Economie (966)
Côte d’Ivoire/ les commissions du conseil régional renforcées pour lutter contre la pauvreté dans le Gontougo
samedi, 22 décembre 2018 06:56 Written by ossey84Bondoukou – Le président du conseil régional, Kobenan Kouassi Adjoumani a décidé de renforcer les commissions de son institution pour lutter efficacement contre la pauvreté dans le Gontougo, lors de son investiture, jeudi, à Bondoukou (Nord-est), en présence des autorités administratives, politiques et de la chefferie traditionnelle locale.
« Il faudra que notre programme de gestion régional tienne compte de la pauvreté de nos parents et donc, il faut faire des actions sociales. La base de ces actions, ce sont les commissions », a fait savoir Kobenan Kouassi Adjoumani.
Selon le président, les commissions pendant sa mandature passeront de sept à dix et auront des tâches précises qui leur seront assignées avec un budget bien défini afin de permettre aux équipes choisies de disposer d’un potentiel important pour répondre aux attentes quotidiennes des populations.
« Ces commissions doivent travailler et nous allons exiger que ces commissions aient un petit budget pour faire leur travail pour que les populations se rendent compte qu’il y a des actions sociales qui sont posées et que tout cela concourt au bien-être de nos parents », a-t-il fait savoir.
Lors de cette investiture, M. Adjoumani, par ailleurs ministre des Ressources animales et halieutiques a reconduit Kossonou Ignace au poste de président exécutif du Conseil régional et nommé cinq vice-présidents, à savoir, Ouattara Aboubacar, Tano K. Thompson, Kouassi Kra Vincent, Kouakou Bio Alphonse et Ouattara Mohamed.
Le conseil régional du Gontougo compte 49 membres.
(AIP)
zaar/ask
Arbre de Noel à ‘LA PAGE BLANCHE’ // La Fondation Filta donne de la joie aux pensionnaires
vendredi, 21 décembre 2018 19:44 Written by ossey84« Faire reconnaître la diversité des êtres humains et éliminer toutes sortes de discriminations, notamment celle frappant les personnes porteuses du handicap de la Trisomie, faire comprendre que l’être humain dépasse tout ce qui le limite et le fait souffrir et que par conséquent les individus porteurs du handicap de la Trisomie ont la capacité intrinsèque de s’intégrer à la société dès lors qu’il leur est offert des opportunités adéquates de développement, promouvoir le respect, la dignité de tout être humain, notamment celui portant le handicap de le Trisomie. Oui Solidarité, générosité et respect des différences sont les valeurs au cœur de nos actions » Cette phrase est du ministre Désiré Dallo, Président de FILTA, Fondation Ivanne-Laure Terre d’Amour. C’était ce vendredi 21 décembre 2018, à La PAGE BLANCHE. A l’occasion de l’Arbre de Noel dudit centre. Le Président de FILTA qui est allé les mains chargés a annoncé son soutien ferme aux actions de La PAGE BLANCHE. « Filta sera aidée en cela par le GROUPE Mediterranean Shipping Company , ou Groupe MSC, compagnie de renommée mondiale, 2ème leader mondial du transport de marchandises conteneurisées. C’est d’ailleurs grâce au soutien financier du Groupe MSC que nous sommes ce jour en mesure d’offrir à nos enfants de LA PAGE BLANCHE des cadeaux de Noël. Il faudrait plusieurs LA PAGE BLANCHE dans notre pays pour conforter la qualité de la Côte d’Ivoire comme Etat partie à la Convention des Nations Unies relative aux droits des enfants » Aujourd’hui La PAGE BLANCHE, c’est une institution avec une capacité d’accueil de 35 enfants, demain, elle aura une capacité d’accueil de 150 enfants. Le Président de la Fondation Ivanne-Laure Terre d’Amour a précisé qu'il apportera tout son soutien suivra ledit centre dans la réalisation de cette œuvre sociale visant l’épanouissement de ces enfants et de leurs parents. Aussi, le Président de Filta expliquant les raisons de sa présence aux côtés des enfants handicapés et son engagement dans le soutien à ceux-ci, il dira : « Ivanne-Laure et sa mère, son père, ses frères et sa sœur, c’est une histoire d’amour , amour d’abord dans le cercle familial ; c’est une histoire d’amour que nous voulons étendre à tous ceux qui sont semblables à Ivanne-Laure. FILTA a donc été créée pour partager, aimer, favoriser l’épanouissement des semblables d’Ivanne-Laure. Ainsi FILTA a pour missions : aider et accompagner dans leur développement les personnes handicapées, et en particulier celles porteuses du handicap de la trisomie, soutenir les familles et les institutions d’encadrement de personnes handicapées. Mais aussi et surtout promouvoir la prévention et le dépistage prénatal du handicap de la trisomie. Une structure Leader de la promotion de ces valeurs est l’Association, AREEA, c’est pourquoi FILTA est présente à cette cérémonie. Pour l’encourager dans cette noble tâche et également apprendre » Aussi, le ministre Désiré Dallo a félicité l’équipe du Docteur Dr Dem-Niacadié, la présidente de AREEA, et M. Touré Bema, le Directeur de LA PAGE BLANCHE. Le Docteur Dem – Niacadié a chaleureusement remerciée le donateur pour ce geste à l’endroit des pensionnaires dudit centre. En leur offrant ainsi un peu de joie à la veille de Noel. Aux noms des bénéficiaires, l'enfant Diakité, pensionnaire de la Page blanche a remercié en des mots choisi leur ‘Père Noel’, Désiré Dallo.
