture, qui a été fait chef traditionnel Gblo sous le nom de Nanan Sran Kouamé II, du nom du premier chef de canton de Diabo Gblo Wamla, a offert du matériel de travail, deux motoculteurs et un camion de ramassage à la coopérative « Diabo ville émergente » d’une valeur de 40 millions Fcfa. Il a assuré revenir les mois à venir pour constater l’impact de cet apport technique sur la production et ainsi envisager, la construction d’une plus grande unité de transformation. En ce moment, une mini-moissonneuse sera mise à disposition de la coopérative. C’est dans une folle ambiance que le ministre d’Etat, ministre de l’agriculture a passé cette journée en compagnie de la population du département de Botro, conduite par le corps préfectoral mobilisé pour la circonstance, sous bonne sécurité de la Police nationale et de la gendarmerie nationale.
Rebecca Yao, présidente de la coopérative, a salué l’appui du ministère de l’agriculture tout en relevant sa principale contrainte, qui réside en l’appropriation par la population du riz local sérié en trois variétés. Elle recommande la forte consommation du riz local afin de créer une économie circulaire au bénéfice des femmes.
Bamba Mafoumgbé,( Sercom : MEMINADER PV)
ducteurs, pour recueillir leurs besoins afin d’y trouver des solutions pratiques, « qu’on pourra parvenir à la sécurité alimentaire de nos parents, à la souveraineté alimentaire de la Côte d’Ivoire ; il faut soutenir nos parents » a réitéré M.Adjoumani.
Il a assuré que des travaux d’aménagement seront effectués à partir du barrage d’eau pour faciliter le travail en aval des femmes. Déjà le PURGA aide cette coopérative en intrants et en semences de qualité. « Nous devons prouver que nous au travail » a estimé Kobenan Kouassi Adjoumani, qui, a indiqué qu’il faudrait « prouver que nous sommes au travail ». Kobenan Kouassi Adjoumani a annoncé le recensement des terres cultivables disponibles qui seront aménagées et emblavées.
Appui pratique
Joignant l’acte à la parole, le ministre d’Etat, ministre de l’agriculture, qui a été fait chef traditionnel Gblo sous le nom de Nanan Sran Kouamé II, du nom du premier chef de canton de Diabo Gblo Wamla, a offert du matériel de travail, deux motoculteurs et un camion de ramassage à la coopérative « Diabo ville émergente » d’une valeur de 40 millions Fcfa. Il a assuré revenir les mois à venir pour constater l’impact de cet apport technique sur la production et ainsi envisager, la construction d’une plus grande unité de transformation. En ce moment, une mini-moissonneuse sera mise à disposition de la coopérative. C’est dans une folle ambiance que le ministre d’Etat, ministre de l’agriculture a passé cette journée en compagnie de la population du département de Botro, conduite par le corps préfectoral mobilisé pour la circonstance, sous bonne sécurité de la Police nationale et de la gendarmerie nationale.
Rebecca Yao, présidente de la coopérative, a salué l’appui du ministère de l’agriculture tout en relevant sa principale contrainte, qui réside en l’appropriation par la population du riz local sérié en trois variétés. Elle recommande la forte consommation du riz local afin de créer une économie circulaire au bénéfice des femmes.
Bamba Mafoumgbé,( Sercom : MEMINADER PV)

 

Economie cacaoyère//Accès de nouveaux membres à l’Initiative Cacao Côte d’Ivoire-Ghana (Iccig)// Le Conseil d’administration balise le terrain