Moussa Kader
Légende photo : Le ministre Désiré Dallo, président de FILTA aux côtés des pensionnaires de LA PAGE BLANCHE
Arbre de Noel à ‘LA PAGE BLANCHE’ // La Fondation Filta donne de la joie aux pensionnaires
vendredi, 21 décembre 2018 19:44 Written by ossey84« Faire reconnaître la diversité des êtres humains et éliminer toutes sortes de discriminations, notamment celle frappant les personnes porteuses du handicap de la Trisomie, faire comprendre que l’être humain dépasse tout ce qui le limite et le fait souffrir et que par conséquent les individus porteurs du handicap de la Trisomie ont la capacité intrinsèque de s’intégrer à la société dès lors qu’il leur est offert des opportunités adéquates de développement, promouvoir le respect, la dignité de tout être humain, notamment celui portant le handicap de le Trisomie. Oui Solidarité, générosité et respect des différences sont les valeurs au cœur de nos actions » Cette phrase est du ministre Désiré Dallo, Président de FILTA, Fondation Ivanne-Laure Terre d’Amour. C’était ce vendredi 21 décembre 2018, à La PAGE BLANCHE. A l’occasion de l’Arbre de Noel dudit centre. Le Président de FILTA qui est allé les mains chargés a annoncé son soutien ferme aux actions de La PAGE BLANCHE. « Filta sera aidée en cela par le GROUPE Mediterranean Shipping Company , ou Groupe MSC, compagnie de renommée mondiale, 2ème leader mondial du transport de marchandises conteneurisées. C’est d’ailleurs grâce au soutien financier du Groupe MSC que nous sommes ce jour en mesure d’offrir à nos enfants de LA PAGE BLANCHE des cadeaux de Noël. Il faudrait plusieurs LA PAGE BLANCHE dans notre pays pour conforter la qualité de la Côte d’Ivoire comme Etat partie à la Convention des Nations Unies relative aux droits des enfants » Aujourd’hui La PAGE BLANCHE, c’est une institution avec une capacité d’accueil de 35 enfants, demain, elle aura une capacité d’accueil de 150 enfants. Le Président de la Fondation Ivanne-Laure Terre d’Amour a précisé qu'il apportera tout son soutien suivra ledit centre dans la réalisation de cette œuvre sociale visant l’épanouissement de ces enfants et de leurs parents. Aussi, le Président de Filta expliquant les raisons de sa présence aux côtés des enfants handicapés et son engagement dans le soutien à ceux-ci, il dira : « Ivanne-Laure et sa mère, son père, ses frères et sa sœur, c’est une histoire d’amour , amour d’abord dans le cercle familial ; c’est une histoire d’amour que nous voulons étendre à tous ceux qui sont semblables à Ivanne-Laure. FILTA a donc été créée pour partager, aimer, favoriser l’épanouissement des semblables d’Ivanne-Laure. Ainsi FILTA a pour missions : aider et accompagner dans leur développement les personnes handicapées, et en particulier celles porteuses du handicap de la trisomie, soutenir les familles et les institutions d’encadrement de personnes handicapées. Mais aussi et surtout promouvoir la prévention et le dépistage prénatal du handicap de la trisomie. Une structure Leader de la promotion de ces valeurs est l’Association, AREEA, c’est pourquoi FILTA est présente à cette cérémonie. Pour l’encourager dans cette noble tâche et également apprendre » Aussi, le ministre Désiré Dallo a félicité l’équipe du Docteur Dr Dem-Niacadié, la présidente de AREEA, et M. Touré Bema, le Directeur de LA PAGE BLANCHE. Le Docteur Dem – Niacadié a chaleureusement remerciée le donateur pour ce geste à l’endroit des pensionnaires dudit centre. En leur offrant ainsi un peu de joie à la veille de Noel. Aux noms des bénéficiaires, l'enfant Diakité, pensionnaire de la Page blanche a remercié en des mots choisi leur ‘Père Noel’, Désiré Dallo.
Moussa Kader
Légende photo : Le ministre Désiré Dallo, président de FILTA aux côtés des pensionnaires de LA PAGE BLANCHE
Zone franc/Mise en œuvre des accords de Bâle// Un rapport fait des vagues à la Bceao
vendredi, 21 décembre 2018 13:34 Written by ossey84« Par la voie de sa chargée de la réglementation bancaire à la Direction de la Stabilité financière, la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’ouest (Bceao), Yaye Aminata Seck Mbow, a fortement contesté un rapport que vient de publier le cabinet Finactu concernant l’impact de la mise en œuvre des accords de Bâle sur le système bancaire de la zone franc » Informations rapportées par l’Agence Ecofin. Qui ne manque de préciser de donner des précisions sur le rapport en question et qui a fait l’objet d’une conférence de presse de la part des services compétents de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest,( Bceao). Le rapport intitulé « Mille milliards Fcfa ! Avis de tempête sur les banques de la zone franc » a été réalisé par le cabinet Finctu. En effet, « ce rapport estime que plus de 1000 milliards Fcfa seront nécessaires aux 179 banques implantées dans la zone franc pour se conformer aux nouvelles normes prudentielles prescrites par les accords de Bâle III. Ceci à raison de 744 milliards Fcfa pour la zone Uemoa et environ 300 milliards Fcfa pour la zone Cemac. Concernant particulièrement la zone Uemoa le rapport précise que, ce sont plus de 69% des banques qui seraient touchées par les nouvelles exigences de Bâle III. Parmi elles, toutes les banques présentes dans un seul pays seraient appelées à disparaitre, juge Finactu. « L’application de Bâle III risque d’être fatale aux banques mono-pays au profit de grands groupes bancaires, surtout africains », estime Géraldine Mermoux, Directrice générale associée du cabinet Fincatu dont les propos sont rapportés par l’Agence Ecofin. Une situation qui, selon le rapport, va forcer le marché bancaire de la zone à plus de « concentration et de consolidation »En plus de voir un bon nombre d’acteurs du secteur bancaire disparaitre, le rapport estime les banques vont devoir se réinventer avec plus de « stratégie », en se tournant vers des activités plus rentables et qui « consomment moins de capitaux propres », tout en « optimisant les frais généraux ». Présente lors de la présentation de ce rapport, la chargée de la réglementation bancaire à la Direction de la Stabilité financière de la Bceao Yaye Aminata Seck Mbow, a ouvertement taxé ce rapport de « mensonger ». Dénonçant au passage « un agenda caché » en vue de semer la panique dans le système dans le système bancaire de l’Uemoa au profit de certains groupes bancaires internationaux.
« Les rédacteurs de ce rapport ont fait la preuve d’une méconnaissance totale de ce qui est Bâle III », a-t-elle renchérit. Yaye Aminata Seck Mbow a, par ailleurs, soutenu que la méthodologie utilisée pour la rédaction de ce rapport était totalement mauvaise. Avec en plus des données utilisées qui sont purement « fausses » puisque se basant sur les données publiques des banques à fin 2016, avec certaines approximations. Elle s’est, en outre, insurgée contre les informations contenues dans le rapport concernant la situation réelle des banques internationales(…) présentes dans l’Uemoa. « Savez-vous que certaines banques nationales ont des fonds propres plus importants que des banques internationales d’origine marocaine et européenne présente dans notre zone ? Il donc totalement erroné de dire que toutes les banques mono-pays sont appelées à disparaitre », a-t-elle révélé. La chargée de la réglementation bancaire à la Direction de la Stabilité financière de la Bceao a, par ailleurs, précisé que la Bceao a mené une série d’études auprès des banques de l’Union afin d’évaluer le véritable impact des mesures prudentielles édictées par Bâle III. Et les résultats de cette étude qui « se base sur des données plus fiables » a permis à l’institution de prendre les mesures idoines pour la sauvegarde et la stabilité du système bancaire de l’Ueoa. Poursuivant, Yaye Aminata Seck Mbow, a estimé que, contrairement à d’autres pays tels que le Ghana, le Nigeria et même le Maroc où se situe le siège de Fnactu, la Bceao avait adopté des mesures prudentielles beaucoup moins contraignantes en tenant compte des « réalités de notre zone ».
Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Légende photo : Siège de la Bceao à Abidjan
Dr Coulibaly Adama( Dg du Cca)Législation de la commercialisation de l’anacarde // « Faites nous des propositions(…) »