jeudi, 23 novembre 2023 18:13 Written by

Le Conseil d’administration de l’Initiative Cacao Côte d’Ivoire-Ghana (ICCIG) a approuvé les lignes directrices pour l’adhésion de nouveaux membres, lors de la réunion du Comité de Pilotage de l ’organisation à Abidjan, ce 23 novembre 2023.
« Nous en sommes à notre troisième année d’existence et, comme d’autres pays ont exprimé leur intérêt à rejoindre l’Initiative, nous avons dû créer un cadre pour que cela se produise. La Côte d’Ivoire et le Ghana contrôlent 60% de l’offre mondiale et nous espérons qu’avec l’adhésion d’autres pays producteurs, cela fera de l’Initiative une force encore plus redoutable sur le marché mondial », a déclaré le Secrétaire exécutif de l’Iccig, Alex ASSANVO.
« Cela renforcera également notre plaidoyer et notre engagement conjoints auprès de l’Union européenne pour la reconnaissance de nos systèmes nationaux de traçabilité et de la Norme ARS 1000 pour le cacao durable, en tant que contributeurs à la conformité de nos produits dans le secteur », a poursuivi Alex ASSANVO. L’état des lieux de l’industrie présenté par le Secrétaire Exécutif a montré que les actions visant à mettre en œuvre la vision de l’Iccig sont en bonne voie et qu’il est essentiel que la question d’un revenu décent pour les planteurs soit au centre de toute démarche de durabilité.
À cet égard, le Conseil d’administration de l’Iccig a salué les recommandations des groupes d’experts mis en place pour établir un Pacte économique pour le développement durable, en vue de concevoir des solutions à long terme pour parvenir à un revenu vital décent pour les producteurs de cacao.
Le Conseil d’administration a également salué les actions des deux pays visant à renforcer leurs systèmes nationaux de traçabilité. Il a été convenu que, sous les auspices de l’Iccig, la Côte d’Ivoire et le Ghana travailleront à la création de comités ad hoc sur la traçabilité afin d’améliorer la mise en œuvre efficace de leurs systèmes nationaux de traçabilité et de partager les bonnes pratiques agricoles.
Enfin, la présidence de l’Initiative a été transférée de la Côte d’Ivoire au Ghana pour l’année prochaine, où c’est le ministre ghanéen de l’Agriculture et de l’Alimentation, Bryan ACHEAMPONG qui prendra la relève.
« Nous saluons l’Initiative pour le travail accompli et les efforts récents visant à sensibiliser le secteur sur l’importance d’un revenu vital pour les agriculteurs et à garantir le pilier économique de la durabilité », a déclaré le Président sortant, le Ministre d’État, Ministre de l’Agriculture, du Développement Rural et des Productions Vivrières, Kobenan Kouassi ADJOUMANI. Et de conclure : « Nous encourageons l’Initiative à mener de nouvelles actions pour consolider les progrès réalisés pour parvenir à une économie cacaoyère pleinement durable, car il n’y a pas de chocolat sans cacao et il n’y a pas de cacao sans nos braves producteurs. »
Bamba Mafoumgbé

Légende photo : Le ministre d’Etat Kobenan Kouassi Adjoumani ( à gauche) de la Côte d’Ivoire passe le témoin au ministre Bryan ACHEAMPONG du Ghana( droite) ( Photo : CCC)

 

Agriculture//Développement des chaînes de valeur des matières premières agricoles // Le Conseil des gouverneurs du Fcpb tient sa 35ème session annuelle

mercredi, 22 novembre 2023 11:58 Written by


Le Conseil des gouverneurs du Fonds commun pour les produits de Base (Fcpb) tient a La Haye au Pays Bas ,  sa 35ème session annuelle, du 21 au 22 Novembre 2023 sous la présidence de S.E Dr Eniola Ajayi (Nigeria).
Selon des sources officielles, la Côte d’Ivoire y prendra part à travers une forte délégation composée de Sem Mifougo Youssouf Diarrassouba, Ambassadeur de la République de Côte d’Ivoire aux Pays Bas, de Sem Aly Touré, Représentant Permanent de la Côte d’Ivoire auprès des Organisations Internationales des Produits de Base et Vice-Gouverneur pour la Côte d’Ivoire, et de Mr Kouacou Kouadio Georges, Conseiller à l’Ambassade de la République de Côte d’Ivoire aux Pays Bas

Faut-il préciser, le Fonds Commun pour les produits de Base auquel la Côte d’Ivoire a adhéré depuis le 29 octobre 1996, se compose de 101 Etats membres et 9 institutions multilatérales. Créé en 1989, il permet d’éradiquer la pauvreté en favorisant le financement de projets de développement des chaînes de valeur des matières premières agricoles ou minières à travers le monde.
Au cours de cette 35ème session, deux points essentiels seront à l’ordre du jour :l‘élection du Directeur Général du Fcpb et le renouvellement des organes de l’institution.
Bamba Mafoumgbé( Sercom)

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Union africaine//5ème session du comité technique spécialisé sur l’agriculture// Kobenan Kouassi Adjoumani à Addis-Abeba

mercredi, 15 novembre 2023 21:38 Written by

La Côte d’Ivoire prend part à la 5ème session ordinaire du comité technique spécialisé sur l’agriculture, le développement rural, l’eau et l’environnement, du 14 au 17 Novembre 2023, à Addis-Abeba, en Ethiopie.
La délégation ivoirienne est conduite par le Ministre d’Etat, ministre de l’agriculture, du développement rural et des productions vivrières, Kobenan Kouassi Adjoumani. Ce dernier, selon des sources officielles ivoiriennes, est arrivé dans la capitale Ethiopienne, Addis-Abeba, ce mercredi 15 novembre 2023, pour participer à cette rencontre aux côtés de ses collègues des autres pays membres de l’Union Africaine.
Le ministre d’Etat Adjoumani est accompagné des techniciens de son ministère. Il faut souligner que ce comité sera marqué par 2 sessions. Il s’agit d’une part de la session des hauts fonctionnaires et experts, et d’autre part de la session des ministres responsables de l'agriculture et de l'environnement, prévues le 17 novembre 2023.L'objectif de ce CTS-ARDWE est d'examiner et de faire des recommandations au Conseil exécutif. Rappelons que la Côte d'Ivoire siégera au bureau du Cts sur l'ARDWE en qualité de 3è vice-président.
B.Mafoumgbé
Source : Sercom MEMINADERPV

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