lundi, 17 décembre 2018 13:45 Written by ossey84La Capitale politique Yamoussoukro abrite depuis ce matin, et ce durant 48 heures, un atelier d’échanges et de renforcement de capacités sur la législation en matière de commercialisation de l’anacarde. Cet Atelier a pour objectif principal d’échanger avec les principaux animateurs de l’appareil judicaire dans les zones de production et d’Abidjan sur les conditions d’une bonne mise en œuvre des textes applicables en matière de commercialisation de l’anacarde, afin de permettre une prise en charge efficace des cas d’infraction ou de conflit à l’occasion de ces activités. A l’ouverture des travaux qui ont lieu à l’Hôtel des parlementaires, le Docteur Adama Coulibaly, le Dg du Conseil du coton et anacarde a salué la forte présence des magistrats notamment ceux en fonction à Abidjan dans les zones de production d’anacarde d’avoir effectué nombreux le déplacement, pour participer à cet atelier de renforcement de capacité. « Merci à ceux qui nous aident sur le terrain dans le cadre de nos activités. Il s’agit de renforcer les capacités de nos collaborateurs car nous sommes parfois confrontés à l’interprétation des textes. Beaucoup de personnes demandent les agréments et appliquent les textes de travers. Beaucoup disent qu’ils n’ont pas besoin d’agrément pour exercer. Le Conseil du Coton et de l’anacarde est fier de l’appareil judiciaire pour l’immense travail abattu sur le terrain. C’est grâce aux magistrats. Il vous appartient de lever les discontinuités et nous faire des propositions. En vue d’un bon déroulement de la campagne de commercialisation de l’anacarde qui sera lancé à la mi-frévier 2019 » a dit le Dg du Cca. Quant à M. Bamba Mamadou, le Président du Conseil d’administration de cet organe de régulation, il a ajouté que cette rencontre s’inscrit dans le cadre de la réforme de la filière coton- anacarde. « Aucun n’étant parfait, il apporter des ajustements .Le gouvernement a apprécié les principes fondamentaux et la mise en œuvre qui est enviée par de nombreux pays producteurs de noix de cajou. Nous voulons ici saluer et féliciter le Dg pour l’initiative de cette rencontre. Nous prenons l’engagement d’intégrer vos propositions et recommandations dans notre gestion pour plus de fluidité dans nos activités » Durant deux jours, les participants auront à identifier les difficultés rencontrées et les contraintes dans l’application des dispositions légales et réglementaires sur le terrain. Mais aussi et surtout relever les moyens juridiques pour lever ces contraintes, particulièrement pour une répression efficace des infractions commises dans le cadre de la commercialisation de l’anacarde. Prennent part à cet Atelier, les magistrats en fonction dans les juridictions de première instance des zones de production de l’anacarde et d’Abidjan, les agents du Conseil du Coton et de l’anacarde, des représentants du Secrétariat général du gouvernement, du ministère de la Justice, du ministère de l’Agriculture et du développement rural, notamment de la Direction des affaires juridiques, du contentieux et de la coopération et de membres issus de l’Institut national de formation judiciaire. Moussa kader, Légende photo :
Le Docteur Adama Coulibaly, Dg du Conseil coton-anacarde
Activités bancaires en Côte d’Ivoire // La Bicici forme des entreprises partenaires
jeudi, 13 décembre 2018 12:19 Written by ossey84La Banque Internationale pour le Commerce et l’Industrie de la Côte d’Ivoire (Bicici), filiale du Groupe Bnp Paribas, en partenariat avec le Cabinet d’audit et de conseil Kpmg, a organisé récemment à l’hôtel Novotel d’Abidjan un séminaire de formation dénommé « Académie des Entreprises ». Destiné à une vingtaine de clients, filiales de multinationales pour la plupart, ce séminaire a traité de deux thèmes principaux : «Introduction à la notion du transfert indirect de bénéfices en Côte d’Ivoire» d’une part, et «Les récentes modifications du statut fiscal des bureaux de représentation en Côte d’Ivoire» lors de cette rencontre, M. Abdelhafid Haned, Directeur de la Clientèle des Entreprises et Institutionnels de la Bicici a précisé qu’Il est important pour nous de convier régulièrement nos clients à ce type d'initiatives et d'avoir un réel échange avec eux» Quant à Mme Nadia Hamilton, Directeur Tax&Legal à Kpmg Côte d’Ivoire, elle a échangé plus en profondeur avec les participants sur les différents sujets du séminaire. Au terme des débats d’une demi-journée, les participants qui ont poursuivi les discussions avec le Directeur Général de la Bicici, M. Jean-Louis Memann-Kouamé, étaient bien outillés pour cerner tous les contours des thèmes développés. En organisant l’Académie des entreprises, les deux parties démontrent leur volonté de contribuer au renforcement des capacités des entreprises. L’Académie des entreprises s’inscrit dans le cadre de la volonté de la structure qu’il dirige d’accompagner ses clients Corporate grâce au dynamisme et à la réactivité de ses équipes commerciales, mais aussi à travers le conseil et le coaching de sa clientèle sur l’environnement global des affaires. Moussa Kader
Légende photo : l’un des formateurs lors du séminaire « Académie des Entreprises ».
Tourisme et Loisir // Une maison dédiée aux femmes à Port-bouet
mercredi, 12 décembre 2018 16:52 Written by ossey84Le ministre du Tourisme et des Loisirs, Siandou Fofana a signé, le mardi 11 décembre 2018 à Abidjan, une convention avec la Province de Yunnan de la République populaire de Chine pour la construction de "la Maison des Loisirs" dédiée à l’autonomisation des femmes à Port-Bouët. "La Maison des Loisirs" est un projet d’un coût de 50 millions dollars soit plus de 25 milliards de Fcfa C’est un don de la province de Yunnan et participe, selon M. Siandou Fofana au renforcement de la coopération entre la Chine et la Côte d’Ivoire. « Cette maison dédiée aux loisirs, trouve son sens et puise son essence dans ce qui est essentiel pour la femme. La femme ne peut vivre ces loisirs que si elle a des moyens. C’est pour cela que cette maison contribuera à leur donner des outils pour un véritable épanouissement social », a-t-il signifié.
Moussa Kader
Légende photo : Siandou Fofana ministre du Tourisme et loisirs
Accès aux sources énergétiques Le Sénégal lance la construction de son premier parc éolien
samedi, 08 décembre 2018 08:52 Written by ossey84Le Sénégal vient de procéder au lancement des travaux du premier parc éolien d’utilité publique en Afrique de l’Ouest. Selon une note remise à la presse, « le Sénégal a l’opportunité de devenir un pionnier de l’énergie propre et un exemple à suivre pour les autres communautés africaines, selon les délégués réunis aujourd’hui pour le lancement des travaux marquant ainsi le début de la construction du premier parc éolien à échelle industrielle en Afrique de l’Ouest. Une fois achevé en 2020, le Parc Éolien Taiba N’Diaye (Petn ) fournira 158,7 Mw d’énergie éolienne propre et renouvelable à plus de 2 millions de personnes au Sénégal. Il constitue un élément essentiel du bouquet énergétique de Senelec et du Plan Sénégal Émergent du gouvernement. Le projet est l’un des nombreux en cours de construction en Afrique par la société de production d’énergie renouvelable Lekela » Plusieurs parties prenantes ont pris la parole devant un public de quelques centaines de personnes qui, collectivement, ont contribué à la transformation du parc éolien, du concept à la réalité. La Senelec et le Maire de Taiba ont prononcé leurs discours portant sur le projet et à son importance pour le pays et ses citoyens. Les fondateurs du projet, Messieurs Bruno Vigneron et Jeannot Schlernitzauer, M. Chris Antonopoulos, Pdg de Lekela, et M. Massaer Cisse, Directeur Général de Lekela au Sénégal étaient également présents lors de ladite cérémonie. Parallèlement à la création de centaines d’emplois au cours de la phase de construction, le Petn déploie également un programme socio-économique plus large dans la région de Taiba N’Diaye, créant ainsi des sources de revenus à long terme pour les communautés locales. Des projets visant à améliorer l’agriculture locale, à favoriser des possibilités de formation professionnelle et à rénover ou à construire des infrastructures locales, caractérisent le lancement de ce programme qui se déroulera pendant 20 ans, et qui investira jusqu’à 20 millions de dollars soit plus de 10 milliards de Fcfa, sur la durée de vie du parc éolien. Un nouveau marché a déjà été érigé pour la communauté agricole de Taiba N’Diaye, tandis qu’un nouveau centre informatique est en cours de construction pour les élèves de la région. Le parc éolien de 46 turbines de la marque Vestas, devrait être en pleine phase opérationnelle dans moins de deux ans et fournira plus de 450 000 Mwh d’énergie par an. Cela représente une augmentation d’environ 15 % à la capacité de production du Sénégal. Le Plan Sénégal Émergent, un programme gouvernemental destiné à accélérer le développement économique, a joué un rôle déterminant pour la réussite du projet. Chris Antonopoulos, Président-Directeur Général de Lekela, a déclaré : « Le Sénégal a rapidement adhéré à l’idée et aux avantages des énergies renouvelables. Entre le parc Éolien Taiba N’Diaye et plusieurs projets d’énergie solaire également en cours, le pays est en train d’établir un modèle clair d’énergie propre que les autres communautés africaines pourront étudier et suivre. »« Une énergie propre, fiable, produite rapidement et qui réduit le besoin d’importer des combustibles fossiles coûteux est une formule très attractive. Cependant, beaucoup de gens ont dû travailler dur et réfléchir pour transformer ce concept en 46 éoliennes et en énergie propre pour 2 millions de personnes. Aujourd’hui, nous célébrons ces efforts et nous remercions tous ceux qui, au Sénégal et au-delà, nous ont aidés à en arriver là. » Aly Lo, Maire de Taiba, a déclaré : « Le Petn jouit de la confiance de la population de Taiba N'Diaye, qui soutient pleinement ce projet qui offre déjà des avantages directs et indirects, notamment par la création d’emplois et d’infrastructures et de services pour les travailleurs, qui auront des retombées positives pour la région(…)En outre, des initiatives ont été mises en place pour rénover le marché, fournir du matériel pédagogique aux écoles de la région et une salle informatique au Lycée de Taiba Ndiaye. Le projet laissera un héritage aux générations futures. » conclue la note. Bamba M.
Fin de la 77e plénière du Conseil consultatif coton Les recommandations d’Abidjan
samedi, 08 décembre 2018 08:32 Written by ossey84La 77ème Réunion plénière du Conseil consultatif international du coton( Ccic). Rendez-vous est pris pour Australie en 2019. En attendant, on peut le dire sans se tromper, des propositions concrètes ont été faites à Abidjan. « Selon les résultats du comité scientifique desdites assises, les participants ont fait des propositions sur l’augmentation des rendements, la lutte contre les ravageurs et la production mutualisée des semences à haut rendement. Mais aussi et surtout la traçabilité de la production cotonnière » a indiqué le Docteur Adama Coulibaly, Directeur général du Conseil du coton et de l’anacarde, par ailleurs, président du comité d’organisation. Aussi, il a ajouté que les participants ont également planché sur l’utilisation des innovations technologiques dans la lutte contre les ravageurs. Surtout l’utilisation des drones. « Nous entendons tirer le maximum de de ces technologies et innovation y compris les drones. Ce pour détecter les attaques des ravageurs, les plants susceptibles d’être maladies. Autant de sujets que nous allons capitaliser dans les jours à venir. En ce qui concerne la lutte contre les effets des changements climatiques, il a été préconisé de semer à bonne date. Les cotonculteurs doivent s’adapter à la culture de variétés à cycle cours avec lesquels, il est possible d’avoir des fibres en moins de trois mois. » , a dit le président du Comité d’organisation. Faut-il parler de menace des fibres synthétiques ? Vraiment pas ! Car la demande de fibre est en ce moment plus forte que la production mondiale de coton. Des experts en la matière estiment que l’avenir du coton est devant nous. Au nom de Sangafowa Mamadou Coulibaly, ministre de l’Agriculture et du Développement rural, son directeur de cabinet Coulibaly Siaka Minayah a adressé les félicitations du gouvernement aux participants venus d’une quarantaine de pays. A noter que la production ivoirienne de coton atteindrait ainsi 470 000 tonnes contre 413 000 tonnes réalisées sur la campagne 2017/18. L’objectif formulé en début de campagne était de 500 000 tonnes. Le gouvernement ivoirien a fixé pour objectif 600 000 tonnes d'ici 2020.
Moussa Kader
Légende photo : le Docteur Adama Coulibaly ,président du Comité d’Organisation de la 77e plénière du Ccic
Recettes des collectivités territoriales // Les comptables publics sensibilisés sur le recouvrement électronique
samedi, 08 décembre 2018 08:05 Written by ossey84Des comptables publics composés de Trésoriers Généraux, Payeurs de District et de Région, Trésoriers Principaux et Trésoriers se sont réunis à l’hôtel Président de Yamoussoukro ce vendredi 07 décembre 2018. A l’invitation de la Direction Générale du Trésor et de la Comptabilité Publique (DGTCP), ils y sont pour être sensibilisés sur le recouvrement électronique des recettes propres des collectivités territoriales. La rencontre est présidée par Pierre Gnagnély Meless, Conseiller technique représentant le Directeur Général du Trésor et de la Comptabilité Publique, et Boniface Oulaï de la Direction générale de la décentralisation et du développement local et Ali SANGARE, Payeur Général du Secteur Parapublic. En effet, dans la dynamique d’optimiser la mobilisation des ressources intérieures en vue de faire face à l’amenuisement de l’aide publique au développement, la DGTCP a opté pour le recouvrement électronique des recettes propres des collectivités territoriales à travers un système électronique de collecte et de recouvrement dénommé « Net Collect-Services » actuellement en expérimentation.Cette innovation, selon le Représentant du Directeur Général, constitue une réponse adaptée aux difficultés jusqu’ici relevées au niveau de la mobilisation des ressources propres des collectivités territoriales.« Après Abidjan le 03 décembre dernier, nous sommes ici (ndlr : Yamoussoukro) pour permettre aux comptables publics de s’imprégner du fonctionnement de la plate-forme, du champ de compétence de l’opérateur et des acteurs intervenant dans le processus de recouvrement électronique au regard des règles des finances publiques », a indiqué Gnagnely Meless.Pour sa part, Sékongo Clotcho, Directeur Général de BMI international consulting Côte d’Ivoire, a démontré qu’il s’agit d’une solution efficace à la réduction efficiente de la déperdition, à l’optimisation de la des ressources des collectivités territoriales et à une meilleure gouvernance dans l’économie des communes.Ainsi, bâti sur une plate-forme monétique avec une interface web, « Net Collect-Services » permet de suivre à temps réel toutes les opérations de collecte sur le terrain.Cette solution technologique a été conçue par BMI international consulting Côte d’Ivoire, société ivoirienne de droit privé, spécialisée dans la conception, le financement et la mise en œuvre de projets intégrés de développement communautaire et de sécurité urbaine.« Net Collect-Services » a déjà permis de constituer une base de données fiable pour ces communes et contribué à maîtriser le potentiel fiscal desdites communes et d’améliorer significativement leur recouvrement par des moyens modernes de collecte. Des échanges entre les comptables publics et le promoteur du « Net Collect-Services », étaient au menu des travaux en vue d’une appropriation de cet outil d’une part, et d’autre part, de la définition de son champ de compétence conformément à la règlementation en matière de recouvrement.
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Insécurité: Le Mobil Banking une solution efficace contre l’insécurité dans le monde rural
mercredi, 05 décembre 2018 17:52 Written by ossey84 Face à la recrudescence des braquages, l’on est tenté de se demander s’il ne faudrait vulgariser à grande échelle, le mobile Banking dans nos campagnes. Précisément de zones de production des spéculations comme le cacao, le café et la noix de cajou. Des projets pilotes portés par la Société financière internationale( Ifc) l’ a implémenté dans le sud-ouest ivoirien et ça marche bien. Selon Omeneka M. de l’Ifc, « le taux de l’inclusion financière a quasiment doublé entre 2014 et 2017. Passant de 12 à 23%. ( …) l’Ifc a un projet dans ce sens avec les producteurs de cacao et cela leur permet de mieux épargner à travers le mobil Banking »Des structures de microfinance internationale comme Advans.ci sont également sur le coup avec des coopératives café-cacao et d’anacarde. Aujourd’hui acteur majeur de la filière cacao où elle opère depuis 2013, l’institution de microfinance Advans CI après deux années d’essai fructueux, s’est lancé dans la filière anacarde en signant avec Perform World SA, une société d’exportation et de négoce de produits agricoles, positionnée parmi les quatre premiers exportateurs nationaux de noix de cajou, une convention de financement de 3 milliards Fcfa. Les prêts seront accordés par Advans Ci à une vingtaine de sociétés coopératives d’anacarde sélectionnées par Perform World SA pour leur permettre de s’équiper en camions pour la collecte de leur production et aussi faire face à leur besoin en fonds de roulement. Les producteurs d’anacarde sélectionnés bénéficieront chacun de crédits allant jusqu’à 200.000.000 Fcfa, pour un financement d’une valeur totale de 03 milliards Fcfa annoncé pour l’année 2018. En effet, « les fournisseurs pris en compte dans le cadre de la convention sont implantés dans les zones de production de l’anacarde, à l’intérieur du pays et notamment dans les villes de Korhogo, Daloa, Bouaké,Bondoukou et Boundiali. Cette année, Advans CI envisage de développer de nouvelles synergies et de poursuivre ses efforts en faveur de l’inclusion financière à travers la bancarisation et l’accompagnement des populations urbaines et rurales en marge du système bancaire classique ». Le mobile Banking a l’avantage de sécuriser leurs revenus. Avec le Mobile banking, les clients peuvent désormais ouvrir instantanément leur compte bancaire mobile à distance, tout en bénéficiant de services innovants d'un simple glissement de doigt. Les banques mobiles (mobile banking) enregistrent une « percée fulgurante » en Côte d’Ivoire ces dernières années avec près de 20 millions d’abonnés, selon l’Association des professionnels des banques et établissements financiers de Côte d’Ivoire (Apbef-ci). Qui ne manque pas de mentionner une percée fulgurante de mobile banking en Côte d’Ivoire 19 à 20 millions de clients sur une population de 24 millions d’habitants. C’était en janvier 2015. Bamba MafoumgbéLégende photo : (Kiosque mobile money, barrer le logo de l’opérateur mobile) bien vulgarisé le mobile Banking peut contribuer à sécuriser l’épargne dans le monde agricole
Organisation internationale du sucre// L’ivoirien Aly Touré prend la vice- présidence
mardi, 04 décembre 2018 17:02 Written by ossey84L’Organisation Internationale du Sucre (Ois) a tenu, à Londres, au Royaume-Uni, la 54ème session du Conseil International du Sucre et ses organes subsidiaires, du 27 au 30 Novembre 2018. Cette réunion du Conseil était présidée par la vice-présidente, Madame Nicola Hinder (Australie), en l’absence du Président en exercice, Son Excellence Monsieur Endaweke Abite Degefu, Directeur Général de l’Ethiopian Sugar Corporation. L’Ois est un organisme intergouvernemental, créé en 1968, pour administrer les différends Accords Internationaux sur le Sucre, dont le dernier en date est l’Accord International de 1992. Son rôle est de promouvoir le commerce et la consommation du sucre, suivre l’évolution du marché sucrier mondial et encadrer les politiques sucrières nationales. Basée à Londres, l’Organisation Internationale du Sucre compte 87 Etats-Membres qui représentent 87% de la production mondiale de sucre, 68% de la consommation mondiale de sucre, 90% des exportations mondiales et 40% des importations mondiales. La Côte d’Ivoire participe de façon active aux réunions de l’Ois, dont elle est membre depuis le 23 mars 1993. C’est ainsi qu’elle siège au sein du Comité Administratif de cette Organisation depuis 2016, à travers la personne de Sem Aly Touré, Représentant Permanent de la Côte d’Ivoire auprès des Organisations Internationales de Produits de Base à Londres. Le Comité Administratif est l’organe consultatif du Conseil, organe suprême, lui faisant des recommandations sur les questions financières et administratives de l’Ois. La 54ème session du Conseil s’est penchée, en particulier, sur la question importante de la révision ou non de l’Accord International sur le Sucre de 1992, sans parvenir à une décision consensuelle. Elle a, par ailleurs, élu respectivement, Madame Hinder et S.E.M. Aly Touré, en qualité de Présidente et Vice-président du Conseil International du Sucre pour l’année 2018/19.Cette session a été précédée par la 27ème édition du Séminaire International du Sucre dont le thème « Réforme du secteur sucrier : Menace ou Défi ? », a attiré plus de 400 participants venus de 60 pays à travers le monde. La Côte d’Ivoire, qui vise l’augmentation de sa production en sucre pour être autosuffisant, continuera de prendre une part active à ces assises afin de tirer parti des expériences réussies de développement durable du secteur sucrier des autres Pays-membres, ainsi que des opportunités de coopération offertes et facilitées par l’Organisation Internationale du Sucre.Une correspondance particulière
Guinée équatoriale / Marché mondial du Pétrole/ Gabriel Obiang Lima : « L’unité des nations productrices n’a jamais été aussi importante(…) »
lundi, 03 décembre 2018 21:17 Written by ossey84« Le Ministère des mines et des hydrocarbures, représentant le gouvernement de la Guinée équatoriale, appelle à l’unité des producteurs de pétrole avant que ne se déroule cette semaine la 175e réunion ordinaire de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) à Vienne. La réunion arrive à un moment crucial pour l’organisation alors qu’elle lutte contre des cours du baril en déclin et doit se décider quant à prolonger les coupes de production qui ont jusqu’ici stabilisé les marchés pétroliers mondiaux et sauvé l’industrie de sa chute » rapporte un comité de presse émanant du gouvernement équato-guinéen istribué par APO Group dont nous avons eu copie. Selon ladite note, « La Guinée équatoriale se joint aux pays membres et non-membres de l’Opep, renouant son soutien au fort leadership dont ont fait preuve les pays membres et S.E. Mohammad Barkindo durant une période complexe pour l’industrie des hydrocarbures » Dans cette note, S.E. Gabriel Mbaga Obian Lima, ministre des Mines et des Hydrocarbures de la Guinée équatoriale ajoute que : « L’unité des nations productrices n’a jamais été aussi importante que maintenant au cours de notre histoire. Nous appelons les pays producteurs à être soudés et à faire preuve de solidarité avec l’Opep et avec notre frère S.E. Mohammed Barkindo, dans un effort commun pour maintenir l’équilibre et la stabilité des marchés pétroliers, » La Guinée équatoriale a adhéré à l’Opep en 2017, après avoir été partie prenante des accords de coupe de production initialement conclus avec les pays non-membres de l’Opep en 2016. Suite au crash de 2014, l’économie rentière de la Guinée équatoriale est entrée en récession. A l’horizon 2019, en revanche, la Guinée équatoriale s’attend à recevoir 2,4 milliards de dollars d’investissements étrangers et à forer huit puits d’exploration. Ses espoirs pour 2019 ne sont pas uniques en Afrique, continent qui a connu les plus grandes découvertes récentes d’hydrocarbures et s’apprête à accueillir de nouveaux producteurs, comprenant le Sénégal, l’Ouganda, la Mauritanie et le Mozambique. La collaboration des producteurs membres et non-membres de l’Opep à s’engager et adhérer aux coupes de production a notamment mené à la Déclaration de coopération historique de 2017. L’accord majeur est largement crédité pour avoir stabilisé les marchés pétroliers et déclenché une nouvelle vague d’investissement en exploration, ce qui est crucial pour des nations africaines comme la Guinée équatoriale. « Il y a seulement deux ans, l’industrie des hydrocarbures était en péril et les nouveaux investissements dans la chaîne de valeur étaient mis en arrêt ou complètement annulés» a déclaré S.E. Gabriel Mbaga Obiang Lima. Qui termine : « Mais les marchés ont connu une récupération remarquable, due en grande partie à l’engagement de tous les pays membres et non-membres de l’Opep à la Déclaration de coopération historique. Dans cet environnement, les compagnies pétrolières et gazières ont pu émerger de cette période de troubles plus fortes et plus efficaces. Les investisseurs cherchent activement de nouvelles opportunités. » A noter que hier 03 décembre 2018, selon le site www.prixdubaril.com, « le Witi a terminé à 53,09 dollars contre 61,89 dollars pour le Brent »
Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Distribué par APO Group pour Ministry of Mines and Hydrocarbons, Equatorial Guinea.
Développement de l’économie cotonnière:: Abidjan capitale mondiale du coton
samedi, 01 décembre 2018 18:24 Written by ossey84
Le Docteur Adama Coulibaly, Directeur général du Conseil coton et anacarde et président du comité d’organisation, était face à la presse le jeudi 29 novembre 2018. Ce pour expliquer les enjeux de la 77ème réunion plénière du CCIC .Qui aura lieu du 2 au 6 décembre 2018 à Abidjan. A l’occasion, Abidjan va recevoir la 77ème réunion plénière du Comité consultatif international du coton (CCIC). Environ 400 délégués viendront des 29 pays membres du CCIC. Ils auront à faire des propositions « innovantes » en vue de la « durabilité » du secteur mondial de l’or blanc. Une filière confrontée à la concurrence des fibres synthétiques. En 2017-2018, le monde a produit 25,4 millions de tonnes de coton fibre. Les principaux pays producteurs sont l’Inde avec 6,3 millions de tonnes. La Chine talonne avec ses 5,9 millions de tonnes. États-Unis, Brésil et Pakistan occupent respectivement le 3ème, 4ème et le 5ème rang. En Afrique, le Mali tient le haut du pavé avec ses 700.000 tonnes produites en 2017-2018. Le Burkina Faso est classé second devant le Bénin. La production ivoirienne est de 413.205 tonnes. Le CCIC est une vieille organisation. Née en 1939, il a son siège à Washington, aux États-Unis. La Côte d’Ivoire y a adhéré en 1973. C’est la toute première fois que le pays abrite une des plénières annuelles de cette « fédération » de producteurs mondiaux de l’or blanc. Kader Moussa Legende photo : Dr Adama Coulibaly, Dg du Conseil du coton et anacarde et président du comité d’organisation de la 77e réunion plénière du Comité consultatif international du coton